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 |  Sujet: Alistair - hello from the other side Dim 22 Nov - 12:40 | |
| ALISTAIR HOLLOWAY
“And I’d choose you; in a hundred lifetimes, in a hundred worlds, in any version of reality” NOM : Holloway, nom de famille de sa mère puisqu'il n'a pas connu son père PRÉNOM : Alistair, un prénom typiquement anglais, souvenir de son défunt père AGE : trente-trois ans SURNOM : Doc Clumsy ORIGINES : anglais STATUT : célibataire, il n'a jamais été marié et le concept ne l'intéresse pas vraiment MÉTIER : titulaire en cardiologie TRAITS DE CARACTÈRE : passionné, travailleur, sérieux, attentionné, amical, souriant, optimiste, secret, instable, soupe-au-lait GROUPE : masque AVATAR : Colin Donnell SCENARIO OU INVENTE ? : inventé ✃ It's as if I could not breathe without you.
♦ Alistair possède un petit carnet dans lequel il note la moindre maladie, le moindre cas sortant de l'ordinaire qu'il rencontre. Ca lui permet de rester attentif et de se rendre compte à quel point son travail est génial.
♦ Il déteste les nouvelles technologies mais il utilise Skype tous les jours, ainsi que son téléphone portable, afin de garder contact avec les personnes qui lui manquent et qui sont restées en Caroline.
♦ Il n'a été amoureux qu'une seule fois dans sa vie, et ce n'est pas le meilleur souvenir qu'il garde. Bien sûr, elle lui manque parfois, mais il préfère se concentrer sur son travail, parce qu'il sait que s'il vit avec quelqu'un, cette femme finira par se rendre compte de son problème de santé et elle lui dira d'arrêter d'exercer.
♦ Il n'a jamais connu son père mais grâce aux nombreuses photos et films que sa mère a pu lui montrer au cours de sa vie, il a l'impression d'avoir vécu avec lui. Il a cependant souhaité changer de nom pour vivre dans le présent et arrêter de vivre avec un fantôme.
♦ Il est profondément pacifiste et déteste les guerres. Lors des attentats du 11 septembre, Alistair a été très choqué mais s'est promis de ne jamais se mêler à ça. Pour lui, les soldats sont forcés de faire ce qu'ils font et il ne supporte pas de se dire qu'ils abandonnent leur famille pour aller se faire tuer au front.
♦ Il a des origines anglaises grâce à son père mais il n'a jamais mis les pieds dans ce pays et il ne compte pas le faire.
♦ Lorsqu'il opère, il a constamment une photo de sa mère dans une poche de sa blouse ou de son pantalon, pour se rappeler pourquoi il fait ça et grâce à qui il y est parvenu.
♦ Il est très sérieux dans son travail, mais il sera toujours le premier à proposer d'aller boire un verre après le service pour se détendre.
♦ Le meilleur moyen de se détendre selon lui c'est de se mettre dans le divan, devant un feu de cheminée, et de regarder un bon film. Il connait toutes les dernières sorties cinéma et est vraiment très fan d'un tas d'acteurs.
♦ Il est très patient, organisé et attentionné envers ses patients. Il prend toujours le temps d'expliquer les procédures, même quand les internes ou les résidents ont tendance à se précipiter pour opérer. Peut-être parce qu'il est lui-même patient.
♦ Il a acheté une moto afin de circuler plus facilement dans les rues de San Francisco.
♦ Il adore les enfants en tant que patients, mais il ne supporte pas les gamins en règle générale. Il ne se voit pas en avoir un jour mais il saura toujours se montrer très doux avec eux.
♦ Il a régulièrement des petites aventures avec des jeunes femmes, de l'hôpital ou pas, mais il ne se prend jamais la tête et considère ça comme une simple aventure sans lendemain. Il ne compte pas s'attacher.
♦ Il n'est pas un grand amateur des fortes chaleurs et préfère de loin la douce fraicheur de l'automne. Cependant, ne lui parlez pas de neige, il a horreur de ça!
