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| Sujet: you are needy - blair Dim 13 Déc - 21:15 | |
| Tu étais parti. Tu avais quitté son bureau et tu t'étais barré, la première fois. Parce que t'étais con, parce qu'elle te gonflait, et parce qu'elle faisait partie de ces idéalistes que tu abhorrais. Elle désirait te prouver que ta vie n'était pas un amas d'emmerdes. Elle avait la hargne de ceux qui n'abandonnent pas, et tu te disais que tôt ou tard, elle aurait ta peau. Alors t'étais revenu, quelques mois après. tu l'avais même laissé inspecter chez toi, plus pour te débarrasser de ses grandes idées d'aménagements. Tu avais petit à petit baissé ta garde tout en revenant à la charge dès que ça semblait trop facile, faudrait pas qu'elle te prenne pour un gentil. Et puis, juste après, elle te propose de t'emmener prendre un "café. Tu ris, mais elle sérieuse. bien sur ce n'est pas un rendez vous - tu aurais presque préféré si ça avait été plus du jeu qu'un truc organisé pour s'occuper de ton côté sociable. Toby essayait depuis des années, elle avait abandonné, elle. Tu avais fini par abdiquer, tu le sentais, elle allait te souler jusqu'à ce que mort s'ensuive, tu cédais pour avoir la paix. Et aussi parce que tu pouvais la reluquer à loisir. Ce qui avait été d'abord une blague devenait une envie, de la curiosité. Savoir ce qui se cachait derrière ses allures de démones. Peut être même était elle aussi "endiablée" sous des draps. Tu ne cachais pas que l'accident n'avait pas vraiment enrayé tes besoins ou envies, ni tes pulsions assez fréquentes. Tu attends au café - il était pas question qu'elle t'y emmène - et tu commandes déjà un café. De toute façon tu en aurais autant besoin qu'un junkie sa dose ou un alcoolique son verre. Tu la regardes arriver et tout de suite tu passes en revue sa tenue. T'es un radar. T'es capable de dire à toby si sa tenue ressemble à rien ou autre. Parfois juste pour voir sa réaction, tu dois l'avouer. Elle se pointe , et tu sors ton sourire de gros débile. Celui qui montre qu'une connerie arrive. Tiens, t'as mis un décolleté, avoue, tu es folle de moi. Que tu lances persuadé que tu vas finir six pieds sous terre avec celle là. Tant que tu peux faire mumuse dans la terre avec.. |
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