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InvitéInvité
 |  Sujet: ☆ fun one, wild one. Dim 29 Nov - 22:23 | |
| WOLFGANG SHARPE
“And I’d choose you; in a hundred lifetimes, in a hundred worlds, in any version of reality” NOM : Sharpe. Patronyme hérité du côté paternel, celui qu'il portera et donnera à sa femme et ses enfants. On l'oubliait autrefois, mais plus désormais. C'est aussi la lignée des Castel qui résonne en lui, descendance de Margaery Castel (sœur de Lynda Castel). PRÉNOM : Wolfgang. Longtemps ont été bercées les générations de cette lignée, par des mélodies aux rythmes méconnues des oreilles non-avisées. Instruments qui ne perdent pas de leur légèreté au gré des époques traversées, ballade symphonique qui n'a que trop inspiré un paternel à la plume et réflexion idylliques. On se souvient, Amadeus Mozart, que l'on murmure en entendant pour la première fois sa moitié d'identité, comme un lien qui ne peut être ébranlé. AGE : Vingt-neuf ans. À donner de cette bienveillance qui lui a valu des coups bas. Victime de machinations et manipulations, naïveté qui court sur ses veines et dans son cœur qui n'a que trop souffert des trahisons. Cicatrices dissimulées sous les sourires et les gestes délicats, cœur rafistolé sous bandages, sutures et pansements qui ne pourront un jour plus l'aider à se relever. SURNOM : Wolfe, Wolfie, que l'on crie à travers les couloirs cacophoniques, concerto d'instruments médicaux qui se cognent entre eux, de chariots qui se fracassent contre les murs, de ceux qui lâchent prise pour se ruer sur les chétifs. ORIGINES : Américaines, Européennes. Un mélange de racines qui tirent leurs origines dans une Europe ancienne, migration après migration, on s'installe dans des pays et dans d'autres, on trouve de nouvelles coutumes que l'on s'approprie ou que l'on rejète, les talons se tournent pour regarder une dernière fois un passé qu'on finira par oublier. STATUT : Marié à la créature qui a su happé l'organe qui bat, sentiments qui l'ont mené par le bout du nez jusqu'à la belle. Le bonheur souligne les traits de ce faciès pourtant esquinté mais qui reste lumineux, clarté dans les yeux de celui qui a tout pour être heureux, il ne voit aucune raison à devoir regretter ses choix passés. Le seul reproche que l'on puisse lui faire et qui l'effleure parfois, c'est cette dépendance envers elle. Père d'un enfant, gardien du temps qui essaie de ne laisser filer aucune seconde à ses côtés, besoin constant d'être là pour la marmaille dû au fait que son propre géniteur n'ait pas été le plus apte à faire acte de présence envers lui. MÉTIER : Animateur hospitalier, profession qu'il exerce depuis qu'il a vingt-deux ans. Être proche aussi bien des enfants, que des adultes plus ou moins mûrs, ainsi que des personnes âgées, étreinte à ces individus qui ne demandent parfois que l'ombre d'un sourire compatissant qui balaie la plupart de leurs maux. TRAITS DE CARACTÈRE : Artistique, astucieux, attachant, aventureux, calme, compatissant, concentré, créatif, débonnaire, débrouillard, droit, empathique, indulgent, minutieux, observateur, sociable, bagarreur (fut un temps, parfois ça le prend), boudeur, casse-cou (de temps à autres), émotif, prudent, tranquille, serviable, bienveillant, compréhensif, tolérant, encourageant, dynamique, désorganisé (chez lui), dragueur sans particulièrement le vouloir. GROUPE : Anesthesiant. AVATAR : Richard Madden. SCENARIO OU INVENTE ? : Inventé. ✃ It's as if I could not breathe without you.
