Cause when our demons come, dancing in the shadows, to a game that can't be won.

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GIULIA CASTALDI
“
Bring your love baby I could bring my shame. Bring the drugs baby I could bring my pain. I got my heart right here. I got my scars right here.”

NOM : Castaldi. ça sonne italien, ça sonne soleil. ça sonne la mama, la pizza. et tous ces joli mots qui font le charme de l'italie. ouais, une belle connerie. papa est italien, maman est italienne. mais Giulia, mis à part son prénom et une flopée d'injure, elle connait rien à ses origines. en même temps, elle habite trop loin, San Francisco. PRÉNOM : Giulia. héritage douteux donné par des parents qui pensaient que ça suffirait, à la rendre bilingue en italien. la bonne blague, c'est juste un prétexte. AGE : 27 ans, a survivre, a vivre. c'est chaotique, c'est bancale. y'a des cailloux, y'a des trous. c'est la route, qu'elle a parcouru jusque là. c'est pas si mal. elle a les mains en sang, les genoux écorchés, mais elle s'en sort plutôt bien. SURNOM : la salope. pour les plus vulgaires, pour les autres c'est plutôt... ouais, nan tout le monde l’appelle comme ça. mais on peut innover, trouver des synonymes.ORIGINES : une longue histoire. ou pas tellement. juste bordélique. l'italie, deux jeunes qui s'aiment. départ en italie, on s'en tape de la famiglia, on s'aime. gnia, gnia, gnia. des belles conneries, tout ça. parce que les américaines attirent papa, ou c'est peut-être l'inverse. bref. y'a Giulia qui nait, jolie italienne qui va devoir parler anglais. sans jamais connaître sa famille, son pays. mais elle s'en moque, ça a plus vraiment d'importance. a 8 000 km de chez soi, y'a plus rien qui compte. STATUT : anciennement mariée, anciennement amoureuse. maintenant, son alliance est au fond d'une chaussette, son cœur dans un placard. elle tente d'oublier, de compenser, avec d'autres, sans vraiment y accorder de l'importance. MÉTIER : première année de résidence en traumatologie TRAITS DE CARACTÈRE : sarcastique, moqueuse, hautaine, vulgaire, provocatrice, souriante, chiante, exigeante, minutieuse, perfectionniste, insolente, séductrice, opportuniste, ne supporte pas les mensonges, ne supporte pas les ordres, impulsive, bornée. GROUPE : SCALPEL AVATAR : katie cassidy SCENARIO OU INVENTE ? : inventé

