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 |  Sujet: Deanna ~ C'est l'histoire de deux petites filles à l'orphelinat...et paf ça fait une grande famille ! Lun 23 Nov - 20:19 | |
| DEANNA GALLAGHER
“And I’d choose you; in a hundred lifetimes, in a hundred worlds, in any version of reality” NOM : C'est un nom qui me vient de ma famille adoptive, les Gallagher. Mon nom biologique je ne le connais pas et je ne préfère pas le connaître. Je n'ai aucune envie de rencontrer les personnes qui m'ont abandonné. PRÉNOM : Mon prénom c'est Deanna. Prénom que j'affectionne, car il n'est pas porté habituellement. Il est original, il sonne bien et je trouve sans me vanter qu'il me va aussi plutôt bien. AGE : Aux dernières nouvelles, j'ai vingt-six ans Je n'ai pas accès à mon dossier de naissance qui est resté à l'orphelinat et je ne veux pas y avoir accès. On m'a dit il y a dix-neuf ans que j'avais neuf ans, je l'ai retenu et depuis je compte. SURNOM : Quand j'ai mis les pieds dans cet hôpital la première personne que j'ai rencontré m'a surnommée Oliver Twist ou Ollie parce qu'il avait entendu dire que j'avais été adoptée. Par la suite mon surnom est devenu Bambi. Au départ je n'avais pas compris que c'était moi qu'on appelait comme ça, mais elle m'a dit qu'avec mon histoire et mes yeux de biche, c'est comme ça qu'on m'appelait. Je ne suis pas très fan de ce surnom, car Bambi est une petite chose toute fragile qui a perdu sa maman et je ne veux pas être vue ainsi. ORIGINES : Si je le savais vraiment je vous le dirais. J'ai été adoptée, j'ai demandé à ne rien savoir de ma vie d'avant. Je dirais donc des origines américaines puisque je vis et ai toujours vécu ici. STATUT : Je suis célibataire, cupidon n'a encore pas jeté son dévolu ou sa flèche sur moi. MÉTIER : Je suis interne au Menphis Wave de San Francisco depuis l'année dernière. J'en suis donc à ma deuxième année d'internat. TRAITS DE CARACTÈRE : Têtue : Si j'ai quelque chose en tête c'est comme ça et pas autrement (j'allais dire c'est dans la tête et pas dans le c*l, mais ce serait un peu vulgaire) Optimiste : avec le fait que je sois une enfant de l'orphelinat, j'ai appris à positiver dans ma vie et voir les choses du bon côté. Persévérante : Je ne suis pas le genre de personne à me laisser abattre, bien au contraire, je suis une battante. Bienveillante et Attentionnée : Je suis toujours là pour épauler les autres quand ils en ont besoin. Ça vient peut-être du fait que j'ai été élevée dans une belle et grande famille. Attendrissante : Visiblement on me surnomme Bambi, c'est de là que je pense que je suis un petit agneau tout mignon aux yeux des gens. Maladroite : S'il y a une porte à se prendre en pleine figure, vous pouvez être sûr qu'elle sera pour moi. J'ai déjà fait de nombreuses erreurs en tant qu'interne. Pas de très grosses, mais quand même, il faut que je fasse plus attention. Timide : Oui, derrière ma grande excentricité quand on me connait, je suis en fait une grande timide. Je flippe quand j'ai un rendez-vous important par exemple et pour les rendez-vous galants c'est encore pire. Insensible : Dans le sens amoureux. Je suis un cœur de pierre, je ne m'ouvre pas facilement du tout il faut apprendre à être patient et casser cette carapace que je me suis forgée depuis toute petite. Impatiente : je n'aime pas beaucoup attendre. En fait ça me rend folle bien souvent. Émotive : j'ai dû assister à beaucoup de morts dans ma vie et celles de l'hôpital resterons bien les pires. Bavarde : j'ai tendance à beaucoup m'exprimer et parler un peu trop de temps à autre, une véritable pipelette c'est surement à cause de mes sœurs et notre complicité ça. Hésitante : je ne suis pas sûre de moi et parfois ce n'est pas du tout en mon avantage, surtout pour mon métier et quand je dois prendre des décisions. Enfantine : il m'arrive d'être parfois immature. Pau et moi on se vole un peu la vedette entre la Bambi/Oliver Twist et la Peter Pan. Généreuse et gentille : j'aime partager et donner aux autres. Je pense souvent d'ailleurs un peu plus aux autres qu'à moi. Drôle et joviale : j'ai souvent le sourire agrippé aux lèvres. Franche : ça peut être un défaut ou une qualité, mais je déteste les mensonges. Ma vie est un énorme mensonge à elle seule et je ne veux plus qu'on me mente donc je ne le fais pas non plus. Si j'ai quelque chose à dire je le dis un point c'est tout n'en déplaise aux autres. Sincère, loyale et fidèle : on dirait que je parle d'un chien. Mais, c'est vrai, je n'ai pas dans l'habitude de trahir les miens ou de prendre les choses à la petite cuillère. Si quelque chose ne me plais pas dans les paroles ou agissements de quelqu'un, je lui dirais. Caractérielle : je suis douce comme un agneau, mais si on réussis à m'énerver je conseillerais de se pousser de mon chemin, je sais être blessante et frapper là où ça fait mal. GROUPE : SCALPEL AVATAR : Riley Voelkel SCENARIO OU INVENTE ? : inventé ✃ It's as if I could not breathe without you.