« Dis, t'aurai pas vu mes clés, à tout hasard ? » Il n'y a pas plus bordélique que lui. Wolfe, c'est celui qui dès qu'il rentre dans son logement, jette ses affaires ici et là, fait traîner la plupart des objets dont l'utilité est certaine. Les clés de voiture ont glissé sur le parquet et se sont retrouvées sous un meuble, on accuse l'un et l'autre de les avoir paumées, de les avoir touchées, subtilisées ou déplacées. Les tons s'affaissent (quand bien même le sien ne s'élève jamais bien haut) dans un calme retrouvé, parce que c'est idiot de se prendre la tête pour des bouts de métaux. - « Comment ça, y a plus de café ? » Wolfe, il fait fonctionner le marché de la caféine pour le bonheur de ceux qui sont sur le business. Il tourne aux différentes sortes de boissons caféinées, ne se lasse pas de ce goût amer qui vient chatouiller le gosier et qui a pour effet de lui donner un coup de boost qui dynamise tout ses membres. Et honnêtement, il en a bien besoin. - « J'arrive bientôt, hon', bientôt. » More like, never. Au grand maximum, il ne dort qu'environ quatre heures par nuit. Habitudes prises depuis bien longtemps, adolescence mouvementée sous les nuits qui n'en terminaient plus. Même si ces dernières se sont calmées, il trouve toujours occupation là où on penserait qu'il n'y en a pas. Entre les séries télévisées qu'il regarde à la pelle (en remerciant gentiment Netflix), les heures passées à vadrouiller sur internet afin de rattraper le temps perdu dans les actualités ou les vidéos stupides mais qui finissent par lui étirer un sourire, on comprend rapidement pourquoi ses nuits sont écourtées. - « Ah le bordel, j'ai cru que j'allais y passer. » Si certains aiment la moto, d'autres le vélo, lui, il n'est pas rare de le voir arriver en rollers à l'hôpital. Passion depuis son adolescence, il a longtemps joué les casse-cous à vouloir tenter des figures plus ou moins impressionnantes. Mais s'est drôlement assagi avec l'âge. Ou presque. - « Je pense que j'ai les phalanges brisées... » Encore, que l'on aurait envie de soupirer. À force, il aurait dû comprendre, faire rentrer dans son crâne le fait qu'il ne puisse malheureusement pas aider tout le monde, même si l'envie, la détermination et la colère y sont. Les injustices, il ne les laisse que durement passer, n'aime pas rester aveugle alors qu'il est témoin de situations qui ont tendance à le mettre en rogne. Et quand les autres font usage de la violence et que l'éloquence, même utilisée à bon escient et dans une aisance remarquable est inutile, il se voit obligé de brandir les poings. - « Et c'est qui, qui a le droit à son bol de lait ? » Au bas de l'immeuble, dans l'allée qui se situe à l'arrière et dont il est déconseillé d'y mettre les pieds à des heures tardives, c'est Wolfe que l'on retrouve avec deux, trois bols et une brique de lait dans les paumes. Il en verse quelques gouttes devant les iris perçants de chats errants qu'il a l'habitude de côtoyer quand il rentre de l'hôpital ou quand il sot simplement de son appartement. - « Nah, je sais pas la jouer, celle-ci. Je devrais peut-être l'apprendre. » C'était cool à une époque de savoir jouer de la guitare, de pousser la chansonnettes, et il doit admettre qu'il ne regrette pas d'être tombé dans le domaine musical. Il a certainement appris avec quelques amis d'antan, ceux qui l'ont oublié et qu'il a lui-même effacé de sa mémoire sous les années qui passent. - « I come calling in my Sunday best, ever since I put your picture in a frame, I'm gonna love you 'till the wheels come off. » Picture in a Frame de Tom Waits. Peu ont eu l'opportunité de l'entendre bredouiller, fredonner ces quelques paroles. Sa mère. Sa femme. Son fils. Et il ne prévoit pas de rajouter des individus sur cette liste pourtant si courte. - « C'est pas cette haine stupide envers un fautif qui n'en est pas réellement un, que tu vas te sentir mieux. Si ? » C'est la guerre entre le paternel Sharpe et le Menphis Wave. Articles sur articles, points négatifs sur points négatifs, le patriarche de la généalogie s'est senti obligé d'attaquer l'hôpital après un tragique événement qui lui a aussi bien ouvert les yeux que retourné l'esprit. Dès lors, la réputation des Sharpe en a, en quelque sorte, pris un coup dans l'enceinte même de l'établissement hospitalier. Si certains savent faire la part des choses et savent que Wolfe ne prend en aucun cas le parti de son géniteur, d'autres restent plus perplexes quant à sa position dans l'affaire. - « Tu sais que si t'as besoin de quoique ce soit, on est là, hein. » Une phrase qu'il a l'habitude de dire à tout va et qu'il respecte. Jamais il ne la prononce sans avoir la certitude de ne pas pouvoir tenir une telle promesse, une telle demande et invitation. Certains pensent qu'il articule ça par pure politesse, d'autres y voient un hypocrite qui ne respectera pas parole dès qu'on lui dévoilera les tracas et problèmes ressentis.
