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 |  Sujet: la môme. Sam 28 Nov - 17:33 | |
| NAVA JAMES
“Hello, how are you ?
It's so typical of me to talk about myself. I'm sorry, I hope that you're well. Did you ever make it out of that town. Where nothing ever happened.” NOM : James, un nom sans saveur comme on pourrait en croiser à chaque coin de rue. c'est la banalité qui se reproduit au fil des siècle, un nom simple qu'on finit par oublier. PRÉNOM : Nava, une simplicité pleine de douceur, un prénom qu'on murmure comme une caresse. elle est Nava, seulement Nava. AGE : trente années d'une vie qui se voulait paisible. Nava, elle a parfois les traits qui s'étirent et qui trahissent au coin de lèvres le nombres d'années passées. SURNOM : y en a qui disent "hé blondie", ce a quoi Nava ne répond jamais, hausse parfois les épaules. elle n'aime pas vraiment ces surnoms qu'on se donne au détour d'un couloir. ORIGINES : sa mère est ukrainienne, son père un américain fière de ses racines. elle est le doux mélange des deux. STATUT : elle est mère, elle n'a pourtant jamais été épouse. Nava il fut un temps, elle tombait amoureuse de la terre entière, de qui voulait bien lui adresser un sourire. et puis il y a eu lui, et ce besoin de tomber amoureuse s'est éteint. doucement, il a soufflé sur cette flamme dans sa poitrine jusqu'à ce qu'elle ne s'éteigne. aujourd'hui, Nava est seule, déjeune avec des "amis célibataires" pour faire plaisir à sa mère. rien de plus. MÉTIER : Nava, elle a enchaîné les petits boulots pendant un temps. aujourd'hui, elle travaille comme conseillère en insertion, écoute derrière son bureau ces âmes en égarées lui raconter leurs peines, leurs joies et leurs projets. gamine elle disait à qui voulait l'entendre que sa place n'était pas enfermé dans un bureau, et pourtant, elle s'y plait plus que nul part ailleurs. TRAITS DE CARACTÈRE : douce, attentionnée, franche, responsable, indépendante, fidèle, déterminée, débrouillarde, naturelle, passionnée, bienveillante, sarcastique. GROUPE : STETHOSCOPE AVATAR : sarah gadon SCENARIO OU INVENTE ? : scénario de Tristan  ✃ It's as if I could not breathe without you.
nava a toujours été très proche de ses parents. c'est comme ça chez les james, une famille irréprochable, à laquelle on finit par ne plus faire attention. le père réussit une carrière brillante, la mère élève sans encombres les enfants tant désirés. il y a nava, et ses quatre frères aînés. eux, brillants à leurs tours, hommes de pouvoirs désireux de rendre fières le paternel, de prendre un jour la relève. - il est difficile de s'échapper du cocon familiale bien gardé. chacun a son rôle, et chacun doit d'y tenir. pourtant, il y a toujours eu chez nava cette lueur qui laissait percevoir qu'un jour elle dévirait de cette foutue trajectoire. elle a été la première à se détourner de la médecine si chère à son père, la première aussi à faire son sac un matin pour quitter le berceau familiale. - étudiante brillante, elle a depuis son plus jeune âge développé une drôle de curiosité qui l'a amené à prendre de l'avance sur le temps. quand d'autres apprenait à colorier sans dépasser, elle s'appliquait à épeler son prénom. - elle joue du piano, mais seulement en de rares occasions. petite fille on aimait la faire jouer lors des réunions de famille. clap clap, admirez tous l'enfant prodige. aujourd'hui c'est un peu devenu son jardin secret, cette chose tangible qu'elle ne garde que pour elle. - elle aime son travail, mais plus que tout, elle aime rejoindre son appartement le soir pour retrouver le sourire immense de son petit garçon - femme de caractère, Nava à prit l'habitude de raccrocher au nez de sa mère quand celle ci lui demande où en est sa vie amoureuse - dans le fond, elle aime son indépendance, sa liberté - elle cuisine très mal, ce qui a le dont de faire rire son fils au éclats. elle est aussi de ces êtres malchanceux chez qui la panne est une aventure quotidienne. - elle vit dans un appartement tout juste assez grand pour deux, qu'elle s'évertue à payer avec ses petits moyens. elle aurait pu, demander de l'aide, appeler ce chère paternel qui se serait fait une joie de venir au secours de cette petite fille fragile. mais Nava s'y refuse. - ses parents sont trop heureux de pouvoir lui dire "tu vois, on te l'avais bien dis", quand il est question du père de son fils, de ce type qu'ils n'ont jamais jugé assez bien pour Nava. ça la met hors d'elle, ils ne savent pas, ils ne savent rien. alors elle s'applique à le défendre, se confendant parfois dans ce qu'elle pense être ses sentiments. - Nava a toujours été un être solaire, une poupée rayonnante passionnée par la vie. elle aimait de manière anarchique, allant et venant sans but précis. la naissance de son petit garçon a en quelque sorte, donné un sens a sa vie. aujourd'hui elle ne s'imagine plus sans lui.