~ Dès que je me lève, il faut que j'allume la musique, que ce soit à la télé, la radio, sur mon téléphone ou mon mp3 il faut obligatoirement que je mette la musique pour me réveiller. C'est une règle et gare à celui ou celle qui enfreint cette règle. ~ Deuxième chose quand je me lève, il ne faut pas me parler, je suis ronchon tant que je n'ai pas bu mon café. ~ Je bois au moins cinq ou six cafés dans une seule journée. Accroc moi ? Noooooon... Bon, d'accord un petit peu. Mais bon, pour ma défense, les cafés au boulot ne sont pas très chargés en caféines, ils sortent de machines c'est très doux. ~ Une fois que je suis réveillée et que j'ai bu mon café, je deviens une vraie pile électrique. ~ Après tout ça je deviens assez insupportable d'ailleurs, je passe mon temps à parler et donc à énerver les autres qui se lèvent. En clair, vous avez intérêt à vous lever avant moi. ~ Je n'ai pas eu vraiment d'enfance étant trimbalée de foyer en foyer, du coup je revis un peu cette période aujourd'hui. Je tripote assez souvent mes vêtements nerveusement. Mes bas de t-shirt par exemple ça à tendance à me rappeler le morceau de chiffon qui me servait de doudou quand j'étais enfant. ~ Quand je suis nerveuse, je me mords la lèvre inférieure. ~ J'ai un visage assez expressif ce qui fait que je ne peux et ne sais pas mentir non plus. ~ Je ne fume pas et pourtant ça m'arrive de faire un écart en soirée quand j'ai un ou deux verres de trop dans le nez. Parfois je m'en grillerais bien une aussi quand je suis vraiment sous tension. ~ J'aime boire du vin à table ou le soir quand je rentre chez moi. ~ Je vis en collocation depuis mon début d'internat et ça se passe plutôt bien. Néanmoins, je vais souvent chez mes parents. Je leurs doit tout. J'ai été élevée par cette famille catholique et je respecte ça. Tous les dimanches c'est repas chez les Gallagher. ~ Je suis le genre de personne qui met quinze ans pour manger. D'ailleurs la table est souvent débarrassée que je finis ma dernière bouchée. ~ J'aime manger de la glace ou du beurre de cacahuète quand je ne vais pas bien et me fourrer sous un gros plaid ou une couverture bien au chaud. ~ Je suis plutôt salé que sucré. Entre un morceau de fromage et un bout de chocolat, je prendrais le fromage sans hésiter. ~ J'aime sortir faire du shopping ou aller au cinéma avec mes ami(e)s ou ma famille. ~ Je suis extrêmement proche des membres de ma famille. Surtout Paulla qui est interne en chirurgie tout comme moi. Je la vois donc tous les jours. ~ J'aime m'habiller en suivant les magasines de mode. ~ J'ai un besoin constant de changer de tête. Brune, blonde, cheveux longs puis cheveux courts, lisses ou ondulés ça m'arrive souvent de changer. ~ J'aimais énormément mon père et je m'y attachais beaucoup trop. Cette perte a été une grande et dure épreuve dans ma vie. ~ Il n'est pas rare de me voire traîner en haut dans les salles des blocs opératoires. J'ai la soif d'apprendre, j'aime regarder les interventions quand cela est possible. ~ J'ai un chiot depuis peu. Un petit labrador que j'ai prénommé Hook, oui, comme le capitaine crochet, dédicace à ma petite sœur.