✃ It's as if I could not breathe without you.
le café, tout le temps, le café. matin, midi, soir. c'est un réflexe, une addiction, un besoin. c'est peut-être pour ça, qu'elle court de partout, qu'elle parle trop vite, trop fort. mais elle supporte pas, d'être inactive, de rien faire, d'attendre que les choses se passent. alors elle boit du café, tout le temps. on la croise toujours dans les couloirs avec une tasse, un mug, un thermos. et c'est toujours du café, parce qu'elle en a tellement besoin, Giulia, de vivre sa vie rapidement. pour pas penser a autre chose, pour ne pas penser au passé, au futur • insomnie. tout le temps, aussi. l'un explique peut-être l'autre. pas de sommeil, du café. café, pas de sommeil. elle arrive pas, elle arrive plus, à dormir. ou alors, dans un sommeil parsemé d'échardes, lui rappelant son passé, les regrets l'assaillant inévitablement, douloureusement. si elle dort, elle cauchemarde. si elle ne dort pas, elle pense. c'est souvent pire, ce qui se passe dans son cerveau, pendant la nuit. elle se reproche tout, regrette tout. alors elle boit du café, allume son ordi, regarde un film, relis des livres, encore et encore • sportive. ça aussi, ça l'occupe. c'est l'avantage de dormir 4h par nuit, on a le temps de faire autre chose. elle va courir, longtemps, dans la ville endormie, sous le soleil à peine levé. mais elle adore, ça. alors tous les matins, ou presque, elle enfile ses baskets et se tire, musique dans les oreilles le temps d'une heure ou deux. parfois plus, parfois moins. elle essaie de plus penser. à rien. plus de boulot, plus de regrets. plus personne, plus qu'elle. et ça, ça lui fait tellement bien. c'est sa thérapie • promesses. elle en a fait beaucoup, des promesses. celle de ne plus tomber amoureuse. celle de ne jamais avoir d'enfants. celle de ne plus être naïve. celle de ne plus croire aux promesses des autres. celle de ne plus baisser les bras. celle de devenir médecin, de devenir quelqu'un. et pour le moment, y'en a pas une qu'elle n'a pas tenue. c'est ça aussi, qui fait qu'elle soit toujours sur ses pieds. ces promesses, ces défis qu'elle se fixe. tous les jours • les enfants. c'est devenu, une peur. une phobie. de voir, ces petits êtres courir dans tous les sens. le sourire absent aux lèvres, l'air innocent. si innocents. ça lui brise le cœur. sa lui donne envie de vomir, de hurler, de pleurer. c'est tellement douloureux. les bébés, c'est le pire. ces petites choses, si fragiles. elle le sait trop bien. elle peut plus, tenir un enfant dans ses bras, sans s'empêcher de penser, que ça pourrait être le sien, seulement si... mais voilà, ce si, ça la paralyse totalement. y'a son rythme qui s'envole, sa tension qui décolle, ses yeux qui s'embrument. elle veut pas d'enfants, elle refuse • elle adore son métier, c'est toujours celui qu'elle a voulu faire. sauver des gens, sauver des vies. épargner certaines. faire un doigt d'honneur à la mort, reprendre les gens de ses griffes. c'est jouissif, c'est addictif. elle adore ça, de réagir sur l'instant, de devoir trouver des solutions, rapidement. c'est ce qu'elle préfère, soigner tout le monde, travailler sur tous les organes, soigner vite mais bien. elle changerait, pour rien au monde son métier. parce que c'est ce qui la fait se lever, le matin, ce qui fait trembler son corps au moment d'un rush. c'est une partie de sa vie, aussi • elle a décidé, qu'elle s'engagerait plus. parce que les hommes, ils se ressemblent tous. ils aiment la chasse, la traque. mais après ? ben ils se lassent. se tirent sans un mot. sans un au revoir. et on se retrouve seule, sans personne. parce qu'ils sont tous les mêmes. ils prennent ce qu'il y a, puis s'en vont, aussi rapidement que ça. alors, Giulia, elle a décidé, avec son caractère de cochon, qu'elle agirait comme un homme. qu'elle prendrait ce qu'il y'a de bon, puis elle s'enfuirait sans un mot. c'est pas égoïste, c'est juste ce qui fait le moins mal. au final, tout le monde y gagne. moins de larmes, moins de drames, moins de femmes enceintes laissées sur le carreaux, moins de portes qui claquent, moins d'insultes qui fusent. ouais, c'est mieux pour tout le monde, dès qu'on trouve le bouton pour éteindre son cœur • cigarette. addiction qu'elle contrôle mal, tant bien que mal. elle essaie, de se contenir, de pas trop fumer. parce que c'est une toubib, qu'elle sait ce que c'est le cancer du poumon. elle connaît bien, c'était le cancer a papa. elle veut pas avoir le même. mais elle peut pas s'empêcher, avec son café, de se griller une cigarette. un paquet qui traine, par-ci, par-là. ça lui donne un petit genre. plus sexy encore. ça pourrait être son genre, de fumer pour se donner un genre. mais c'est pas Giulia, tout le monde le sait. Giulia elle fume, parce qu'elle aime bien ça • l'hôpital c'est un peu devenu sa famille. enfin sa maison plutôt. parce qu'elle fait souvent des gardes, parce qu'elle essaie de s'occuper, autant que possible. alors, elle passe des nuits entières à la mine, à soigner, à suturer, comme elle peut. c'est crevant, trop physique pour son corps de moineau mais elle s'en moque, elle adore ça. c'est toute sa vie, puisqu'elle n'a personne d'autre. elle grignote à la cafet', elle s'agite dans tous les sens, couche avec des résidents, des titulaires, des internes dans les salles de garde. se moque de tout le monde, s'occupe comme elle peut. on pense qu'elle a pas de vie, souvent. et le pire, c'est que c'est un peu vrai. elle veut plus rentrer, elle veut plus s'arrêter. c'est Giulia l'acharnée, la talentueuse. c'est plus fort qu'elle, c'est une autre partie d'elle, cet hôpital • Giulia, elle s’énerve trop vite, trop fort. elle aime pas recevoir des ordres, c'est plus fort qu'elle, ça la rend folle. ça l’énerve. faut pas mal lui parler, faut la respecter, faut baisser les yeux même. elle aime pas, qu'on lui tienne tête, qu'on ose planter son regard dans le sien. avec elle, y'a les coups qui partent trop vite, trop fort. encore une facette, qui a changé. encore une nouvelle facette, modulée par son passé. alors, ouais, vaut mieux pas lui tenir tête, forcément, c'est compliqué avec les autres. mais justement, c'est ceux qui se moquent, de son regard noir, qui l'intrigue, qui l’intéresse le plus. c'est paradoxal, mais elle aime bien, quand on ose la regarder, la provoquer •

