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 you're the one that make me smile {ben

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MessageSujet: you're the one that make me smile {ben   you're the one that make me smile {ben EmptyMar 22 Déc - 11:27


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ben & mia
c'est le mal de crâne, qui fait grogner de douleur la blonde quand elle daigne ouvrir une paupière. elle ferait mieux de rester couchée toute la journée, en fin de compte. mais c'est déjà son corps qui se remet en marche sans qu'elle ne puisse retourner dans les bras de Morphée. elle s’assoit doucement, lentement, pour pas trop secouer son crâne encore imbibé d'alcool, de la veille. sa bouche est pâteuse et elle est certaine de ne ressembler à rien. lendemain d'une soirée (trop) alcoolisé, de base. dans l'espoir de chasser sa gueule de bois, elle se frotte le visage de ses mains, avant de se décider à ouvrir définitivement les paupières pour se lever, maladroitement. elle a cette étrange impression, d'être encore bourrée de la veille, cette impression désagréable d'avoir les jambes trop lourdes, le corps en béton et la bouche en carton. elle soupire quand elle pense qu'aujourd'hui, elle ne va pas bosser. rare jour de repos qu'on lui a accordé. miracle, elle ne pouvait rêver mieux, dans son état. puis, c'est finalement devant un miroir de sa chambre, qu'elle échoue, pour se regarder, en grimaçant légèrement. elle a vraiment une gueule de déterrée. mais c'est pas ça, le pire. le pire c'est le petit rond rougeâtre à la base de son cou. putain de suçon. vainement, elle essaie de le faire disparaître, dans le vague espoir que se soit du rouge à lèvres. mais non, y'a bien un suçon sur son cou. et merde, elle va se faire tuer. et en plus, elle se rappelle même pas qui en est à l'origine. en fait, elle se souvient de pas grand chose. des éclats de sa soirée, flous et effacés par l'alcool lui remontent vaguement à l'esprit. mais ça aussi, c'est douloureux, de chercher dans sa mémoire, avec son cerveau qui patauge dans l'alcool. mais au moins, elle est rentrée chez elle, seule et en un seul morceau. elle enfile un gros sweat gris avant de se diriger, instinctivement vers la chambre de Ben. c'est un truc qu'elle fait depuis qu'elle est gamine, aller grappiller quelques heures de sommeil dans le lit de son frère. à 25 ans, c'est peut-être plus trop de son âge, mais elle s'en tape pas mal. c'est la tradition de son enfance, peut importe qu'elle soit légèrement trop vieille pour ce genre de choses. elle se masse les tempes, encore une fois, dans le vain espoir de faire passer la mal de crâne. il va l'engueuler, à moins qu'il soit dans un état pire que le sien. ce qui est très probablement le cas, et avec un peu de chance, il ne pourrait rien lui dire. la porte s'ouvre, laisse sortir une grande rousse en sous-vêtements, fringues à la main. ça fait sourire la blonde, qui est bien trop habituée, pour être surprise. de toute façon, depuis qu'il a 15 ans, elle attend que sa copine d'un soir sorte de sa chambre pour venir réclamer un peu de tendresse. c'est juste que ça la fait sourire, il changera jamais. il plaira toujours autant aux filles, avec sa grande gueule, son corps tatoué et ses blagues de merde. y'a la rousse qui fronce les sourcils quand elle voit Mia s'engouffrer dans la chambre de Ben, mais apparemment, elle est plutôt pressée de rentrer chez elle puisqu'elle se tire sans demander son reste. la blonde, sans hésiter se jette sur le lit de son frère, sourire aux lèvres, avec un surprenant regain d'énergie. elle fait claquer un doux baiser sur son front, alors qu'il semble dormir à poings fermés. malheureusement pour lui, ça ne va pas durer. la gamine se glisse sous la couette, pour profiter d'un peu de chaleur -et thanks god, il n'est pas à poil-. elle soulève avec difficulté l'un de ses bras pour se glisser en dessous et passer le fameux bras autour d'elle, avant de lui faire un deuxième bisou, cette fois bien baveux, sur la joue. c'est fou comme son mal de crâne semble être passé au deuxième plan, embêter ses frères, ça a toujours été son passe-temps favori, de toute façon. elle fait la moue, la gamine, quand elle voit qu'il se réveille pas. doute confirmé, son état est pire que le sien, elle devrait pas trop se faire engueuler. par contre, elle a vraiment envie de l'embêter. l'avantage, c'est qu'il dort la bouche fermée et que, par conséquent, c'est simple de le réveiller. elle pince doucement son nez et attend patiemment qu'il daigne se réveiller, en pouffant légèrement, un grand sourire sur ses lèvres. l'amour fraternel, c'est son domaine de prédilection, et même s'il va (très) probablement faire la tronche, elle sait comment se faire pardonner, elle se fait toujours pardonner.
