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 |  Sujet: kiss me under the light of a thousand stars (hanna) Lun 14 Déc - 19:55 | |
| HANNA DICKENS
“And I’d choose you; in a hundred lifetimes, in a hundred worlds, in any version of reality” NOM : Dickens PRÉNOM : Hanna, Joy en l'honneur de sa grand-mère maternelle qu'elle n'a jamais connu. AGE : vingt-sept printemps SURNOM : Joy, qui est en fait son deuxième prénom, mais qui lui va plutôt bien à cause de sa nature enjouée. ORIGINES : américaines. STATUT : célibataire. MÉTIER : résidente en chirurgie pédiatrique. TRAITS DE CARACTÈRE : amicale + souriante + compétitive + ambitieuse + déterminée + imprévisible + à l'écoute + sensible + intelligente + indépendante + dynamique + spontanée + joueuse + fière + attachante + bavarde + perspicace + douce + bornée + éternelle insatisfaite + jalouse en amour + ouverte d'esprit + secrète + enjouée. GROUPE : stethoscope. AVATAR : Elizabeth Olsen SCENARIO OU INVENTE ? : inventé. ✃ It's as if I could not breathe without you.
elle est née et a grandi à Boston + elle a été fiancée pendant deux ans + devenir chirurgienne est un rêve qu’elle a depuis toute petite. elle ne se voyait pas faire autre chose + elle a mis au monde un petit garçon à l'âge de 22 ans, mais ce dernier est mort à l'âge de deux ans seulement + la mort de son fils l'a beaucoup bouleversé. même si aujourd'hui, elle a réussi à refaire sa vie, elle n'a pas totalement fait son deuil + elle a le vertige, et panique facilement lorsqu'elle se retrouve trop en hauteur + c'est une romantique dans l'âme. elle pourrait passer des heures à regarder des comédies romantiques + la famille est très importante pour Hanna. elle a grandi entourée d'un grand frère et d'une petite soeur, faisant d'elle la cadette de la famille + elle prend régulièrement des cours de self defense + elle ne passe pas une journée sans boire minimum deux grandes tasses de café. après tout, il faut bien qu'elle reste éveillée pour les longues gardes + si au départ, elle se rêvait grande chirurgienne cardiaque, le décès de son fils a tout changé + elle est allergique aux arachides. de ce fait, elle transporte toujours une seringue d'insuline dans son sac + elle fait des joggings régulièrement + elle porte un médaillon avec à l'intérieur, une photo de son fils. elle ne l'enlève jamais + c'est une personne naturellement douce + elle ne tient pas du tout l'alcool + peu importe son humeur, elle essaye toujours de garder le sourire + personne n'est au courant pour son fils, et c'est mieux ainsi + son calot arbore des motifs enfantins + elle aimerait avoir un chat, mais malheureusement, elle n'a pas le temps de s'en occuper + ça ne la dérange pas de travailler 48h d'affilées + il n'est pas rare qu'elle ait des coups d'un soir. une femme a des besoins, après tout + elle a un grand sens de l'humour et rit facilement + elle mange quand elle est stressée + elle a un tatouage au poignet en forme d'oiseau qui s'envole, en l'honneur de son fils.
✃ You are my paradise, but maybe I'm your hell
BOSTON – 2009 ; Il parait que l'amour vous tombe dessus, comme ça, sans que vous vous en aperceviez, sans que vous soyez préparé, sans avertissement. Hanna n'y croyait pas particulièrement. Pour elle, l'amour était compliqué, jonché d'obstacles en tout genre, rendant cet acte si pur en un parcours du combattant. Elle avait déjà été amoureuse, avait déjà frissonné et ressenti ces fameux petits papillons dans son ventre. Mais ça avait pris un certain temps pour en arriver à ça. Elle avait mis un point d’honneur à apprendre à le connaître, à découvrir chaque qualité et chaque défaut, chaque habitude qu’il avait, chaque détail qui faisait ce qu’il était. Qui l’avait rendu parfait à ses yeux. Mais depuis quelque temps, c’était différent. Elle avait rencontré ce garçon, qui avait changé sa vision des choses, qui avait chamboulé tout son monde. Le moment où elle avait posé ses yeux sur lui, elle avait ressenti comme une décharge électrique. Et quand leurs regards s’étaient enfin croisé, c’est comme si elle avait su qu’ils étaient faits pour s’aimer. Elle aurait pu se noyer dans ses yeux, elle aurait pu passer des heures à le regarder et à l’écouter. Il s’appelait Andi, il avait à peine qu’un an de plus qu’elle à l’époque. Ils n’avaient qu’une vingtaine d’années, et quand il la demandé en mariage un an après, l’âge n’avait aucune importance. On leur avait répété qu’ils avaient toute la vie devant eux, mais ils s’en souciaient peu. Hanna avait cessé de penser que l’amour prenait du temps en le rencontrant. Aujourd’hui, elle n’arrivait toujours pas à y croire. Sa main paraissait plus lourde avec cette bague, ce beau diamant qu’il avait choisi spécialement pour elle. Sa réponse avait été instantanée, sans hésitation, sans même prendre le temps de réfléchir. « Je t’aime. » Murmura-t-elle contre ses lèvres. Oh, qu’est-ce qu’elle l’aimait.