✃ You are my paradise, but maybe I'm your hell

• Giulia, c'est le genre de femme, qui a eu une vie normale. parents italiens qui se sont barrés au US. parents qui divorcent parce que papa va coucher ailleurs. pas grave, un couple sur deux finit en divorce. avant, giulia, elle voyait que le côté positif des choses. deux noël, deux anniversaires. deux tout. ça lui allait bien, elle s'en foutait un peu, au fond. c'était des problèmes d'adultes.
• elle avait des bonnes notes, la petite italienne. elle bossait bien, elle lisait bien. elle passait du temps dehors. une ado de base quoi, pour son époque. puis le lycée, les garçons, les cigarettes. mais ça va, elle a pas mal tourné, elle est resté normale. quelques joints, quelques soirées, quelques coup de foudre. rien de bien méchant, en somme.
• puis le diplôme, puis... puis le trou. elle avait des bonnes notes. elle pouvait aller partout, ou presque. mais Giulia, elle voulait pas faire un métier comme les autres. elle voulait être toubib. mais un toubib pour meuf, elle voulait être dans l'action, vivre d'adrénaline. elle voulait travailler aux urgences. pour faire chier ses parents, qui voulait qu'elle soit infirmière ou mieux miss america.
• mais nan, c'est en école de médecine qu'elle s'inscrit. jeune fille souriante, jeune fille heureuse. jeune fille qui tombe amoureuse. ça va se gâter, elle le sait pas, mais ça va la détruire. il est jeune, elle est belle, ils sont jeunes. et amoureux, c'est le coup de foudre, le tsunami dans son petit cœur.
• quant on y pense, on fait tellement de conneries, à cause de l'amour. mais elle y pensait pas, elle pensait, elle croyait, tellement fort, que c'était le bon. que c'était lui et qu'ils vivraient pour toujours ensemble. 2 années de vie commune, puis une deuxième. puis les yeux brillants, il lui fait sa demande. elle dit oui, le cœur battant, son amour résonnant dans tous son corps. mariage en grande pompe. les années de médecine qui s'enchainent, les examens qui sont passés, avec facilité. 23 ans, l'âge de commencer une vie, de se poser. peut-être. elle sait pas trop, mais elle se dit, que c'est lui. l'homme de sa vie
• tout va bien, trop bien. vie de couple trop parfaite. un époux, pas souvent là, souvent en déplacement. une jeune mariée qui bosse ses exams de médecine dans un grand loft a L.A. c'est trop beau pour être vrai, même elle, elle en vient a douter. de leur bonheur. de ce mariage. 2 ans déjà. 25 ans.
• tout va étrangement. tout semble flou. tout semble mensonge, aux yeux de la belle. un époux, qui ne veut pas d'enfants, qui n'est pas là souvent. une vie bien seule, pour la souriante italienne. qui rêve de bambins, qui rêve d'une maison, d'un foyer heureux. elle veut pas, refaire la même erreur que ses parents. elle a peur au fond, de demander, pourquoi. pourquoi tu veux pas, pourquoi t'es jamais là, pourquoi tu t'en tape de moi.
• mais c'est trop tard, une fois. une fois, c'est tout ce qu'il a suffit. une seule visite de son frère, qui venait, discuter, la réconforter. pour qu'elle tombe dans ses bras, sans trop savoir pourquoi. sachant seulement, que c'était pas bien. qu'il fallait pas. moment d'absence, moment de doute, moment de faiblesse.
• enceinte. mais de qui ? enceinte de son mari ou bien de son frère. panique, stress. que faire, lui dire, mais jusqu'où ? elle supporte pas le mensonge, elle supporte pas, de lui cacher la vérité. ça la rend folle. 1 mois a passé. toujours rien, toujours ce silence, pesant, qui rend sa vie insupportable. deux mois. il faut se presser, décider, que faire. elle le veut cet enfant, mais elle sait. que lui, il n'en voudra pas.