electric bird.
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MessageSujet: Re: you're the one that make me smile {ben   you're the one that make me smile {ben EmptySam 26 Déc - 12:46



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Mia & Ben Vermeer

Bordel. C'est quoi cette connerie ?! C'est sans préavis que Ben est extirpé du sommeil profond dans lequel il était plongé depuis quelques heures. Sans préavis et, surtout, dans le flou le plus complet. Ses yeux s'ouvrent brusquement et son cerveau se remet en route à sa vitesse. C'est-à-dire très lentement. Le temps que les rouages se mettent en marche est infiniment long. Après quoi, enfin, Ben comprend. Il sent un poids à côté de lui mais il se doute que ce n'est plus la rousse - où était-elle blonde ? - de la veille qui est là. Il lui a expressément fait comprendre qu'il ne voulait pas qu'elle le fasse chier, et qu'elle se tire très vite - avant qu'il se réveille, de préférence -. Elle n'avait pas non plus l'air de vouloir s'accrocher ou de l'énerver en le réveillant telle une brusque de bon matin. Alors, non, ce n'est pas elle. Et ses yeux lui donnent raison, lorsqu'ils se posent à côté de lui, sur une petite blonde qu'il connaît bien mieux. Mia. Il comprend à sa mine coupable qu'elle vient de le réveiller de la pire des façons, soit en lui bouchant le nez. Il jouerait bien les agacés mais avec Mia, il n'en est pas capable. Quoi qu'elle fasse, elle réussit à être mignonne celle-ci. Ce devrait être un crime puni par la loi - mais quand bien même ce serait le cas, Ben n'accepterait pas qu'il lui arrive quoi que ce soit -. « Tu veux ma mort ?! » Dit-il en posant une main sur son cœur, l'air plus dramatique que jamais. Imaginez un peu qu'il ne se soit pas réveillé, hein. Et que sa respiration n'ait pas repris son rythme normal. Il dramatise, il dramatise mais son corps n'est pas capable de le suivre. Il sent qu'aujourd'hui sera une journée au ralenti. Une journée à ne rien foutre. Une journée à passer avec Mia, pourquoi pas ? Si elle est là, il n'y a pas de raison pour qu'il la laisse partir. La tête de Ben part de nouveau sur le côté, pas parce qu'il s'est rendormi mais parce qu'il ... repose ses yeux. D'une voix pâteuse, il réussit néanmoins à prévenir sa petite sœur préférée. « Je suis trop fatiguée pour t'engueuler ... mais pas assez pour te cuisiner. » Il devine qu'elle n'était pas chez eux hier soir, ou en tout cas qu'elle n'y a pas passée toute sa nuit. Et Ben n'était pas avec elle alors, forcément, il veut tout savoir. Il s'en voudrait si quelque chose lui était arrivé, tout ça parce qu'il voulait sauter la première venue. Mia est peut-être assez grande pour faire ses propres choix et pour prendre soin d'elle mais l'avis de Ben ne changera jamais là-dessus : il est là pour la protéger. Pour l'empêcher de faire des conneries. « Qu'est-ce que tu as fait hier soir ? T'es rentrée tard ? » Pire qu'un petit-ami jaloux : un frère curieux. Et déterminé à tout savoir. Elle a plutôt intérêt à tout cracher maintenant ou il usera de tous les moyens à sa portée pour la faire se confesser. En