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| Sujet: LUCAS - Something tell me that the day i was born something get fucked. Mer 2 Déc - 21:51 | |
| LUCAS O'RYAN “And I’d choose you; in a hundred lifetimes, in a hundred worlds, in any version of reality” NOM : O'Ryan PRÉNOM : Lucas AGE : 35 balais SURNOM : pain in the ass, asshole etc ORIGINES : Irlandaises STATUT : A cru trouver l'amour, puis a compris qu'il risquait pas de la trouver de si tôt. MÉTIER : Ambulancier TRAITS DE CARACTÈRE : Lucas est le maillon faible, pas qu'il fasse son travail à l'arrache, non, il est juste le type qu'on déteste avoir à ses ordres. S'il y a un truc à tenter, il va foncer. médecin à l'armée, avant, il a l'habitude de tenter tout et n'importe quoi et oublier qu'ici, il n'est plus qu'ambulancier à cause de certains problèmes. On le dit peu stable mais fiable. en gros pépère a tendance à défier l'autorités et à chercher l'adrénaline ailleurs que là où il a pu en avoir. C'est un genre de chien fou. Probablement pour ça que es femmes défilent et toutes veulent gouter un bout. Il est revenu avec des problèmes liés à ses "tours", cauchemars, réactions étranges ou autres. Il est tombé amoureux, ou du moins il y a cru, mais une bombe lui a sifflé cette idée. Depuis il est le gentleman (ou pas) de ses dames et ne s'en plaint pas. A part ses manières de cowboy, il fait son travail correctement, il regrette juste de ne plus être le doc. Loyal, une fois qu'on a son amitié, il ne lache plus, probablement pour ça qu'il crèche chez James. Il a aussi du mal à "let go" ce qu'il fait que depuis des années il vit dans une relation de co dépendance avec sa soeur. Charmeur, il sourit pas mal, il fait des blagues, il peut être le clown du coin. Il fait la cuisine comme personne et a un don inné pour tenir l'alcool. GROUPE : Scalpel. AVATAR : eoin macken SCENARIO OU INVENTE ? : inventé ✃ It's as if I could not breathe without you. 1. Il est pas très upudique et n'a pas beaucoup de tabous. 2. Il aime sa soeur plus que tout et entretient une relation spéciale avec. 3. Il ne parle plus à sa famille du tout, juste sa soeur, ils ont quitté la maison ya un moment. 4. Il déteste qu'on lui parle de l'armée ou autre, il change de sujet de suite. 5. Il habite chez james, son meilleur ami, et il y tient tout particulièrement, même s'il''est pas toujours très démonstratif. 6. IL fait des défilés de nanas dans leur appartement. 7. Il tient très bien l'alcool. 8. Il va parfois en Irlande, mais il ne va pas voir sa famille. 9. Il est arrivé aux states à l'âge de seize ans, sa soeur, douze. 10. Il adore faire la fête, plus qu'il n'aime réellement la faire en fait. 11. Il charme, drague, mais n'insiste ps, il n'est pas "lourd". 12. Il aimerait faire le tout du monde encore une fois, mais il a moins de congé qu'avant. 13. Il adore son boulot même s'l regrette de ne pas être resté médecin. Il voulait être médecin urgentiste. 14. Il a cru être amoureuse, elle est morte (une militaire). 15. Il a toujours été le clown de la bande, le rigolo, aujourd'hui, ce n'est qu'à moitié vrai. 16. Il adore la nature et ses sports extrêmes, il passerait sa vie en extérieur. 17. Il est plus à l'aise dormant sur le sol que sur un matelas. 18. Il joue souvent les cowboy au boulot, mais il est bon dans ce qu'il fait et ne joue jamais avec la vie des patients, la sienne c'est une autre histoire. 19. Il sait que parfois James s'inquiète, il lui dit toujours " t'inquiète" mais ça suffit presque pas. 20. Il a voulu tester un jour avec un mec, il s'est enfui en coutant, définitivement pas son truc. 21. Il adore les pingouins, les koalas et les pandas, et un tas d'autres animaux mais surtout ceux là. 22. Il lui arrive de se taper ses collègues en pause.. à l'hosto ou la caserne.