✃ You are my paradise, but maybe I'm your hell
Huit avril quatre-vingt deux, une jolie journée de printemps comme on en vit tous les ans. C'est ce jour-là que Maggie Holloway a donné naissance à son fils, Alistair. Un prénom que son mari, tombé au combat, portait particulièrement dans son coeur. Maggie avait vécu ses deux derniers mois de grossesse toute seule, abandonnée par l'homme qu'elle aimait. Il était tombé sous les balles ennemies, il n'avait pas supporté cette guerre à laquelle il avait pourtant pris la décision de participer. Maggie lui en avait toujours voulu d'ailleurs, parce que s'il n'avait pas choisi de partir, il aurait pu voir son fils grandir, cet enfant dont il était tellement fier.
Lorsqu'elle avait vu deux militaires en costume arriver devant chez elle, elle avait compris que jamais plus elle ne le reverrait. Et pourtant elle devait se battre, à son tour. Elle devait survivre, pour offrir à son fils la vie qu'il méritait d'avoir. Et Maggie avait toujours été une mère exemplaire, se battant, entre ses deux emplois et l'éducation de son fils. Elle voulait lui offrir tout ce qu'il méritait d'avoir: une vie stable, une famille aimante, des amis qui seraient toujours là pour veiller sur lui, une vie que beaucoup d'enfants grandissant dans un foyer "normal" n'avaient pas. Durant toute sa vie, dans la cour de récréation, sur les bancs de la fac, Alistair avait vu des parents se déchirer dans des procédures de divorce futiles, des enfants battus par un père qui tirait un peu trop sur la bouteille, et puis des jeunes qui entamaient une école de médecine alors que leur rêve, c'était de devenir artiste, chanteur, écrivain ou styliste. Lui, il avait eu la chance de faire ce qu'il voulait, il avait eu la chance d'obtenir tout ce qu'il souhaitait, mais surtout, il avait eu la chance d'avoir une maman qui ferait toujours tout son possible pour qu'il ait une meilleure vie que la sienne.
Alors qu'il n'avait que neuf ans, Alistair avait annoncé à sa mère qu'il voulait devenir un docteur, pour soigner tous les gens qui avaient mal. Il avait observé sa cousine, ou du moins la fille d'une amie de sa mère qu'il considérait comme telle, il savait que quelque chose n'allait pas chez elle. Une leucémie, une maladie grave dont elle avait heureusement pu être guérie grâce à la ténacité des médecins. Lui aussi il voulait guérir des enfants, des gens qui avaient mal. Il voulait aussi éviter que d'autres petits garçons comme lui grandissent sans leur papa. Parce que ça faisait pleurer les mamans, et il n'aimait pas voir pleurer sa maman.
Sa mère avait accueilli la nouvelle avec un sourire, un calin, et l'émotion d'une maman qui savait que son fils réagissait parce qu'il voyait, parce qu'il observait, mais il changerait sans doute d'avis et quoi qu'il puisse vouloir, elle ferait tout pour le lui offrir. Cependant, en grandissant, l'avis d'Alistair n'avait pas changé. Il voulait toujours devenir médecin. Ses résultats dans les matières scientifiques prouvaient qu'il en était tout à fait capable, mais l'âge, la maturité et la notion de l'argent lui firent vite comprendre que sa mère ne pourrait pas assumer seule les frais générés par des études de médecine. Dès qu'il en eut l'occasion, il décida donc de se mettre à travailler pendant les vacances. Il put ainsi rapidement mettre de l'argent de côté, touchant petit à petit son rêve du doigt.
Dix-sept ans... Il était en dernière année, l'année des choix. Un jour au matin, alors qu'il tenait dans ses mains une tasse de café au lait, sa mère arriva derrière lui, lui annonçant qu'ils devaient discuter. Avec leurs économies, il pourrait faire des études de médecine, mais ça ruinerait sans doute sa maman. Et ni l'un ni l'autre ne souhaitait ça. Il devait faire une demande de bourse, et avec ses résultats il n'aurait aucun mal à l'obtenir, mais sa mère, dans un nouveau sursaut d'inquiétude bien particulier, lui demanda s'il était certain. Oui... Il était sûr, depuis qu'il avait neuf ans, il savait qu'il serait docteur. Comme une évidence qui s'était imposée à son esprit.
Son boulot de serveur dans un café lui avait permis d'accomplir son rêve, la confiance et l'amour de sa mère aussi. Dix-sept ans, c'est aussi l'année où il décida de changer de nom de famille, de prendre celui de sa mère. Pas une preuve de désamour pour son père, qu'il portait toujours en banderole dans son coeur, simplement une preuve plus forte de l'amour sans borne qu'il portait à celle qui lui avait tout donné: la vie, la chance, l'amour, la confiance.
