| | | perdre tout espoir, c'était cela la liberté. (ben) |  |
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 | | Sujet: perdre tout espoir, c'était cela la liberté. (ben) Dim 20 Déc - 21:24 | |
| Ben Vermeer
“Et alors il s’est passé quelque chose, je me suis laissé aller, dans un total oubli de moi même envahi par la nuit le silence et la plénitude. J’avais trouvé la liberté. Perdre tout espoir, c’était cela la liberté.” NOM : Vermeer, le même que son père, le même que sa mère. Oh et, pendant qu'on y est, le même que ses deux frères et que sa sœur (qui n'en changera jamais, hors de question qu'elle se marie avec qui que ce soit ; oui, il vit dans le déni). Bref, un nom sans originalité aucune (quoi qu'il n'a jamais croisé aucun Vermeer qui ne fasse pas partie de sa famille) que Ben porte et supporte à défaut de l'aduler. PRÉNOM : Ben, et non ce n'est même pas le diminutif de Benjamin. Ses parents avaient envie de faire bref, de faire expéditif et de ne pas mettre trop de temps à remplir tous les papiers administratifs. Ben, aussi court que Mia, aussi court que Ace. Il n'y a que James qui fait exception à la "règle", allez comprendre pourquoi. AGE : 27 ans, bien qu'on lui donne toujours moins. Il faut dire que, même s'il assume pleinement son âge, il a tendance à se comporter comme s'il avait sept ans de moins. Un grand gamin qui n'est pas prêt à se poser, pas prêt à se calmer. SURNOM : L'homme à tout faire, on ne se demande pas pourquoi : il n'est pas rare de le voir en train d'essayer de réparer une machine à café (à grands coups de pied, cela va de soit) quand bien même ce n'est pas son rôle et quand bien même il n'est pas payé pour cela. ORIGINES : c'est un américain de pur souche. A dire vrai, il est même né ici, à San Francisco, et il n'a que rarement quitté la ville, pour de nouveaux horizons. Il se plaît bien, ici. STATUT : célibâtard qui s'assume et qui le revendique. Parfois, il joue les lourds avec les femmes, parfois il est un peu plus subtile. Sa réputation le précède alors il n'est pas rare qu'il se fasse envoyer chier mais cela le fait rire plus qu'autre chose. Et puis ... il y en a toujours qui sont consentantes, y a pas de problème. MÉTIER : agent d'entretien au sein de l'hôpital, en réalité c'est plus un homme à tout faire qu'autre chose. Il n'est pas rare qu'on l'appelle (ou qu'on essaye de l'appeler) pour une machine dysfonctionnelle ou un ordinateur en panne. Il sait tout faire, le Ben ... enfin presque. TRAITS DE CARACTÈRE : sympathique, souriant, blagueur, dragueur, séducteur, optimiste, battant, sociable, fêtard, énergique, fumeur, bon vivant, persuasif, grognon, courageux, protecteur, agaçant, collant, observateur, méfiant, parfois lourd, casse-cou, joueur, grand enfant, ... GROUPE : anesthésiant. AVATAR : Josh Beech le sexey. SCENARIO OU INVENTE ? : lien recherché de la jolie Mia (pas touche, je bouffe   ). ✃ It's as if I could not breathe without you.Fume comme un pompier et boit comme un trou ... mais ça dépend de son humeur. ✃ Ben est également accro à la caféine, il en boit au minimum trois par jour. ✃ Son pêché mignon ? Les pizzas, les hamburgers, bref tous ces plats pas sains qu'on nous conseille tant de consommer avec modération. Mais c'est ça, Ben, un type pas du tout sain, qui profite de la vie sous tous ses aspects. ✃ Adorateur des femmes, il est du genre à enchaîner les conquêtes sans compter (quoi que cela lui arrive, parfois, avec ses potes). Il n'a jamais été amoureux de sa vie, du moins essaye-t-il de le faire croire. ✃ Véritable clown, il n'est pas rare de le voir dans un coin d'une salle de repos, à attendre qu'un médecin débarque pour lui foutre la peur de sa vie. En fait, il aime faire tout type de blagues à ceux qui traînent dans les couloirs. ✃ D'ailleurs, il traîne lui-même beaucoup dans l'hôpital. Il a beau ne pas être médecin, il passe presque plus de temps ici que chez lui. Souvent