PSEUDO/PRÉNOM : phacochère. AGE : l'âge moyen du phacochère. OU AS-TU CONNUS LE FORUM : par my friend le phacochère. FRÉQUENCE DE CONNEXION : quand mon emploi du temps de phacochère me le permet. CRÉDITS PHOTO ET CITATION : par phacochère (tumblr, sans doute). AUTRE : le règne des phacochères commence. AUTRE(S) COMPTE(S) ? : le roi de l'enfer.
Dernière édition par Wolfe Sharpe le Jeu 3 Déc - 10:42, édité 20 fois |
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| | Sujet: Re: ☆ fun one, wild one. Dim 29 Nov - 22:23 | |
| ✃ You are my paradise, but maybe I'm your hell
« Tu penses qu'on a le droit d'être là ? » Les regards s'échangent puis les épaules se haussent sans autre tirade prononcée. Les sourires viennent fendre les deux visages si semblables aux traits enjoués. Insouciants, peu soucieux et conscients des chemins qu'ils prennent alors qu'ils sont censés rester dans la garderie de l'hôpital. Wolfe, il lui assure que ce n'est pas un problème de se trouver hors du champ de vision de l'animatrice qui, tant bien que mal, essaie de s'occuper de tous et chacun. Manque de personnel, attention qui échappe parfois et qui permet aux deux frères de se glisser par l'ouverture, de fuir la surveillance constante. (...) « Si tu veux mon avis, elle se fait gronder à cause de nous. » Ils se regardent, préoccupés, pensifs et peut-être un brin tracassés par la situation qui a échappé à leur contrôle. Ils se tiennent droit, peinent à relever les prunelles lorsqu'elle sort de la pièce, se contentent de multiples œillades en sa direction pour n'apercevoir qu'un sourire immense sur le visage esquinté par les heures de sommeil manquées. C'était ainsi qu'ils vivaient. En l'absence d'un père bien trop souvent logé à l'autre bout de la planète, les minis Sharpe avaient pour obligation de rester sous la garde des animateurs de la garderie qu'il y avait au sein même de l'hôpital. Wolfe avait beau avoir neuf ans et être l'aîné de la mince fratrie qu'ils représentaient avec son cadet, il était aussi celui qui l'embarquait dans des aventures loufoques qui entachaient la réputation de leur mère, comme en affirmaient certains. Pourtant, n'étaient-ce pas des sourires que l'on voyait accrocher aux lippes des patients habituellement chagrinés par le dessein qui s'esquissait, sans que rien ne puisse l'altérer ? Si Wolfe et Roan étaient deux casse-pieds qu'on ne savait comment calmer pour qu'ils restent à la garderie à jouer avec les quelques babioles, ils étaient aussi une source de fraîcheur pour ceux qui ne pouvaient plus quitter l'hôpital ou bien même leur chambre. Wolfe avait toujours été très précautionneux, faisant attention aux autres qui l'entouraient même s'il était cet individu à slalomer entre employés et habitués, le rire à la gorge. Il savait ce qui était dangereux et ce qui ne l'était pas (ou moins). Il savait qu'il ne pouvait pas toucher aux moindres objets qui ne lui appartenaient pas, qu'ils ne pouvaient en aucun cas appuyer sur les boutons des machines quand bien même ces derniers étaient volumineux, rouges, verts, clignotaient comme des guirlandes de Noël et ne donnaient qu'envie de presser dessus. Il ne touchait à rien, n'effleurait même aucun des objets et se contentait de parler, de jacter, de sourire, de raconter des âneries qui faisaient arquer les sourcils puis finalement, amusaient à la galerie.