attendant, il la serre de son bras - celui-là qu'elle a visiblement elle-même glissé sous sa tête -. Tant qu'elle ne lui a pas avoué avoir fait quelque chose d'horrible - selon Ben Vermeer, hein -, il compte bien profiter de ces instants de tendresse. Entre eux deux, ils ne sont pas rares mais ils sont toujours précieux. Et puisqu'elle n'a pas encore rouvert la bouche pour lui donner les détails de sa soirée, Ben essaye de se remettre de la sienne. Comme il peut. Bien qu'elle l'ait réveillé de la pire des façons, il pose un baiser sonore et baveux sur le sommet de son crâne, tout en l'écrasant contre son torse, son menton posé sur sa tête. Elle l'a empêché de respirer, pourquoi pas lui ? Il maîtrise sa force de toute façon alors il ne risque pas de lui faire du mal. A moins qu'elle ne lui avoue avoir ramené un mec à la maison, profitant du fait qu'il était lui-même très occupé - vous voyez très bien ce que cela signifie - dans sa chambre. Raaah, non, ne pense pas à ça, Ben. Mia va très vite l'éclairer, de toute façon. Et le rassurer aussi. Parce qu'il en a besoin. Atrocement. En attendant de l'entendre lui dire qu'il ne s'est rien passé et qu'elle a à peine touché à un verre d'alcool - mais sur cela, il ne la croira jamais, qu'on se le dise -, il ferme les yeux. Peut-être qu'il pourra finir sa nuit ... un peu plus tard. Une fois qu'il saura tout sur tout.

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MessageSujet: Re: you're the one that make me smile {ben   you're the one that make me smile {ben EmptySam 2 Jan - 21:37


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ben & mia
c'est franchement une mauvaise idée de le réveiller de cette manière, et elle le sait très bien, la petite blonde. qu'il risque de faire la gueule, de lui lancer un regard noir. parce que lui aussi, il sent l'alcool, les relents de sa soirée sont bien pires que ceux de Mia et, par conséquent, il va pas être d'humeur à rire de sa petite plaisanterie. c'est comme ça, collée contre son torse, qu'elle le regarde, avec un demi-sourire, presque coupable, s'éveiller brusquement. avec ses yeux rougis, sa mine fatiguée, elle se dit qu'elle aurait mieux fait de s'endormir contre lui, au lieu de le réveiller. mais c'est trop tard, il remue un peu, sous le corps de la petite blonde, lovée contre lui. mais elle peut pas s'empêcher de rire doucement quand il joue sa drama queen en posant une main sur son torse. elle secoue doucement sa tête, en retenant une légère grimace de douleur, quand son geste réveille sa gueule de bois. bien joué Mia. s'il savait dans quel état elle était hier, il deviendrait très probablement moins calme. il sait trop bien lui faire la morale et l'engueuler. il a bien l'habitude aussi, faut le dire. mais elle l'écoute pas vraiment, parce qu'elle est persuadée qu'il la surprotège, et c'est le cas. alors elle hoche de la tête, essaie de ne pas s’attirer trop d'ennuis mais c'est visiblement devenu sa spécialité. le suçon sur son cou en est la preuve. et c'est certain qu'il ne doit pas le voir. la tête de son frère retombe mollement sur le côté en