trop bourré pour marcher jusqu'à la maison qu'il partage avec toute la petite famille -excepté ses parents bien sûr-, c'est dans les salles de repos qu'il passe certaines nuits. ✃ A tel point qu'on l'appelle souvent pour des fonctions qui ne sont pas censées dépendre de lui, notamment pour réparer des machines défectueuses (qu'il se contente de frapper jusqu'à ce qu'elles se décident à fonctionner de nouveau m'enfin). ✃ S'il est du genre volage, pas sérieux, et jamais centré sur la même personne pendant très longtemps, il n'en reste pas moins très (et bien) entouré. Il est très proche de ses deux frères aînés, de Wyatt, mais aussi de Mia, sa petite sœur qu'il protège envers et contre tous. Et qu'il ne veut jamais voir avec un mec, non jamais. ✃ Il s'était d'abord destiné à devenir chirurgien, comme le reste de la petite famille mais il a changé d'avis du jour au lendemain. Il a arrêté ses études et est devenu agent d'entretien au sein de l'hôpital. Un revirement qui n'a fait ni chaud ni froid à ses parents, en fait personne n'est sûr qu'ils soient même au courant. ✃ La motivation lui fait très souvent défaut, il n'est pas capable de mener à bien des projets. C'est peut-être pour cette raison qu'il n'est pas allé jusqu'au bout de ses études. Un manque flagrant de motivation ... et de sérieux. Comme avec tout le reste. ✃ Il a investi un placard à balai de l'hôpital et le considère désormais comme son casier. Et son casier uniquement. Dedans, il y a une véritable "garde-robe" pour ses lendemains de cuite qu'il passe à l'hôpital pour ne pas avoir à se lever trop tôt pour venir au boulot : des vêtements, mais aussi du nécessaire pour sa toilette du matin, etc ... ✃ You are my paradise, but maybe I'm your hell
Bruit de chute. Cri rauque et désespéré. Les deux corps avachis des aînés Vermeer s'extirpent de la position lamentable dans laquelle ils étaient jusque-là. Bras sur leurs genoux. Manettes encore en mains. Têtes penchées sur le côté et bave aux lèvres. Oh, ils dormaient bien. Mais leur frère cadet est dans une situation beaucoup moins enviable. Les quatre fers en l'air et un air grave collé au visage. Il vient de s'étaler par terre comme une merde. Et c'est la faute de deux personnes précises ... « Ace ! James ! J'vais vous buter. » Gémissement plaintif lorsqu'il se lève, la douleur au niveau de son coccyx est à peine supportable. S'ils n'avaient pas encore laissé traîner leurs chaussettes au beau milieu du salon, ils n'en seraient pas. Les airs hagards, encore à moitié endormis de leurs visages se transforment vite en de l'amusement pur et simple. Et ils explosent de rire, sous le regard stupéfait de Ben. Qui n'a pas envie de rire mais qui, pourtant, se laisse vite entraîner. Quels gamins ! « Les parents sont partis depuis trois jours et c'est déjà le bordel dans cette putain de maison !! » Bon, il l'avouerait sans doute dans un tout autre contexte : il en est également responsable. Le sac à dos qui traîne dans la cuisine est à lui. Idem pour les chaussures dans l'entrée. Et sa chambre ... non, n'en parlons pas. Le bordel qui est là-bas est monstrueux. En attendant, rien ne lui appartenant n'a encore fait tomber qui que ce soit. Quant à Ace et James ... IL VA LES TUER. Son coccyx ne se rappelle plus douloureusement à son bon souvenir mais ce n'est pas une raison. Dans un dernier cri, de supposé guerrier cette fois-ci, il saute sur ses deux frères, toujours étalés sur le canapé. Et la bataille de coussins qui suit réveillera sans doute Mia, qui est censée dormir à l'étage. Mais ni Ben, quinze ans, ni ses frères, légèrement plus âgés que lui, ne songeront à cela. Ni même au fait qu'ils sont censés aller en cours le lendemain et qu'il est trois heures du mat'. Seule importe la vengeance de Ben qui, comme toujours, sera terrible. A moins que Ace et James ne se liguent encore contre lui. Ce qui risque fortement d'arriver, soit dit en passant.