✃ You are my paradise, but maybe I'm your hell
« Boo, ton cartable ! » En haut des escalier, le petit garçon arrête brusquement sa course. Ses épaules recouverte d'un pull épais, il tient à la main son ours en peluche, mais effectivement, pas de cartable. Du haut de sa petite taille, il revient sur ses mains en murmurant quelques paroles incompréhensibles destinées à son doudou. En bas, elle enfile son manteau en même temps qu'elle cherche les clés de la voiture. C'est tous les matins la même chose, Boo oublie son cartable, et Nava perd les clés. C'est seulement une fois son sac à main vidé sur le sol que le petit garçon la rejoint et qu'elle retrouve les précieuses clés au bout desquelles se tortille un vieux scoubidou. « Maman, ja pris toutes mes crayons de couleur. » Délicatement, elle caresse sa joue. « Tous mes crayons Boo, pas toutes. » Le petit garçon hausse les épaules, serre contre lui son ours en peluche. Il a le même regard que son père, ces grands yeux bruns dans lequel vient briller le monde comme il le voit. Un monde d'enfant. « En route mon capitaine, file t'asseoir dans la voiture ! » La porte s'ouvre, et il s'empresse de rejoindre le vieil Opel garée dans l'allée devant cette petite maison qu'ils louent une fortune. Le père de Nava le dit et le répète, elle devrait partir, plus rien ne la retient en ville. Pourtant elle reste, enchaîne les heures supplémentaires, s'applique à ce que son fils ne manque de rien. Pour que son fils ne manque pas d'un père. Assit à l'arrière de la voiture, il ne fait plus attention à sa mère quand le moteur se met à ronfler, et que la musique grésillante de la radio se fait doucement entendre. Il est tôt, trop pour la nuit ne se soit entièrement dissipée, et le brouillard se dessine encore dans les phares de la voiture. Il fut un temps où c'était lui qui conduisait, celui que Boo appelle "papa". Ils déposaient le petit garçon devant le portail de l'école, et puis il la déposait au travail avant d'embrasser délicatement ses lèvres. Aujourd'hui, Boo ne veut plus qu'elle le dépose trop près de l'école. La honte qu'il dit, et ça lui noue le coeur à Nava. Alors quand elle se gare à quelques mètres de l'école, que le petit garçon descend en agitant sa petite main vers elle, elle le regarde s'éloigner en souriant. Elle ne regrette rien. Les regrets lui retireraient Boo.
« Tristan, c'est moi. Boo est à l'école, il a son sac pour le week-end. Ramène le à l'heure dimanche soir s'il te plait. » Le téléphone contre l'oreille, Nava marque une pause, hésite. Elle pourrait terminer par un « passe une bonne journée » ou « je t'embrasse » comme elle le faisait avant. Assise sur le siège conducteur, elle soupir, et laisse son index glisser sur l'écran pour mettre fin à la conversation. Elle n'a pas envie, qu'il passe une bonne journée, de l'embrasser. Elle lui souhaite seulement de ramener le petit garçon, trop heureux d'avoir passé le week-end avec son père-héro. Sans encombres.
« Nava, ton rendez vous de 9 haures est déjà... » Nava, elle marche vite et passe devant la petite pièce qui sert d'accueil sans tourner le regard vers cette petite femme derrière son bureau. Bien sûr que son rendez-vous est déjà arrivé. Sur sa montre, les minutes défilent et lui rappelle qu'elle a déjà du retard. Comme souvent. Alors elle pousse la porte de son bureau, laisse son manteau tomber sur une chaise laissée à l'abandon dans un coin. Sur son bureau, plusieurs dossiers aux pochettes colorées, qu'elle repousse de la main pour faire de la place devant elle. Nava et ses cheveux mouillés par la pluie, Nava et sa respiration saccadée par la précipitation. Elle aime cet endroit, cette pièce sans fenêtre, son havre de paix, endroit paisible dont elle a tapissé les murs de paysages colorés. « Ca va, vous voulez pas un café ? » Dans l’entre-bâillement de la porte, une silhouette se dessine. L'homme est sûr de lui, planté devant elle, les bras croisés, le regard mêlant colère et tristesse. Nava fasse à lui, assise dans son fauteuil de bureau, semble minuscule. Elle est minuscule, et hausse les épaules, interrogative, surprise. « Je vous demande pardon ? » Dans le regard de l'homme, la tristesse disparaît. Il devient loup, animal sauvage poussé dans ses retranchement. Il la toise avec mépris. « Putain mais vous êtes tous pareil ! Ça fait quinze minutes que je vous attends et vous en avez rien à cirer. » Il dit en sortant de sa poche en enveloppe pliée en deux qu'il balance sur le bureau suédois devant Nava qui reste muette, stupéfaite. Le type claque la porte, disparaît aussi vite qu'il est apparu. Dans la pièce, c'est un drôle de silence qui s'installe. Finalement, elle s'empare de l'enveloppe qu'il a laissé, défait le pli, s'applique à lire les lignes qui se dessine sous ses yeux, alors que la petite femme de l'accueil ouvre la porte pour apparaître à son tout. « Tu veux que je le rappelle ? » Nava fixe les lignes manuscrites, se mord la lèvre. « C'était lui, le rendez vous de 9 heures ? » La petite femme acquiesce. L'homme attendait depuis plusieurs minutes maintenant que Nava daigne se présenter à l'heure au travail. « Laisse tomber, je m'en occupe » qu'elle dit sans s'en rentre compte. Il y a des rencontre, qui bousculent et peuvent changer une vie.
PSEUDO/PRÉNOM : spf AGE : vingt quatre ans OU AS-TU CONNUS LE FORUM : bazzart FRÉQUENCE DE CONNEXION : tous les jours ou presque CRÉDITS PHOTO ET CITATION : tumblr AUTRE :  _________________
Dernière édition par Nava James le Sam 28 Nov - 20:00, édité 23 fois |
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Leela Robertson
MESSAGES : 1223 SINCE : 28/10/2015 NICKNAME : Mashed Woods - Justine FACE, @ : Priyanka Chopra
SCALPEL AND BISTOURI
Quote: « Je suture une banane dans l’espoir vain que ça réveillera mon cerveau. »
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je crois que c'est le premier forum que je croise où l'accueil est exclusivement masculin 
je ne connais pas du tout ton avatar 