« Eh, tu pisses le sang. » qu'il dit en faisant un geste du menton vers la jeune fille qui observait ses genoux avec une grande attention. Il la toisait, la regardait de haut en bas sans réellement comprendre ce qu'il avait pu se produire pour qu'elle soit dans un état si piètre. Wolfe, adolescent, une douzaine d'année. Elle ne releva même pas les yeux, haussa les épaules dans un soupir que Wolfe prit en note comme étant une traduction d'un certain agacement. « Allôôô, tu m'entends ? » Il faisait de grands gestes, indiscret qu'il était, secoue ses bras dans des mouvements à en faire tomber les infirmières qui l'évitent de peu mais qui ne lui font aucune remontrance. Il percevait les sourcils qui se fronçaient, s'arrêta alors de gigoter dans tous les sens possibles et inimaginables pour attirer l'attention de la fille dont il ne connaissait rien. Un soupir qu'il lâcha, fatigué de la journée qu'il avait enduré à au collège. « Tu pisses le sang aussi. » qu'elle finit par articuler alors qu'elle relevait le faciès, deux prunelles qui se plantent instantanément dans celles de Wolfe qui ne cille pas, qui étire l'ombre d'un sourire sur ses lèvres après avoir eu le droit à une réponse, aussi courte fut-elle. Il observe ses propres mains, ses paumes égratignées, penche légèrement son corps vers le côté droit où il peut s'observer dans une vitre. Quelques fines taillades ici et là, sur le menton et sur les pommettes, une petite bosse sur le front. « C'est normal, je me suis battu. » Avec ses rollers, mais il ne prit pas la peine de le préciser. C'est quand même plus impressionnant de dire que l'on a été emporté dans une bagarre, en laissant penser qu'il y avait des adversaires humains en face, plutôt que de dire que l'on s'était emmêlé les pieds avec des patins. Elle prend la peine d'écarquiller ses yeux, affiche quelque chose qui semble être un sourire. Wolfe, il a toujours été fier de pouvoir dessiner de ses propres mains les sourires des autres. Mais quand c'était des filles, c'était toujours mieux. « Arg, Wolfgang. T'es encore tombé en rollers ? » Seigneur, aidez-moi qu'il se met à penser, son expression qui se déformait et qui laissa apparaître une grimace. La voix de sa mère, celle qui ne connaissait que trop bien et qui, à cet instant, ne lui donnait qu'envie de se cacher sous les chaises où les individus devaient patienter. Il fit mine de l'ignorer, mais elle répéta ce prénom si peu commun. « Mais, mais. Il n'y a pas de Wolfgang ici voyons, déguerp- » qu'il se mit à dire en déformant sa propre intonation. Cependant, sa phrase s'arrêta en plein milieu alors que sa mère lui attrapait l'une des oreilles et qu'elle la tortillait dans tous les sens. « Mais m'maaan, pourquoi t'interviens toujours au mauvais moment ? » Derrière, on pouvait entendre les rires étouffés d'un Roan minuscule qui cachait sa bouche avec ses mains pour éviter que les bruits d'un mec qui se fend la poire, ne sortent trop bruyamment. Il boudait, ronchonnait alors que sa mère en profitait pour papoter rapidement avec l'une de ses collègues avant de reporter son attention sur lui. « Allez, on rentre. On va soigner ça à la maison. Et laisse la petite tranquille ! » Il se résigna, baissant les bras dans la bataille. « Ouais laisse-là, elle est pas belle ! » Et Roan, toujours la tirade pour plaire alors qu'on le trouverait plus mignon s'il pouvait la fermer, de temps à autre.