même temps que ses paupières qui se ferment, mia remue contre lui pour se caler confortablement, bien décidée à se rendormir. mais il ne va pas lui laisser ce loisir. puisqu'il n'est pas assez fatigué pour lui poser l'habituel interrogatoire. et merde. la gamine se mord la lèvre inférieure, elle sait pas mentir. elle n'a jamais su. et encore moins devant son frère, ses frères. ses modèles, ceux qui l'ont élevés, à la place de leurs propres parents. alors les chances sont minces, pour qu'il avale sa version de l'histoire. et c'est peine perdue s'il découvre la petite marque rouge, au creux de son cou. voilà, il lui demande ce qu'elle faisait hier, à quelle heure elle est rentrée. en fait, elle ne sait même pas à quelle heure. c'est encore confus, dans son crâne. alors elle grogne un peu, pour lui montrer qu'il fait chier à toujours tout vouloir savoir. elle essaie de construire une excuse crédible mais elle est rapidement interrompue par le bras de son frère qui l'écrase contre son torse avec force. elle éclate de rire quand il bave sur son front en déposant un baiser sur ce-dernier. parce que voilà, malgré tout, elle l'adore. même s'il la protège trop. il restera son grand frère adoré. quoi qu'il fasse. alors, elle profite de cet instant pour oublier sa question. et elle gigote sous son bras, pour se dégager de son emprise, mais bien évidemment, avec sa force, elle n'arrive pas à grand chose. sans hésiter, en pouffant doucement, elle le chatouille afin de se dégager, un peu plus, de son corps écrasé contre le sien. elle le regarde avec son joli sourire, un peu éloignée de lui, encore allongé. elle croise ses bras sur son torse en plantant son regard dans le sien. c'est le moment de lui dévoiler sa version de sa soirée. elle déteste lui mentir, surtout maintenant, alors qu'ils sont bien. qu'elle est contre lui, souriante de toutes ses dents, ses pupilles dansantes. mais elle veut pas le voir s'énerver, alors elle remonte discrètement le col de son pull pour masquer la naissance de son cou. - rien de spécial, je suis allé en boîte. avec des amies. elle s'étire pour déposer un baiser sur sa pommette. puis, doucement, elle vient poser sa tête sur ses bras en espérant secrètement qu'il ne remarque rien. qu'il fasse confiance à sa petite sœur. - et je te rassure, j'suis pas rentrée aussi tard que toi. elle ajoute, en pouffant doucement. bon, si, elle est rentrée un peu après lui. mais il ne le sait surement pas, la rousse devait l'occuper de manière suffisante. elle baille à s'en décrocher la mâchoire, elle rêve d'un aspirine et d'une nuit supplémentaire de sommeil. elle remonte les couvertures sur son dos, recouvrant au passage son frère, sur lequel elle est à moitié allongée. de ses petits bras, elle entoure le torse musclé de son frère, elle aime bien, le serrer fort contre elle, ça la rassure. ça lui fait du bien. elle ferme ses yeux trop fatigués, et, espère encore qu'il ne va pas chercher à comprendre plus. à en savoir plus. mais ça, se serait mal connaître Ben Vermeer et son entêtement à tout savoir, dans les moindres détails.
electric bird.