✃ You are my paradise, but maybe I'm your hell
Je ne m'en souviens pas, mais, il parait que je suis arrivée dans l'orphelinat de Menfis alors que je n'avais que deux mois. Un bébé visiblement abandonné par ses parents, je ne sais pas vraiment et d'ailleurs je m'en moque pas mal. Ce n'est pas ce qui me définit aujourd'hui. J'ai été directement adoptée et pourtant je suis si vite retournée à la case départ si on peut dire ça. Puisque visiblement j'étais maltraitée dans cette famille et qu'on leur a retiré la garde du bébé qu'ils venaient d'adopter. Ils avaient du sacrément bien préparer leurs coups quand ils ont monté leur dossier puisque l'orphelinat avait accepté de leur donner ma garde. Enfin bref, je ne me souviens pas d'eux et encore une fois ce n'est pas ce qui me définit aujourd'hui. Ce qui me définit aujourd'hui c'est le nom de famille que j'ai. Avant on m'appelais juste Deanna. Aujourd'hui c'est Deanna Gallagher. Et ça, c'est grâce à cette petite fille rencontrée à l'orphelinat, Paullapé. Nous avons passé le plus clair de notre temps ensemble. Nous étions amies, un peu comme des sœurs. Toujours à nous raconter tout, un peu comme deux meilleures amies. On nous surnommait les deux chipies d'ailleurs là-bas. Nous étions heureuses. Et pourtant, un jour, cette gentille famille est venue pour Paulla. Il est très vite arrivé le jour où elle est partit. J'étais là, légèrement en retrait, ma tête plaquée contre la porte, je regardais mon amie avec son grand sourire et ses bagages, prête à partir. Mon cœur était assez lourd. Elle me vit la regarder et plaçant sa main sur le bras de sa future maman je la vis lui dire quelque chose pour se diriger ensuite vers moi. Je la regardait alors timidement avec mes petits yeux bleus de biche « Je te promets que toi et moi c'est pour la vie. On est sœurs. » Elle me tendit son petit doigt que je pris avec le mien accompagné d'un léger sourire. « Pour la vie.. » ajoutai-je à mon tour. Nous étions deux petites filles, mais ça me déchirais tout de même le cœur de la voir s'en aller. « Ils ont l'air cool. Profites bien d'eux.» Nous les regardions au loin chacune « Tu vas me manquer.» lui disais-je finalement en la serrant dans mes bras. C'est comme ça que je disais au revoir à ma plus tendre amie. Nous nous considérions comme des sœurs, c'est marrant puis-qu’aujourd’hui nous sommes vraiment des sœurs. Paulla a été placée chez les Gallagher alors qu'elle avait huit ans et moi j'en avais dix . Et trois ans plus tard c'était à mon tour d'arriver chez les Gallagher. Cette grande famille remplis de six autres petits enfants, dont Paullapé. Je devenais la plus heureuse des petites filles à partir de ce jour.