BOSTON – 2010 ; Elle n’aurait jamais pensé qu’un si petit être avait autant de puissance dans ses tous petits poumons. C’était limite impressionnant. Un bébé à vingt deux ans, ce n’était vraiment pas prévu au programme. Non pas qu’elle le regrettait. Son petit Liam était un cadeau du ciel, avec ses grands yeux verts, ses cheveux châtains, son petit nez tout rond et sa petite bouche toute parfaite. La douleur qu’elle avait endurée, toutes les contractions, la dizaine d’heures de travail, ça en valait tellement la peine. Il était parfait, la prunelle de ses yeux. Sans trop de surprise, ses parents l’avaient soutenu, n’avaient jamais essayé de la dissuader d’aller jusqu’au bout de sa grossesse. Ils étaient catholiques, après tout. Chaque enfant est un cadeau de Dieu, il paraît. Andi, lui, avait eu peur mais s’était rapidement fait à l’idée. Les débuts avaient été difficiles, cependant, ils n’étaient qu’étudiants. Trouver un équilibre avait été compliqué. Et même aujourd’hui, cinq mois après, elle était sûre qu’ils le cherchaient toujours, cet équilibre. Hanna pouvait sentir les larmes monter, sa vision commençait à se troubler. Elle était épuisée, et Liam ne voulait pas dormir, ne voulait pas arrêter de pleurer. Ce n’était pas faute de le border et de fredonner de douces mélodies. Craquer et pleurer avec lui n’aiderait pas. « Vas te coucher, je vais m’en occuper. » La voix de son fiancé la fit sursauter légèrement, et elle ne put retenir le soupire de soulagement qui s’échappa d’entre ses lèvres. Elle va enfin pouvoir se reposer.
BOSTON – 2012 ; Respirer devenait de plus en plus compliqué. Sa vision était trouble, les personnes devant elle n’étaient que des silhouettes filiformes et floues. Des points blancs commençaient à remplacer ces silhouettes. Sa gorge se serra et ses voies respiratoires n’arrivaient plus à faire leur travail. Elle avait l’impression d’étouffer. Son rythme cardiaque s’accéléra et un bruit sourd résonna dans ses oreilles. Elle était presque sûre qu’elle faisait une crise d’angoisse, ou qu’elle était sur le point de s’évanouir. Tout ça n’était qu’un rêve, ce n’était pas possible. Elle n’y croyait pas. « Madame, madame, est-ce que vous m’entendez ? » Hanna essaya de se concentrer sur cette voix, sur les deux mains posées sur ses épaules, sur le bruit autour d’elle. « Madame, j’ai besoin que vous respiriez. » Pourquoi est-ce qu’elle, elle aurait le droit de respirer, alors que son bébé, lui, a cessé de le faire ? Un accident domestique, comme il en arrive des tas. On leur a dit que ce n’était pas de leur faute, que ça aurait pu arriver n’importe quand, avec n’importe qui. Qu’il ne fallait pas qu’ils se sentent responsables, mais comment ? Ils étaient en train de se disputer, avec Andi, comme depuis quelques jours déjà. Ils étaient distraits, trop occupés à se crier dessus, pour remarquer que leur enfant était en train de s’étouffer avec une petite pièce d’un de ses jouets. La culpabilité commençait déjà à la ronger. Hanna ne se le pardonnerait jamais.