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MessageSujet: Re: you're the one that make me smile {ben   you're the one that make me smile {ben EmptyVen 8 Jan - 21:27



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Mia & Ben Vermeer

Les questions fusent, quand bien même Ben est exténué. Il n'oublie pas l'essentiel et la soirée de sa petite sœur adorée en fait indéniablement partie. Il a besoin de savoir avec qui elle était, ce qu'elle a fait et à quelle heure elle est rentrée. Certains le disent trop collant avec elle, lui se considère comme un peu trop protecteur. Rien qu'un peu. Parce qu'il s'agit de sa petite sœur, après tout, et cela ne peut pas être de trop. Les gens qu'on aime, on veille à les protéger contre la noirceur du monde, non ? Et Ben sait précisément ce que tous les mecs ont dans la tête. La plupart sont comme lui, autant dire pas recommandables du tout. Et pas assez bien pour sa petite Mia. Alors, tant pis s'il l'étouffe. Tant pis s'il est trop. Lui, cela lui va bien ainsi. Et si Mia en est agacée, parfois, elle n'est pas non plus du genre à s'en plaindre plus que cela. Alors pourquoi changer les bonnes vieilles habitudes, hein ? En attendant la réponse de sa sœur, qui ne tardera pas à arriver il en est certain, Ben pose le bisou le plus baveux de l'histoire de l'humanité sur son front avant de la serrer contre lui. Fort. Trop, peut-être. Mais ce trop n'a définitivement pas sa place avec Ben ; il n'est jamais dans l'excès. Jamais. Pour le faire lâcher prise, Mia commence par essayer de s'écarter de lui. C'est aussi simple que cela mais ... ça ne fonctionne pas. Pas du tout. Tout ce qu'elle parvient à faire, c'est le faire rire. Un peu bizarrement, d'ailleurs. Sans doute l'alcool altère-t-il encore ses capacités et certains aspects du Ben que l'on connaît. Toujours est-il qu'elle finit inévitablement par trouver la solution : elle le chatouille. Ben n'est pas le plus grand craintif de ce genre de pratiques, mais il n'adore pas ça non plus. Aussi s'écarte-t-il prudemment, tout en restant proche d'elle bien sûr. Si elle est venue jusqu'ici, ce n'était quand même pas pour le foutre par terre et profiter de son lit. De toute façon, tout cela est oublié, une fois que Mia a ouvert la bouche. En boîte ? Il ne peut pas lui interdire ce genre de sortie - même s'il s'est toujours fait un point d'honneur à lui déconseiller et à lui expliquer en quoi c'est mal / dangereux -. Mais il n'en reste pas moins légèrement inquiet. On sait tous ce qui peut se passer en boîte, surtout quand les filles ont bu un ou deux verres ... Dont elles ne savent pas toujours la provenance. Pas très sage tout ça. A son tour, Mia le sert contre lui, enfouit d'ailleurs sa tête où il ne pourra plus la voir. A-t-elle quelque chose à lui cacher pour ne pas plus vouloir croiser son regard ? Il la connaît bien, sa Mia. Mais compte tenu de son état encore pitoyable et très altéré par la trop grande quantité d'alcool ingurgitée la veille, Ben n'est pas sûr de vouloir trop en apprendre. Sait-on jamais, qu'elle ait fait quelque chose répréhensible que Ben ne supportera pas. Enfin, cela ne doit pas l'empêcher d'essayer d'en savoir un peu plus ... dans la limite du raisonnable et du supportable, bien sûr. « T'as pas été emmerdée en boîte ? » Lâche-t-il de sa voix bourrue, pas très contrôlée. Sa gorge est sèche et, d'ailleurs, il crève de soif. Mais pour rien au monde il ne se retirerait de cette étreinte apaisante pour aller assouvir ce besoin primaire. Ça attendra. Surtout si la réponse de Mia s'avère positive - bien qu'elle ne le sera pas, Ben s'en doute -. « La prochaine fois tu m'invites, ingrate de sœur. » Il l'avouera sans problème si quelqu'un lui pose la question, ce n'est pas surtout pour passer la soirée avec sa Mia ... mais bien pour pouvoir veiller sur elle. Le comportement des mecs, en boîte, est très souvent à la limite. Autant dire que Ben se serait fait un point d'honneur de tenir Mia et ses amies - quoi que ce n'est pas son problème, ça - à distance des lourds bourrés. Un peu ce à quoi il ressemblait hier soir encore, d'ailleurs. « Et puis je les connais ces amies, d'abord ?! » Il joue les innocents, fait l'air de rien mais la question lui brûlait les lèvres. Il fallait qu'elle les franchisse avant de tout dévaster sur son passage. Bah quoi ? Il a quand même le droit de chercher à garder un tant soit peu de contrôle sur les fréquentations de sa sœur, non ? Il ne pourrait pas accepter qu'elle se mette à traîner avec ses pouffiasses de première catégorie. Il faut parer à toute éventualité. En toutes circonstances.