• l'adultère, avoué, à la fin d'un repas. le regard fuyant, le rouge au joue. la surprise, la colère, le dégoût. ces expressions qui passent sur son visage. la colère surtout, la haine, peut-être. face à face, gênant, tendu. la claque, qu'elle n'attendait pas. la claque, puissante, sourde, témoin de sa tristesse, de son dégoût. la jeune femme, qui vacille, qui trébuche. la tête contre un angle, crâne qui s'ouvre, sang qui coule. la peur, dans ses yeux, quand elle voit les siens. méconnaissables. ce cri, qui se bloque dans sa gorge, ce cri. quand le pied heurte le corps, déjà plié en deux de la jeune femme. ce cri, qui lui arrache la gorge, le cœur. ce cri, qui réduit à néant sa force, son amour, elle.
• vaine tentative de le stopper, de frapper, encore. de l'arrêter, d'arrêter les larmes qui coulent sur leurs deux joues. sa haine, son dégoût, si profond, dans ses yeux. une main sur le ventre, sur son enfant, si innocent. si fragile. puis c'est une douleur, affreuse, horrible. insoutenable. un nouveau cri, qui sort du plus profond de ses entrailles. ce cri, de détresse, de peur. de douleur, de savoir, ce qu'il se passe. un dernier regard, vers l'homme. puis noir. noir total, noir complet.
• l'homme, affolé, troublé. qui porte sa femme, son sang qui tâche ses vêtements. les urgences, son lieu de travail. la jeune interne, que personne ne pensait enceinte. le corps mutilé. la tête en sang. mais c'est trop tard. tout est trop tard. on ne sauvera pas le bébé. mais elle pourra en avoir, d'autres, qu'ils disent. à l'homme, le beau menteur, le beau parleur. avec ces yeux, faussement traumatisés. avec ces mensonges. chute dans les escaliers, c'est ce qu'il a dit. affolé, qu'il semblait être.
• une fausse maman se réveille, dans un lit blanc. qui sait, que c'est trop tard. à la tête que font les médecins, que le bébé, le foetus. mort. la chute dans l'escalier lui a été fatale. les sanglots, qui déchirent son cœur, de sa perte, de son mensonge. elle se sent, si lourde, si mauvaise. elle n'est plus rien, elle veut plus. sourire, vivre, aimer. ça fait trop mal.
• il est partit. rejoindre son autre femme. belle mise en scène. il était déjà marié, avant de faire semblant de l'épouser. un faux mariage, une fausse mariée. un faux papier, qu'elle a crut vrai. faux, faux, faux. un adieu, prononcé du bout des lèvres, le visage blanc, de l'italienne, qui colle aux draps d'hôpital. plus de bébé, plus de mari, plus rien. plus rien. c'est ce qui reste d'elle.
• le changement, la transformation. d'une femme souriante, heureuse, joyeuse, gentille, si douce. du tout au rien, en quelques mois. de noirceur, qui a élu domicile dans son cœur, dans ses yeux. la méchanceté qui couvre ses traits, le sommeil qui fuit ses draps, la joie qui devient occasionnelle. si rare. la provocation, l'insolence. la haine, contre tout le monde. un passé qui détruit, ce qu'elle est.
• une année. a supporter, la douleur, quotidienne. un deuil impossible a faire, le mensonge, gravé dans ses souvenirs. impossible a enterrer. déménagement, fuir les gens connus. fuir ceux qui savent, partir sur une nouvelle base. San Francisco, la destination parfaite. personne ne connait, la vérité, l'affreuse vérité qui se cache derrière ce visage de plomb. derrière ces beaux yeux, qui brillent trop souvent de méchanceté, de sarcasme. un peu de joie, quand même. des sourires, souvent faux, mais souvent quand même. la positive attitude. adoptée, plus ou moins. pour cacher son secret, pour que personne ne sache.