J'avais rêvé aussi qu'on m'emmène moi aussi, qu'on vienne me chercher et qu'on ne me ramène plus jamais ici. J'aimais ma vie ici. J'avais beaucoup d'amis, beaucoup de gens qui s'occupaient de moi. Mais, ce n'est pas ce que je voulais. J'avais toujours rêvé d'avoir une belle et grande famille. Une grande maison avec un gros chien. J'attendais moi aussi ma famille. Qu'on me voit et qu'on dise « c'est cette petite fille que je veux ». Mais j'étais déjà âgée, il y avait peu de chance. Et pourtant, trois ans plus tard, quand j'avais treize ans on m'annonça qu'on voulait bien de moi, qu'on voulait m'adopter. Et trois ans plus tard c'était à mon tour d'arriver chez les Gallagher. Cette grande famille remplit de six autres petits enfants, dont Paullapé. Je devenais la plus heureuse des petites filles à partir de ce jour. C'était grâce à Paulla si j'entrais dans cette famille. Mais pas que, visiblement le frère aîné avait donné son mot et sa voix aussi pour qu'on m'adopte. Les Gallagher n'avaient plus dans le projet d'adopter, mais Paulla leur à parlé de moi et lui il a dit que c'était une bonne idée, qu'ils seraient tous heureux de m'acceuillir. J'arrivais dans cette grande et belle maison. Ils étaient tous là à me regarder de la tête aux pieds, eux sur les escaliers et moi juste devant la porte avec mes nouveaux parents à côté de moi. Quatre plus âgés que moi, dont des jumeaux qui étaient les enfants biologiques des Gallagher et deux plus jeunes, dont Paulla. J'étais un peu timide. Voilà que l'un d'eux s'approcha de moi et en me prenant par les épaules ajouta « Bienv'nue chez les Gallagher p'tite sœur. » il m'entraîna alors vers la grande salle à manger. Mon « père » pris mes valises et nous rentrions tranquillement chez nous, chez moi. J'approchais avec un petit sourire timide tout en suivant ce qui devait visiblement être mon frère aîné. Ils m'invitèrent à me mettre à table. C'est alors qu'ils suivirent tous mon exemple une fois assise, ils le firent aussi. « Qu'est-ce que tu aimes ? » Je me sentis quelque peu observée comme un rat de laboratoire « On peut t'appeler Dea ? » je n'avais même pas le temps de répondre « Est-ce que tu as faim ma chérie ? » demanda la douce voix de ma « mère » « Laissez-là un peu tranquille, vous voyez bien que vous l'étouffez. » aboya Paullapé. les questions et les remarques pullulèrent d'un coup. Je me sentais bien. Je sentais que ma nouvelle vie commençait là. J'étais heureuse. Je me mis à rigoler avec mes parents et mes frères et sœurs. Tomber dans cette famille est sûrement la plus belle chose qui me soit jamais arrivée. Je pouvais un peu lâcher prise et me sentir bien. C'était comme dans un film de Noël par exemple. Tout le monde était joyeux et heureux en cette matinée de décembre. C'était une sorte de bénédiction pour Noël, à la fois pour moi et aussi un peu pour eux je crois.
Aujourd'hui j'ai vingt-cinq ans, je vais commencer mon internet en tant que chirurgienne. J'ai la boule au ventre. La médecine est un rêve et une chose assez commune dans notre famille. Je dois faire mes preuves, je dois être irréprochable. Pas le droit à l'erreur. Je stresse malgré tout. Mon père serait fière de moi, je pense s'il était encore en vie. J'arrive devant les portes vitrées électriques coulissantes de ce grand hôpital appelé le Menfis Wave. Pleins de blouses blanches et d'uniformes bleus m'entouraient. La chef suprême nous expliquait le fonctionnement et nous présentait l'hôpital. Je l'écoutais attentivement. « Tu crois qu'il en a encore pour longtemps ? » m'interrogeais un jeune inconnu qui semblait être tout comme moi un interne. « J'en sais rien, je m'en fiche, je l'écoute moi » lui avais-je fais remarquer. « Okay, t'es pas si marrante que ça Oliver Twist en fait.» Je fronçais alors les sourcils. Ça y est ça commençait. La rumeur disant que j'étais une enfant adoptée avait déjà circulé. « Mon prénom c'est Deanna. La ferme ! » lui grognais-je dessus. Il me semblait quelque peu arrogant et j'avais hâte d'avoir l'occasion de lui clouer le bec. La voix de la chef de l’hôpital ce fit entendre « Vous deux qui discutez, vous partirez avec le résident à ma droite, puisque vous avez tant envie de parler, vous allez être servi » Je levais les yeux au ciel. C'est pas vrai, j'allais commencer à travailler avec le « crétin ». Ça promettais tiens. Quand au résident, ça me semblait être quelqu'un d'assez stricte. Il me semble que j'allais passer un salle quart d'heure, une journée assez épuisante quoi. Et si c'était le cas, l'idiot du village allait se souvenir bien correctement de mon prénom. Je n'étais pas du genre à m'énerver trop vite, mais devant ce genre d'énergumène, je ne pouvais pas m'en empêcher. C'était bien plus fort que moi. « Allez Ollie, fait pas la gueule. » Il commençait sincèrement à me taper sur le système, mais je me devais de garder mon calme. Je serrais les dents et suivaient les personnes devant moi pour suivre le résident auquel nous avions été confié. Ollie, s'il croyais qu'en me donnant ce surnom débile un peu plus mignon que celui d'avant ça allait m'adoucir un peu, il se mettais correctement le doigt dans l’œil. Bien au contraire et je n'allais certainement pas m'abaisser au fait de lui trouver un surnom tout aussi débile, seulement, quand l'occasion se présenterait je n'hésiterais pas à frapper fort. Il ne me connaissait pas bien et si c'est ce qu'il voulait il allait être servit.