S.O.S, rejoins-moi en bas de mon immeuble dans quinze minutes.
Message envoyé, il observa l'écran de son téléphone portable le temps d'un court instant avant de le ranger dans sa poche arrière de jeans. Il ne savait pas pourquoi, mais il sentait au fond de lui-même qu'il ne serait pas capable de faire le choix lui-même dès lors qu'il arriverait devant la multitude d'objets qui le laisseraient tous dans un émerveillement certain et une indécision profonde. Dans son logement, il faisait le cents pas et il était peu commun de le voir dans cet état de réflexion dans lequel il était désormais. A se frotter le menton avec son pouce et son index, il lâchait des soupirs entre deux sourires qui s'esquissaient avant de retomber dans ses pensées et rêveries. Le temps passait bien trop lentement, il en tapait presque pied sur le parquet qui n'avait rien fait pour mériter un tel traitement. Tee-shirt gris sur le dos, accompagné d'une veste en cuir noir, un jeans bleu foncé et de simples baskets que l'on enfile de geste rapides, il dévala finalement les escaliers en direction de la sortie, ne prenant pas la peine de prendre l'ascenseur qui avait la fâcheuse tendance à se bloquer dans les pires moments qui puissent exister. Ce fut la silhouette de son cadet qu'il aperçut d'une œillade furtive alors qu'il poussait la grande porte d'entrée pour pouvoir le rejoindre. Roan le regardait, se demandant ce qu'il se passait pour qu'on lui demande de lâcher tout ce qu'il faisait, les mains qui font un mouvement pour signaler son incompréhension. « J'ai besoin de toi. » Mais encore ? Il lui fit signe d'avancer sur le chemin avec lui alors qu'il mettait les mains dans les poches et qu'il regardait à l'horizon, passants et inconnus qu'il contemplait, se demandant si eux aussi vivaient une journée qu'ils appréciaient. « J'ai besoin de toi pour m'aider à choisir... » Il laissait planer le suspens, jeta un coup d'œil au frère qui risquait de perdre patience. « Les bagues de fiançailles et mariage et... » Il s'arrêta, cachant le brin de joie qui venait se fondre dans son âme encore chamboulée. La décision n'avait pas été prise à la légère pour Wolfe, et quand bien même il ne connaissait pas la réponse de celle avec qui il voulait partager sa vie, il savait que c'était maintenant ou jamais qu'il devait faire cette proposition. « Elle m'a dit qu'elle était enceinte. » Il ne prend pas le peine de regarder son interlocuteur, ne pourrait donc pas dire si c'est de la surprise, de l'indifférence, ou une expression qui témoignerait qu'il puisse déjà connaître ce fait, qu'il y a sur le faciès de Roan. Il pousse la porte de la première bijouterie qu'il aperçoit, la tient pour son frère. « Je vais faire confiance en tes goûts. Ou presque, je me permets quand même de la décision finale hein ! »
Dernière édition par Wolfe Sharpe le Jeu 3 Déc - 10:44, édité 29 fois |
| | | | InvitéInvité
| | Sujet: Re: ☆ fun one, wild one. Dim 29 Nov - 22:24 | |
| t'es beau toi  |
| | | | InvitéInvité
| | Sujet: Re: ☆ fun one, wild one. Dim 29 Nov - 22:24 | |
| T'as la classe, ça change.  |
| | | | InvitéInvité
| | | | | InvitéInvité