(...)
Lorsqu'il entre dans le salon de la maison familiale, Ben croit d'abord halluciner. Ce n'est plus un bordel monstre qui règne ici, c'est pire que cela. Des bouteilles vides jonchent le sol. Des gens s'entassent sur une piste de danse improvisée. Certains sont, d'ailleurs, dans des états pitoyables. Le jeune homme se rappelle vite ce dont il s'agit. Ah oui, c'est vrai : Ace et James ont décidé d'organiser une soirée pour fêter leur réussite aux examens. Les quatre Vermeer sont sur la bonne voie pour suivre le chemin de leurs parents. Ben, jusque-là épuisé, retrouve vite le sourire. D'autant plus lorsqu'il repère Wyatt, occupé à discuter avec un de leurs potes. Tiens, Ben ne se rappelle même plus de son prénom. Il arrive vite à leur hauteur, paré à célébrer comme il se doit leurs résultats. « De quoi vous parlez les mecs ? » Comme il se l'imaginait, ce sont bien les filles, leur sujet principal de discussion. Rien d'étonnant là-dedans. Et ce serait avec plaisir que Ben se joindrait à eux pour vanter les mérites des très nombreuses demoiselles qui ont croisé leur route. Mais un imprévu se met en travers de sa route. Cet enfoiré qui discute avec Wyatt. « D'une donzelle que je me ferais bien mais ... ah tiens, la voilà. Souhaitez-moi bonne chance, les gars. » Il n'aura pas le temps d'en dire plus. Pas même le temps, en fait, de se lever de sa chaise. Le poing de Ben est déjà venu rencontrer, avec un plaisir non feint, sa mâchoire. Il a suivit son regard, et c'est sur Mia que ses yeux se sont posés. Cet enfoiré parlait de Mia. Sa Mia. Wyatt, bien qu'un peu alcoolisé - rien d'étonnant là-dedans non plus -, vient également de comprendre ce dont il s'agissait. Et c'est à deux qu'ils attrapent le pauvre type, qui n'a plus rien d'un pote à présent, pour le virer de chez eux. Personne ne parle comme ça de leur sœur. En fait, personne ne doit regarder leur sœur en ayant en tête ce genre ... de trucs. Putain d'enfoiré. Que ce-mec-sans-nom soit rassuré, son intervention avortée n'aura eu aucun effet sur les deux compères. Wyatt et Ben sont déjà repartis de leur côté pour se bourrer la gueule et se trouver des filles avec qui terminer la soirée. Et le sourire aux lèvres s'il vous plaît.
(...)
Ça y est, il l'a repérée. Sa proie est brune, l'air innocent et les joues rougies par les deux-trois verres d'alcool qu'elle vient de claquer. De ce qu'il en voit, elle a l'air plutôt bien foutu et elle a un petit je-ne-sais-quoi qui l'attire irrémédiablement. Il s'est toujours mis un point d'honneur à être clair dès le départ, à ne pas faire espérer celles qu'il veut voir finir dans son lit - ou tout à fait ailleurs hein, pas de chichi -. Et il ne s'attaque pas à celles qui lui semblent un peu trop innocentes, pas assez dépravées pour lui. En l'occurrence, il sait déjà qu'il ne va pas pouvoir s'en empêcher. Il se doit de tenter sa chance. Et lorsqu'elle s'éloigne de ses amies, pour aller passer commande au bar - soit pas très loin de lui -, il sait déjà ce qu'il s'apprête à faire. Par un coup de chance, c'est sur le tabouret à côté de lui qu'elle vient s'installer, en attendant que sa commande soit prête. Elle ne sait pas quelle erreur elle vient de commettre ... A moins que ce ne soit l'inverse, quelque chose que Ben regrettera, et pas l'inverse. Après tout c'est elle qui, la première, prend la parole ... et elle le laisse sur le cul. Clairement. « Te fatigue pas. Je suis lesbienne. En couple. Et heureuse. » Sérieusement ?! « Qui te dit que j'avais quelque chose en tête ? » Le regard qu'elle lui lance ensuite n'aurait pu tromper personne : il sait qu'elle sait. Qu'il a menti. Qu'il avait bel et bien l'intention de la draguer. Comme il aurait pu draguer une toute autre fille dans ce bar, d'ailleurs. Mais c'est sur elle que c'est tombé. Sur elle qu'il a jeté son dévolu ... il n'aurait pas dû, visiblement. « J'suis pas stupide. Et encore moins aveugle. » OK. Encore sous le coup de ce qu'il vient de se passer, Ben reste complètement sans voix. Et un Ben sans voix, c'est inhabituel. On ne le surprend jamais assez pour causer ce genre de ... désagrément chez lui. « Oh c'est bon, ne fais pas cette tête. Je ne suis ni lesbienne, ni en couple. Et toi, t'as sauté dedans à pieds joints. » Bah merde. C'est bien la première fois qu'on lui parle comme ça. Et qu'on se fout de sa gueule, aussi. Qui c'est, cette fille ?