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MessageSujet: Re: you're the one that make me smile {ben   you're the one that make me smile {ben EmptyLun 11 Jan - 17:31


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ben & mia
la gamine, elle voudrait juste dormir, encore un peu. encore quelques heures, collée à son frère. c'est pour ça qu'elle est venue dans son lit, c'est toujours pour ça, qu'elle vient se coller au corps tatoué de son frère. pour oublier le reste, la réalité. c'était tout ce qu'elle voulait et elle le pensait trop ivre de la veille pour lui poser des questions, mais apparement non. évidemment que non. il n'est jamais trop fatigué pour ce genre de choses. et même si Mia ne supporte pas d'lui mentir, elle ne peut pas lui dire la vérité, parce qu'encore une fois, il ne comprendra pas. parce que c'est son grand frère, trop protecteur, qui ne rigole pas, avec ces choses là. son grand frère, toujours sur son dos, comme les trois autres, qui veut out savoir. tout le temps. alors Mia, elle fait son possible. pour masquer sa fatigue, sa gueule de bois, le suçon laissé par un inconnu. le genre de trucs qui ferait réagir au quart de tour Ben Vermeer. le grand frère beaucoup trop protecteur, mais peut-importe. c'est son frère, son sang. sa famille et tant pis, s'il est trop envahissant. elle sait composer avec, Mia, d'puis le temps. elle sait bien l'amadouer, malgré tout. avec sa petite bouille fatiguée, ses yeux brillants, sa douceur. elle le pousse à ne pas chercher plus loin. à ne pas mieux regarder, ce qui crève les yeux. la gueule de bois, ses cernes discrètes sous ses yeux, son corps en carton et la marque rougeâtre. le pire. la marque de possession laissée par un gars rencontré en boîte, dont elle ne se souvient même plus. le gars, qui l'a marqué, alors qu'il savait pas, que Mia, elle sera à toujours et à jamais à ses quatre frères. trop protecteur, beaucoup trop. et Mia, qui doit lui mentir pour pas se faire plus engueuler encore, en sachant, que de toute façon, il finira par savoir. elle ne peut pas se cacher, personne ne lui laisse ce loisir. personne, jamais. alors Mia, serrée contre le torse de son frère, enfin plutôt écrasée, elle rigole, doucement. pour penser à autre chose, s'éloigner de la réalité, ce qu'elle voulait. ce qu'elle veut. elle se tortille, sous l'bras de Ben qui écrase son corps fin contre le sien. elle grogne un peu, tente de se débattre mais parvient juste à l'faire se marrer, avec sa voix qui déraille. avec sa voix sourde et encore teintée des excès d'la veille. puis c'est finalement, en utilisant la technique universelle des chatouilles qu'elle s'écarte -à peine- de Ben. qu'elle se délivre, un peu de son étreinte. elle croise les bras sur son torse, pose sa tête dessus, elle fuit son regard, la blonde. parce qu'elle est incapable de lui mentir, en l'regardant dans les yeux. elle sait pas mentir, pire, elle aime pas ça. alors elle lui répond, du bout des lèvres. elle le connaît tellement bien, qu'elle pourrait presque sentir son corps se tendre, en entendant sa réponse; parce qu'elle sait, qu'il veut pas que sa soeur sorte dans ce genre d'endroits, elle le sait trop bien. et c'est peut-être pour ça, qu'elle y va, en fin de compte. y'a un petit sourire, qui se dessine sur ses lèvres, quand il lui demande si elle n'a pas été emmerdée. ouais, c'est bien son frère, y'a pas de doutes. même avec sa voix grave, sourde et bourrue, elle le reconnaîtra toujours. avec ses questions de grand frère, qui veut toujours trop en savoir. elle fait non d'la tête, la gamine. mais en vérité, c'est flou, elle