| | Sujet: Re: ☆ fun one, wild one. Dim 29 Nov - 22:27 | |
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| | | | InvitéInvité
| | Sujet: Re: ☆ fun one, wild one. Dim 29 Nov - 22:30 | |
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| | | | InvitéInvité
| | Sujet: Re: ☆ fun one, wild one. Dim 29 Nov - 22:31 | |
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| | | | InvitéInvité
| | Sujet: Re: ☆ fun one, wild one. Dim 29 Nov - 22:33 | |
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| | | | InvitéInvité
| | Sujet: Re: ☆ fun one, wild one. Dim 29 Nov - 22:41 | |
| Nan mais c'est quoi encore ce canon, là.  Pfff, obligée de dire que ça te va bien. Me réjouis de voir ce que tu vas en faire. Et merde, vous me donnez tous envie avec vos DC là.  |
| | | | InvitéInvité
| | | | | InvitéInvité
| | Sujet: Re: ☆ fun one, wild one. Dim 29 Nov - 23:13 | |
| Rebienvenue avec ce DC  Hâte de voir ce que ça va donner. |
| | | | InvitéInvité
| | Sujet: Re: ☆ fun one, wild one. Dim 29 Nov - 23:29 | |
| Madden   Re Bienvenue (et vive les phacochères Pumba au pouvoir   ) |
| | | | InvitéInvité
| | Sujet: Re: ☆ fun one, wild one. Dim 29 Nov - 23:53 | |
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| | | | InvitéInvité
| | Sujet: Re: ☆ fun one, wild one. Lun 30 Nov - 0:08 | |
| tu connais déjà mon avis, très bon choix d'avatar  hâte de lire ta fiche  (re)bienvenue sur le forum   |
| | | | InvitéInvité
| | Sujet: Re: ☆ fun one, wild one. Lun 30 Nov - 1:13 | |
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| | | | InvitéInvité
| | Sujet: Re: ☆ fun one, wild one. Lun 30 Nov - 2:17 | |
| rebienvenue |
| | | | InvitéInvité
| | | | | InvitéInvité
| | Sujet: Re: ☆ fun one, wild one. Lun 30 Nov - 7:45 | |
| je sais que vous m'aimez, malgré mon alter-ego qui vous donne du fil à retordre.  et vous verrez, vous ne pourrez plus vous passez du gentil tout mignon wolfie.  en tout cas, merci à chacun d'entre vous pour cet accueil qui envoie du lourd (comme d'habitude quoi  ). je vous fais des bébés, à tous (surtout à rebecca)(et janne)(je fais des bébés à janne sous tous mes comptes possibles ok, personne ne pourra jamais m'arrêter  ). du love sur vos miches.  (et sérieux, j'espère qu'il vous plaira le wolfe   ). |
| | | | InvitéInvité
| | Sujet: Re: ☆ fun one, wild one. Lun 30 Nov - 15:09 | |
| Bon courage pour ta fiche  |
| | | | InvitéInvité
| | Sujet: Re: ☆ fun one, wild one. Lun 30 Nov - 16:08 | |
| Bienvenue parmi nous |
| | | | InvitéInvité
| | Sujet: Re: ☆ fun one, wild one. Lun 30 Nov - 16:32 | |
| Oh mon dieu t'es trop beau. #boulet #forceuse |
| | | | InvitéInvité
| | | | | InvitéInvité
| | Sujet: Re: ☆ fun one, wild one. Lun 30 Nov - 18:33 | |
| RICHARD Rebienvenue mais ... C'est quiiiiii ?  |
| | | | Leela Robertson
MESSAGES : 1223 SINCE : 28/10/2015 NICKNAME : Mashed Woods - Justine FACE, @ : Priyanka Chopra
SCALPEL AND BISTOURI
Quote: « Je suture une banane dans l’espoir vain que ça réveillera mon cerveau. »
Surnom: Shiva
Répertoire:
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| | Sujet: Re: ☆ fun one, wild one. | |
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