(...)
Ben l'entend avant de la voir. Max, la petite brune "innocente" du bar est là. Juste à côté de lui. Et elle l'interpelle. Il tourne la tête vers son visage furieux. Qu'est-ce qu'il a encore fait ? Visiblement quelque chose de mal parce qu'elle a l'air sur le point de lui foutre en une. Pas sur le point, en fait. Elle vient bel et bien de faire claquer sa main sur sa joue. Dans le bar même où ils se sont rencontrés pour la première fois, celui qui est à proximité de l'hôpital. Il connaît donc pas mal des personnes autour de lui. Beaucoup rigolent, plus ou moins discrètement. Alors que lui essaye de comprendre. Bon, OK, il a bien sa petite idée sur la question. Mais ils n'en ont jamais clairement discuté. Ils ne se sont jamais promis quoi que ce soit, ni fidélité ni même relation durable. Alors la petite blonde assise à côté de lui, il a le droit de la draguer autant qu'il veut. Ce droit, personne ne pourra le lui retirer. Pas même la petite Max qui partage son lit depuis plus de trois semaines déjà, un temps record pour Ben et ses conquêtes habituelles. Il hausse les sourcils, incrédule et incapable de dire quoi que ce soit pour sa défense. Il faudra quand même qu'il songe à faire quelque chose pour remédier à cela ; elle a toujours le don de lui clouer le bec, celle-là. « T'es qu'un enfoiré de première, Vermeer. » Outch. Presque aussi douloureux que la gifle qu'elle lui a foutue. Presque. Il est toujours parfaitement incapable de dire quoi que ce soit, alors cela offre à Max l'occasion de continuer sur sa lancée. « Va te faire foutre, connard. » Lui crache-t-elle à la gueule avant de tourner les talons et de sortir du bar. Laissant un Ben toujours aussi abasourdi derrière lui. Bah ... Merde. Qu'est-ce qu'il vient de se passer exactement ? Il n'est toujours sûr de rien. Il sait juste qu'il n'a pas vraiment apprécié de cet étalage en public à moins ... que ce ne soit tout autre chose qui le tracasse ? Impossible. Et comme pour se le confirmer, c'est d'ores et déjà souriant qu'il retourne à sa préoccupation première : la petite blonde du bar. Avec qui il finira la soirée - et la nuit -, que cela plaise ou non à Max.
(...)