s'en souvient plus vraiment, d'sa soirée. mais ça non plus, elle ne peut pas lui dire. puis finalement, quand il lui demande de l'inviter la prochaine, en la traitant d'ingrate, elle éclate doucement de rire. elle tourne la tête vers lui, pour croiser son regard, un léger sourire sur son visage fatigué. - mouais, on verra. puis j'te signale que tu m'invites pas non plus dans tes soirées. y'a un sourire éclatant sur son visage, quand elle lui fait remarquer. quoique qu'elle se doute bien, que c'est pas que pour passer la soirée avec elle, s'il l'accompagne. mais surtout pour la protéger, montrer à tout le monde, que la petite Vermeer est bien gardée. jalousement protégée; et que personne, ô personne ne la touchera. c'est de ça, qu'elle aimerait se libérer, Mia. sauf que ça n'arrivera pas, elle le sait. aucun de ses frères ne le permettra, elle se demande même, si ça changera un jour. probablement pas, en fait. puis encore une question, sur ses amies. elle hausse les épaules, parce que cette fois, elle peut dire la vérité. ces amies, elles ressemblent pas vraiment à Mia, quoiqu'un peu, dans le fond. mais c'est pas des mauvaises filles, c'est plus souvent des filles sérieuses que dévergondées. - des internes qui bossent à l'hôpital. pas assez dépravées pour que tu les tapent. elle lui fait un clin d'oeil, avec un petit sourire sur les lèvres. elle aussi, elle sait dire ce genre de choses. elle connaît bien, trop bien maintenant, depuis 10 ans, le genre de filles qui attirent son frère. les emmerdeuses, les filles à problèmes. il en a ramené un nombre incalculable à la maison, dans son lit. c'est pas le genre de choses qu'il peut cacher à Mia. mais maintenant, elle peut lui poser des questions, y'a pas de raisons qu'il soit le seul à en poser. elle compte bien en apprendre un peu plus sur sa dernière conquête. - et toi, ta rousse, elle est fréquentable ? enfin si tu t'en souviens encore.
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MessageSujet: Re: you're the one that make me smile {ben   you're the one that make me smile {ben EmptyJeu 14 Jan - 13:26



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Mia & Ben Vermeer

Bien sûr qu'il la bombarde de questions. Bien sûr qu'il veut tout savoir, Ben. Il a besoin d'être rassuré, de comprendre que Mia a passé une bonne soirée sans pour autant être emmerdé. Sans pour être entraîné dans des choses qu'elle ne peut pas contrôler et qui la détruiraient plus qu'elles ne l'aideraient. Au fond de lui, il se doute qu'elle ne lui dit peut-être pas tout. Qu'elle certains détails pour elle. Suffit de voir sa manière de scomporter avec lui, sa manière d'éviter son regard comme si elle avait peur qu'il puisse y trouver quelque chose. Et s'il continue à lui poser des questions, ce n'est pas pour autant qu'il est sûr de vouloir tout savoir. Parce que s'il y a bien une chose qu'il sait, et que Mia sait elle aussi, c'est qu'il s'énerve au quart de tour. En particulier quand ça concerne sa petite sœur chérie. Alors il est bien dans ses illusions. Dans leur discussion en surface. « Bien sûr que j't'invite pas ... c'est bourré de testostérones et je serais obligé de rester collé à toi toute la soirée. Quoi que, t'adorerais ça. » Ahah, ou pas. Mia, elle a beau ne pas le montrer au quotidien, il lui arrive de s'énerver face aux caractères trop protecteurs de ses frères. Mais c'est pour son bien qu'ils font ça, qu'ils sont comme ça. Ce n'est pas pour l'emmerder. « Mais faudra que tu m'invites un jour quand même ... que je m'assure que tu crains rien et que tu te feras plus jamais emmerder. » Il pourrait presque