Ses études de médecine, il les effectua dans la ville qui l'avait vu naitre, dans la ville qui l'avait vu grandir. Il ne voulait pas quitter la Caroline du Nord. Il s'y sentait bien, il s'y sentait heureux, vivant. Il y avait ses habitudes. Bien entendu il aurait souhaité intégrer une grande faculté, mais il devait aussi aider sa mère au quotidien, rester auprès d'elle. Depuis quelques temps, elle fréquentait quelqu'un, un homme qui semblait la rendre heureuse. Et si elle était heureuse, Alistair l'était aussi. Pendant ses études, Alistair était lui aussi tombé amoureux. Une fille géniale, douce, passionnée, étudiante en médecine elle aussi.
Mais la complicité avait fait place à la concurrence lorsqu'il avait été temps de choisir une résidence. Finalement, ils s'étaient quittés. Elle voulait se marier, lui ne le souhaitait pas, elle voulait des enfants, lui voulait trouver un poste stable avant tout. Finalement, son boulot comptait plus que sa vie de famille, sa vie d'homme.
Il avait fait trop de sacrifices que pour renoncer à tout ça maintenant. Alistair avait choisi comme spécialité la cardiologie. Il aimait ça: ça bougeait, le coeur était un organe fascinant, qui pouvait réserver bien des surprises. Mais quand, il y a deux mois, on lui avait proposé un poste de titulaire en cardio, il avait hésité. Il faut dire qu'un an plus tôt, il avait appris une nouvelle qui avait changé toute sa perception de la médecine.
Jamais il n'était parvenu à mettre sa mère au courant. Jamais il n'avait eu de secret pour cette femme, mais ça, il ne pouvait pas le lui dire. Elle avait déjà perdu son mari, elle ne pourrait pas supporter de risquer de perdre son fils. Lors d'une visite de contrôle, un ami médecin avait annoncé à Alistair qu'il était atteint d'une tumeur au cerveau, opérable certes, mais l'opération comportait beaucoup de risques, bien trop de risques. Il ne pouvait pas faire ça, pas maintenant. Sa vie était trop parfaite. Cette tumeur ne remettait pas en cause son métier, juste sa mémoire à court terme. Il oublierait un prénom, une date de naissance, une information qu'on venait de lui donner, mais ça n'irait pas plus loin. Cependant, s'il avouait ça à son nouvel employeur, c'était la fin de sa carrière, à condition qu'il accepte l'opération.
Alors il avait accepté le poste, sans avouer, sans dire la vérité, en mentant sur son état de santé. Voilà donc deux mois qu'il avait emménagé à San Francisco. Il se faisait peu à peu à la vie ici, et il parvenait à garder le contact avec sa mère, qui était restée dans leur petite ville. Elle lui manquait horriblement, mais comme elle l'avait dit elle-même, il devait prendre sa vie en main. C'était ce qu'il faisait. Non seulement il prenait sa vie en main, mais il prenait également sa mort en main.
Mais ça, c'était un secret qu'il gardait bien enfoui en lui, et il espérait que les signes de sa tumeur passeraient inaperçus, jusqu'à ce qu'il doive y faire quelque chose...
PSEUDO/PRÉNOM : MissMady AGE : 26 ans OU AS-TU CONNUS LE FORUM : grâce à Bazzart FRÉQUENCE DE CONNEXION : tous les jours CRÉDITS PHOTO ET CITATION : wolvista pour la photo AUTRE : écrire ici
Dernière édition par Alistair Holloway le Dim 22 Nov - 13:53, édité 9 fois |
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Leela Robertson
MESSAGES : 1223 SINCE : 28/10/2015 NICKNAME : Mashed Woods - Justine FACE, @ : Priyanka Chopra
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Quote: « Je suture une banane dans l’espoir vain que ça réveillera mon cerveau. »
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| | Sujet: Re: Alistair - hello from the other side Dim 22 Nov - 14:27 | |
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Bienvenue officiel 
si tu as besoin de quoi que ce soit, n'hésites pas à nous faire signe 
bienvenue sur le forum et bon courage pour ta fiche 
je pense que je viendrais te voir pour un lien 
J'hésitais à le prendre en DC parce que j'adore cet acteur 
et cette face 
J'adore, ça risque d'être intéressant tout ça