C'est en sifflotant que Ben passe la serpillière sur les lieux du crime. C'est ici même, aux pieds de cette machine à café, qu'un gobelet a été renversé. Provoquant une catastrophe quasi surnaturelle. Un sol collant, crado au possible et des dizaines de personnes qui ont marché dessus sans se soucier des dégâts. Ils ont de la chance que ce soit un type aussi cool que Ben qui s'occupait du ménage à ce moment-là. Il nettoie sans prise de tête, sans chercher à trouver un coupable, ou à accuser le premier venu pour se soulager un peu. C'est son métier. Et si ce n'était pas sa vocation première, il n'en reste pas moins relativement heureux de ce qu'il fait. Surtout, il faut le dire, le fait d'avoir à portée de mains autant de jolies filles - médecins comme infirmières comme patientes hein, qu'on se le dise - l'aide à supporter la dure réalité de son boulot. Et puis, c'est ce qui lui permet de rester proche de Mia - qu'il peut d'autant mieux surveiller, pratique -, de Wyatt et de toutes ses autres connaissances. Il aurait pu devenir médecin. Mais pour devenir médecin, il faut être motivé. Et la motivation n'a jamais été son point fort. Alors, il se contente de ce qu'il a. Et il profite de tous les avantages que le fait d'être un "simple" agent d'entretien apporte. Croyez-le ou non il y en a. Tout un tas. « Ben Vermeer ? En train de ... passer la serpillière ? » Surpris d'être ainsi dérangé au milieu d'une tâche de la plus haute importance, Ben lève brusquement la tête. Il n'avait pas reconnu la voix mais le visage lui semble déjà beaucoup plus familier. Un certain Marc ... Peter ... Nate, peut-être ? Boh, quelle importance. Il a une tête de con. Il a l'air de vouloir se foutre de sa gueule ausi, mais il ne sait pas à qui il s'est frotté celui-là. Enfin, il doit bien avoir sa petite idée, ils ont fait une ou deux années d'études ensemble après tout. Cela remonte à il y a si longtemps ... « Ooooh, truc - oui c'est comme ça que tout le monde t'appelait, ne fait pas cette tête -. Fais gaffe je crois que tu m'as volé un balai. Oui, juste là, dans ton cul. Allez déguerpis tête de con tu vas foutre en l'air tout ce que je viens de faire avec joie. » Lui, cruel ? Pas du tout. Juste réaliste. Réaliste.
(...)
« Putain mec, je cuve, ça se voit pas ? Tu veux pas me foutre la paix, par hasard ? » Il faut dire qu'il y a mieux qu'une salle de repos dans l'hôpital pour se reposer. Mais Ben, avachi sur l'étage inférieur du lit superposé, s'en tape complètement. Il n'en a rien à foutre, qu'il ait le droit ou non d'être là. Il se fiche pas mal de ce qu'on pense de lui. Il se fiche pas mal du monde entier, en fait. A cet instant précis, tout ce qu'il sait, c'est qu'il a un putain de mal de crâne. Et qu'un crétin vient d'allumer la lumière, alors qu'il est à peine six heures du mat'. Et que cela ne fait pas plus d'une heure qu'il a trouvé refuge ici. Il était au bar du coin, il aurait donc tout aussi bien pu rentrer chez lui. Mais c'était plus loin. Et dans l'état où il était - soit avec une bouteille de whisky dans le nez -, il ne s'en sentait pas la force. Au moins, là, il est déjà à destination. Prêt à bosser pour le lendemain. Pas besoin de se lever une heure plus tôt. Quelques petites dizaines de minutes suffiront. Il a même des affaires de rechange dans le petit placard à balais qu'il a investi comme son casier depuis qu'il bosse ici. Et, comme d'habitude, son rituel sera le même : il ira récupérer les fameuses affaires d'ici trente minutes, juste le temps de prendre une douche - dans une chambre vide qu'il trouvera bien - avant d'aller travailler. Un timing serré qui ne pourra pas être respecté s'il ne peut pas dormir juste un petit peu plus ... « Mais t'es qui toi ?! » Non mais ! De quel droit ?! « Un type qui va bientôt t'écraser le nez contre l'interrupteur pour éteindre cette putain de lumière si tu ne t'en charges pas toi-même. » Cela a au moins le mérite d'être clair. Et ça fait son petit effet sur celui qu'il devine être un petit nouveau - sa tenue le suggère, mais aussi sa gueule qu'il ne reconnaît pas -. Il se décide ENFIN à replonger la pièce dans le noir. Ça y est, Ben va pouvoir finir sa "nuit". Il était temps.