PSEUDO/PRÉNOM : FAUST/Clara AGE : juste assez vieille pour boire des mojitos OU AS-TU CONNUS LE FORUM : sur bazzart FRÉQUENCE DE CONNEXION : tous les jours, plus ou moins Cause when our demons come, dancing in the shadows, to a game that can't be won. 1513718551

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CRÉDITS PHOTO ET CITATION : tumblr/the weeknd AUTRE : la bise sur vos fessiers Cause when our demons come, dancing in the shadows, to a game that can't be won. 931727201

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Dernière édition par Giulia Castaldi le Mar 24 Nov - 19:50, édité 4 fois

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Mon fessier te remercie Cause when our demons come, dancing in the shadows, to a game that can't be won. 3658223007

Bienvenue parmi nous Cause when our demons come, dancing in the shadows, to a game that can't be won. 2681711576

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Bienvenue

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Merci beaucoup tout le monde Cause when our demons come, dancing in the shadows, to a game that can't be won. 847720187

~~y'a des belles plantes dans le coin~~ Cause when our demons come, dancing in the shadows, to a game that can't be won. 102584760

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katie est magique. I love you

bienvenue parmi nous et bonne chance pour ta fiche. Cause when our demons come, dancing in the shadows, to a game that can't be won. 3280338288

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Bienvenue sur le forum et bon courage pour ta fiche. I love you

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bienvenuuuuue Very Happy

Bienvenue parmi nous

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Vous êtes tous beaux wesh Cause when our demons come, dancing in the shadows, to a game that can't be won. 1491530904

Merci tout le monde Cause when our demons come, dancing in the shadows, to a game that can't be won. 3900028027

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Bienvenue parmi nous avec la belle Katie I love you

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Il nous faudra un lien, parce que Katie et Caity font un superbe duo dans Arrow Cause when our demons come, dancing in the shadows, to a game that can't be won. 874225435

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Tu es toute en beauté Cause when our demons come, dancing in the shadows, to a game that can't be won. 3933891421

Bienvenue sur le forum Cause when our demons come, dancing in the shadows, to a game that can't be won. 989442020

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Je dis oui pour le lien (obligé quoi, caity my love) Cause when our demons come, dancing in the shadows, to a game that can't be won. 102584760

Merci à tous pour cet accueil Cause when our demons come, dancing in the shadows, to a game that can't be won. 1946898742

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J'aime tellement le début de la fiche Cause when our demons come, dancing in the shadows, to a game that can't be won. 1946898742

J'adore ta plume Cause when our demons come, dancing in the shadows, to a game that can't be won. 3280338288

Bienvenue par ici, je t'offrirais une boite de pansements pour tes genoux écorchés Cause when our demons come, dancing in the shadows, to a game that can't be won. 2803260893

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La voilà la belle blonde Cause when our demons come, dancing in the shadows, to a game that can't be won. 2816270367

Bienvenue sur le forum ma belle Cause when our demons come, dancing in the shadows, to a game that can't be won. 2681711576

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Bienvenue chez les fous! Cause when our demons come, dancing in the shadows, to a game that can't be won. 4163334

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bienvenue et bonne chance pour ta fiche

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la belle Katie et bienvenue en traumato, ma belle, tu vas souffrir avec mon jojo bienvenue sur le forum

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bienvenue parmi nous I love you

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Bienvenue magnifique demoiselle

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Johan, pas de soucis, ça va faire des étincelles je pense. j'ai hâte de voir ça Cause when our demons come, dancing in the shadows, to a game that can't be won. 183561602

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Encore une fois merci pour votre accueil; j'ai presque fini ma fiche Cause when our demons come, dancing in the shadows, to a game that can't be won. 3873690190

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Tu nous avais pas menti, pour de l'histoire, c'est de l'histoire Cause when our demons come, dancing in the shadows, to a game that can't be won. 3933891421

mais du coup, c'est bien avec le frère de son pseudo mari qu'elle a couché ? Cause when our demons come, dancing in the shadows, to a game that can't be won. 3393705361

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c'est pas très clair. Bon en tout cas, je te valide, bon jeu Cause when our demons come, dancing in the shadows, to a game that can't be won. 2681711576

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eheh contente que ça plaise Cause when our demons come, dancing in the shadows, to a game that can't be won. 1946898742

oui c'est ça, elle était enceinte du frère de son faux mari (j'avoue c'est compliqué Cause when our demons come, dancing in the shadows, to a game that can't be won. 2492390040

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)
Super, merci Cause when our demons come, dancing in the shadows, to a game that can't be won. 3900028027

» it's where my demons hide (paige)
» ∆ we create our own demons (jimmy)
» Les Démons se retirent quand un homme bon et intègre s'en va-t-en Guerre.
» (let's play a love game)
» If you don't like my rules don't play my game.