Nous sommes en 2015, j'ai vingt-six ans et un an d'internat derrière moi. Aujourd'hui les nouveaux internes arrivent. Parmi eux, ma petite sœur Paullapé. J'ai hâte de la voir arriver. Entre nous il n'a jamais été question de rivalité ou de choses du genre. Au contraire, nous allons nous soutenir et nous entraider. Du moins je vais le faire puisqu'elle est nouvelle. Même si je pense que comme toujours c'est elle qui va plus veiller sur moi que moi sur elle. Je suis là, avec ma blouse blanche comme au premier jour dans la salle commune. Je vois ma petite sœur parmi toutes ses nouvelles têtes avec son sourire. Je l'observe. Quand elle me regarde, je lui fais un petit signe de tête fraternel pour lui montrer que je suis là, que tout va bien se passer et que j'ai hâte de commencer à travailler avec elle. La cheffe finit son discours et nous adresse chacun à nos postes. Je ne suis pas avec Paulla, c'est peut-être normal. Tant pis, je la verrais bien à la pause de midi. « Alors ? C'est laquelle ta soeur Dea ? » me demande ma plus fidèle amie de l'hôpital. Je souris légèrement et lui montre ma sœur qui s'éloigne « C'est celle qui part avec la résidente du service de chirurgie. La voix pompeuse du « crétin » que j'ai connu en premier dans cet hôpital se fait entendre « Ce canon ?! » je lève les yeux au ciel et lui passe la main devant la tête « Rêve pas, t'as aucune chance de te taper ma petite sœur » lui grognais-je dessus. Il hausse alors les épaules et nous quittons les lieux pour rejoindre nos postes respectifs. Quelques heures plus tard, nous voilà à l'heure du déjeuné. Je meurs de faim, j'ai le ventre qui gargouille. Ma plus fidèle amie rigole en entendant ce bruit. Nous nous asseyons tous, ma bande de deuxième année et moi à une table libre. Je commence mon repas quand soudain j'aperçois ma sœur au loin. « Ça vous dérange si je lui dis de venir ici ? » Mes collègues font un signe de la tête de gauche à droite pour me montrer que non, ça ne les gène pas. C'est alors que l'interne avec qui j'ai tendance à me chamailler le plus commence à ouvrir la bouche, je l'arrête aussitôt. « Toi, tu restes tranquille je te préviens. » lui dis-je en relevant le doigt d'un air menaçant. « Okay Bambi, je toucherais pas à Panpan promis.» je roule les yeux d'un air exaspéré. J'ai envie de lui dire de la fermer une fois de plus, mais je me retiens. Je fais un signe de la main en direction de ma sœur et voilà qu'elle nous rejoint avec son large sourire. « Les gars, je vous présente Paullapé, ma petite sœur. Paulla, les gars. Enfin, voilà mes amis de deuxième année. » Je fais un geste de main qui balaye la table et nous nous asseyions enfin pour faire connaissance avec ma sœur et manger nos repas.
Dernière édition par Deanna Gallagher le Mer 25 Nov - 19:51, édité 16 fois |
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Leela Robertson
MESSAGES : 1223 SINCE : 28/10/2015 NICKNAME : Mashed Woods - Justine FACE, @ : Priyanka Chopra
SCALPEL AND BISTOURI
Quote: « Je suture une banane dans l’espoir vain que ça réveillera mon cerveau. »
Surnom: Shiva
Répertoire:
| | Sujet: Re: Deanna ~ C'est l'histoire de deux petites filles à l'orphelinat...et paf ça fait une grande famille ! Lun 23 Nov - 20:44 | |
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En tout cas, bienvenue par ici et bon courage pour ta fiche. 
Faut que je me creuse le crâne pour nous trouver un lien. 
Faut déjà que je trouve mon personnage aussi 
!! INVASIONNN !
Et elle est juste parfaite. Merci encore une fois d'avoir rejoint les Gallagher 
On va conquérir le fo' ^^
Oui on va conquérir le fow 