SAN FRANCISCO – 2013 ; La Californie, cet état où le soleil brille soit disant toute l’année. Hanna avait de gros doutes. Les sourcils froncés, elle continuait son jogging tant bien que mal dans un des parcs de San Francisco. Il y avait tellement de brouillard, qu’elle avait du mal à voir à deux mètres devant elle. Avant d’arriver ici, elle pensait vraiment que ces dires sur le brouillard n’étaient que ça, des dires. Oh, comme elle se trompait. Mais venir ici était la meilleure solution. Plus rien ne la retenait à Boston, sauf ses souvenirs. Des souvenirs qu’elle ne voulait pas oublier, mais qu’elle devait mettre derrière elle si elle voulait avancer. La douleur ne partirait jamais vraiment, tout comme la culpabilité. Mais elle se devait de tourner la page, elle se devait de se sortir de ce gouffre dans lequel elle s’était terrée. Si se concentrer sur ses études avait une bonne idée jusqu’à présent, continuer de vivre à Boston n’en n’était plus une. Puis, plus rien ne la retenait là bas, et tout l’amour que sa famille lui portait, n’était malheureusement pas suffisant. Andi, lui, avait préféré fuir quelques mois après la mort de leur fils. C’était trop douloureux de la regarder, il avait dit, qu’en la regardant, il avait l’impression de voir Liam. Alors il était parti, du jour au lendemain. Hanna ne pouvait pas lui en vouloir, vraiment. Elle était devenue qu’une ombre d’elle-même, qu’un fantôme déambulant machinalement dans les couloirs, dans les rues. Manger n’était qu’une nécessité et non un plaisir. Parfois, elle aurait aimé dormir et ne jamais se réveiller. Ses études, son rêve de devenir chirurgienne, étaient ce qui lui permettait d’avancer. Alors elle avait demandé à faire son internat ailleurs. Peu importe la ville. Et cette ville avait été San Francisco.
SAN FRANCISCO – 2015 ; Ses gestes étaient précis, bien pensés. Ses incisions étaient parfaites, et faites sans hésitation. La bloc opérateur était l’endroit où elle se sentait le mieux, où elle se sentait le plus libre. Pourtant, chaque opération avait ses contraintes. Elle est là où elle voulait être depuis l’âge de huit ans. Devenir chirurgienne était le rêve de sa vie. Malgré les tragédies qu’elle a vécues, elle n’a jamais abandonné face à la difficulté. Etre une maman à plein temps, une fiancée et une étudiante en médecine n’avait pas été une part de gâteau. Et quand tous ses rêves se sont brisés, quand la vie lui a arraché son fils et quand son fiancé l’a lâchement abandonné, ses études étaient la seule chose constante. Donc elle n’a jamais abandonné. Elle n’avait pas le droit d’abandonner. Aujourd’hui, tout ça était derrière elle. Aujourd’hui, elle était résidente en chirurgie pédiatrique. La pédiatrie était loin d’être son premier choix. Ce qu’elle voulait, c’était être chirurgienne cardiaque. Mais la mort de son fils la fait radicalement changer d’avis. Elle se disait que si elle ne pouvait pas sauver son fils, elle pouvait bien essayer de sauver les enfants des autres. Aujourd’hui, elle avait retrouvé le sourire, la joie de vivre qu’elle possédait étant plus jeune, qui la caractérise aujourd’hui et qui lui a valu le surnom de Joy. Les enfants l’adorent, et elle adore les enfants. Aujourd’hui, elle allait mieux.
PSEUDO/PRÉNOM : écrire ici AGE : une femme donne pas son âge enfin  OU AS-TU CONNUS LE FORUM : Bazzart  FRÉQUENCE DE CONNEXION : je passe tous les jours en général, mais pas sûr que je poste tout le temps  CRÉDITS PHOTO ET CITATION : tumblr AUTRE :  AUTRE(S) COMPTE(S) ? : non
Dernière édition par Hanna Dickens le Mar 22 Déc - 22:47, édité 13 fois |
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Leela Robertson
MESSAGES : 1223 SINCE : 28/10/2015 NICKNAME : Mashed Woods - Justine FACE, @ : Priyanka Chopra
SCALPEL AND BISTOURI
Quote: « Je suture une banane dans l’espoir vain que ça réveillera mon cerveau. »
Surnom: Shiva
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bienvenue et bon courage avec ta fiche !
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