marquer son terrain, leur faire savoir à tous qu'ils ont plutôt intérêt à distance de la petite Mia. Au risque de subir le courroux de Ben Vermeer, qui ne paye pas forcément de mine comme ça mais qui sait se défendre. On le cogne, il cogne. Et parfois même, on ne le cogne pas, il cogne. Quand il se prend des coups, bien sûr qu'il souffre, mais cela ne l'empêche pas de revenir à la charge. Jamais. C'est une teigne, ce mec. Un acharné qui ne baisse pas les bras au premier ennui. Oh non, loin de là. En attendant, c'est sans aucun doute Mia qui a le plus d'influence et d'impact sur elle. La preuve, elle vient de réussir à desserrer son étreinte en utilisant une technique somme toute enfantine. Des chatouilles. Faut dire qu'elle le connaît mieux que personne, et qu'elle sait qu'il craint ça. Un peu. Enfin, ce n'est pas ce qui va détourner Ben de ses objectifs premiers et de ses intentions initiales. C'est elle qui est venue dans cette chambre, dans ce lit. A ses risques et périls. Maintenant, elle doit assumer et répondre à toutes ses questions. Jusqu'à faire taire la petite voix, dans la tête de Ben, qui lui dit d'ouvrir grand les yeux et de fouiner encore un peu ... rien qu'un peu. Pour trouver un petit quelque chose. Pour l'instant, il ne le fait pas et ça vaut mieux pour tout le monde. « Oh tu sais je peux toujours m'occuper de les dévergondées ... et de les faire devenir dépravées. » Bah quoi ?! Il faut bien leur donner un coup de mains, à ces pauvres filles, certaines doivent crever d'envie de lâcher un peu prise. Ben serait ravi de les y aider, en bon samaritain qu'il est bien sûr. Mais ce sont les amies de Mia, et rien que cette idée suffit à le faire reculer. Il n'a pas envie de briser les amitiés de sa sœur, d'interférer dans ses relations. En voulant à tout prix lui venir en aide, la protéger envers et contre tous, il s'est également promis de ne jamais, oh grand jamais, coucher avec des amies à elle. Mais les erreurs arrivent, hein ... il ne peut pas toujours avoir qui est l'amie de qui. Surtout qu'à l'hôpital, tout le monde se connaît plus ou moins. Et il ne va pas se priver de se taper des gonzesses parce qu'elles ont déjà parlé à Mia. Faut pas abuser non plus. La rousse ... Quel changement de sujet ! Ben a, au moins, désormais confirmation sur la couleur de ses cheveux. Elle était bien rousse, et pas blonde comme il se l'était peut-être imaginée. « Ah ... elle était donc bien rousse. » Il rigole légèrement, notamment parce qu'il sait que Mia réagira à ça. Et puis, il lui donne déjà un petit aperçu de sa réponse ... il ne se rappelle peut-être pas assez d'elle. Mais il a quelques bribes de souvenirs quand même. Et il sait que, contrairement aux internes dont vient de lui parler sa petite sœur adorée, elle était tout sauf "pas assez dépravée". « Elle est fréquentable ... pour des gens comme moi. Mais définitivement pas pour toi. » Il lui lance un coup d’œil qu'il veut sévère, alors qu'il ne peut même pas voir ses yeux le bougre vu la position dans laquelle ils se trouvent désormais, avant de se lancer. « Si tu la croises dans la rue ... change de trottoir. Elle pourrait avoir un effet néfaste sur toi en un seul regard, j'en suis sûre. » Parce que dépravée est un terme bien faible pour définir la rousse - donc - qui a partagé son lit cette nuit. En tout cas, elle n'est pas assez bien pour Mia. Hors de question qu'elle fréquente une personne comme elle, quand bien même Ben sait qu'il ne peut pas tout contrôler dans la vie de Mia. Et cette seule idée suffit à le rendre complètement dingue.
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