(...) PSEUDO/PRÉNOM : Emilie / Schizophrenic. AGE : toujours 20 ans. OU AS-TU CONNUS LE FORUM : je ... sais même plus. Bazzart ? Un top-site ? Facebook ? Un truc du genre quoi.  FRÉQUENCE DE CONNEXION : je me connecte tous les jours, je RP aussi souvent que possible (beaucoup en période calme).  CRÉDITS PHOTO ET CITATION : je ne sais pas pour l'image, mais la citation vient du parfait Fight Club. AUTRE : si vous voulez des liens, je suis preneuse.  AUTRE(S) COMPTE(S) ? : nope. Mais, avant ça, j'étais Paige McConnell. Le créateur du scénario ayant disparu, me voilà avec une nouvelle tête. 
Dernière édition par Ben Vermeer le Lun 21 Déc - 20:42, édité 13 fois |
| | | | InvitéInvité
| | Sujet: Re: perdre tout espoir, c'était cela la liberté. (ben) Dim 20 Déc - 21:29 | |
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| | | | Leela Robertson
MESSAGES : 1223 SINCE : 28/10/2015 NICKNAME : Mashed Woods - Justine FACE, @ : Priyanka Chopra
SCALPEL AND BISTOURI
Quote: « Je suture une banane dans l’espoir vain que ça réveillera mon cerveau. »
Surnom: Shiva
Répertoire:
| | | | | InvitéInvité
| | Sujet: Re: perdre tout espoir, c'était cela la liberté. (ben) Dim 20 Déc - 21:35 | |
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| | | | InvitéInvité
| | Sujet: Re: perdre tout espoir, c'était cela la liberté. (ben) Dim 20 Déc - 21:37 | |
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| | | | InvitéInvité
| | Sujet: Re: perdre tout espoir, c'était cela la liberté. (ben) Dim 20 Déc - 21:37 | |
| re-bienvenue par ici ! Joli garçon à croquer (a). |
| | | | InvitéInvité
| | | | | InvitéInvité
| | Sujet: Re: perdre tout espoir, c'était cela la liberté. (ben) Dim 20 Déc - 21:42 | |
| Merci vous deux !  |
| | | | InvitéInvité
| | Sujet: Re: perdre tout espoir, c'était cela la liberté. (ben) Dim 20 Déc - 23:10 | |
| rebienvenue. de par leurs métiers respectifs, il nous faudra un lien. et puis josh quoi.  |
| | | | InvitéInvité
| | Sujet: Re: perdre tout espoir, c'était cela la liberté. (ben) Dim 20 Déc - 23:14 | |
| (re) bienvenue  |
| | | | InvitéInvité
| | Sujet: Re: perdre tout espoir, c'était cela la liberté. (ben) Lun 21 Déc - 0:42 | |
| Re-bienvenue à toi  |
| | | | InvitéInvité
| | Sujet: Re: perdre tout espoir, c'était cela la liberté. (ben) Lun 21 Déc - 1:00 | |
| Revienvenue, bon courage pour cette nouvelle fiche  |
| | | | InvitéInvité
| | | | | InvitéInvité
| | Sujet: Re: perdre tout espoir, c'était cela la liberté. (ben) Lun 21 Déc - 12:41 | |
| (re) Bienvenue parmi nous. |
| | | | InvitéInvité
| | Sujet: Re: perdre tout espoir, c'était cela la liberté. (ben) Lun 21 Déc - 18:06 | |
| Bienvenue parmi nous |
| | | | InvitéInvité
| | Sujet: Re: perdre tout espoir, c'était cela la liberté. (ben) Lun 21 Déc - 18:35 | |
| Merci vous deux |
| | | | InvitéInvité
| | | | | InvitéInvité
| | | | | InvitéInvité
| | Sujet: Re: perdre tout espoir, c'était cela la liberté. (ben) Lun 21 Déc - 21:41 | |
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| | | | InvitéInvité
| | Sujet: Re: perdre tout espoir, c'était cela la liberté. (ben) Lun 21 Déc - 22:24 | |
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| | | | Leela Robertson
MESSAGES : 1223 SINCE : 28/10/2015 NICKNAME : Mashed Woods - Justine FACE, @ : Priyanka Chopra
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Quote: « Je suture une banane dans l’espoir vain que ça réveillera mon cerveau. »
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| | Sujet: Re: perdre tout espoir, c'était cela la liberté. (ben) Mar 22 Déc - 15:31 | |
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