✃ You are my paradise, but maybe I'm your hell Bonjour Lucas. Qu'annonce ta mère, le sourire aux lèvres. L'hypocrisie crève les yeux dans ta putin de famille, pas étrange que Lucas et sa soeur ait fichu le camp. tu regardes autour d toi, ta soeur, ta mère, ton père, la conasse qui se tape ton ex beau frère. T'as qu'une envie c'est de les envoyer paitre. Ils ne se soucient plus de vous. non, mais comme ça va "mieux" ils veulent s'attribuer le crédit. Tu rages, tu te contiens, pour elle. Parce que tu sais, que sous ses airs de badass, elle est bien plus fragile qu'elle ne le montre. Pourtant, ils sont sont doué, ils réussissent à te blesser toi aussi, parlant d'inepties et de déboires de gamins. La vérité c'est que tu es parti de cette maison où vous ne comptiez pas. Où le chien était le seul à vous attendre en rentrant de l'école. Tes premiers pas, c'est la voisine qui les as vu, quand elle te baby-sittait. tu les hais, tu n'as jamais pensé que ton ressentiment serait à ce point, mais tu les hais, et ce diner est un simulacre de bonheur, tu as envie de vomir. Ca fait une heure déjà, tu finis par te lever, dégouté. Maman, arrête. J'ai essayé sis, mais j'y arrive pas. Vous êtes là pour prétendre que dans cette pièce se trouve une famille. la vérité ? La seule famille que j'ai, c'est ma soeur, vus êtes des figurants. Et QUI, putin, invite l'ex de sa fille à un diner ! Tu te rappelle, papa, quand tu m'as demandé pourquoi je partais, pourquoi je m'engageais parce que j'en avais marre de continuer à mentir. marre de faire semblant. Votre fille a commencé à sortir avec tout le quartier, juste pour vous voir le moins souvent. Alors stop, ici c'est chez vous, on a rien à foutre là. En ce qui me concerne, jsuis orphelin. Tu attrapes le bras de ta soeur et tu claques la porte. Ce fut la dernière foi que tu les vis, et tu sentis ton poids sur les épaules s'alléger. ta soeur a pleuré cette nuit, puis, a reprit une vie normale , qui aurait cru qu'être orphelins était si vivifiant.
Tu joues avec ses cheveux, elle a sa tête appuyé sur ta cuisse, vous regardez un film. Les trois quart des gens trouvent ça dérangeant, toi, c'est ton refuge. celle qui te connait par coeur, qui t'aimes sans contraintes ni a priori. La personne sans qui tu ne peux pas vivre. le premier à avoir comprit, c'était James. Sa réponse "Non, je trouve ça cool une telle complicité". bizarrement, c'est probablement à que t'as compris qu'il ferait partie de ta vie. Les soirées du trio se sont succédés, puis tu t'es suis enrôlé. Puis t'as tout envoyé en l'air. T'as abandonné les deux. Tu savais que James avait pas besoin de toi dans les parages, tu avais ces emails, mais elle, elle avait besoin de toi. tu es tout de même parti. T'es revenu, mais dans quel état. T'étais différent, moins con, moins foufou, moins, toi. T'étais plus sérieux, plus dur, plus enfermé, dans un univers qui t'était propre. Ils ont finit par défoncer la porte, entrer, mais ils ont découvert que t'étais plus le même, ou du moins un simulacre de ce que tu avais pu être. La nuit ta soeur te tiet dans ses bras, te caresse les cheveux, te rassure, non, ces images, ce n'est plus ton présent. Les morts, les explosions, les pertes, t'as fini par perdre les pédales là bas.
Elle était jolie, andy. Elle était sexy. elle avait le tempérament d'une battante, et un sourire à se damner. Tu savais pas te tenir, il fallait que tu l'aies, et t'avais réussi, t'avais eu plusieurs nuits, là bas, où tout semble mener à la mort. Puis, tout a changé, une embuscade, une mort, la sienne, la tienne. Tu pensais l'aimer, t'étais même pas sur, mais t'as su à quel point c'est dur de regarder un être humain exploser sus tes yeux. C'était la goutte d'eau. Tu t'es écroulé, t'étais à peine blessé, mais c'était tout, pourtant, rentré, tu avais perdu ce qui faisait de toi un humain autonome. Tu dormais à même le sol, tu faisais des cauchemars, tu te retrouvais dehors, dans le froid, sans savoir comment t'étais arrivé là. Ta vie c'était plus la mort la guerre, c'était pire. Comme si c'était plus aisé de manger des rations qu'un bon repas ou une pizza. T'as gardé tes larmes pour toi, t'as tout mit à l'intérieur, et t'as remis toi même ta vie sur les rails, peut être en oubliait une part de toi au passage. T'as cessé de penser à t'attacher, à quoi bon s'attacher à un faux semblant, une coquille vide ? même si tu crées une jolie illusion.
Ca fait des mois que tu travailles ici, tu adores, même si les trois quarts des gens de cet hôpital ont envie de te buter. Tu ne cesses de rompre le putain de protocole à propos des ambulanciers. T'étais un putin de médecin, tu pouvais , là bas, sauver n'importe qui. ici, tu conduis des ambulances et pousse des brancards. Une part de toi veut de l'adrénaline, du challenge, sinon, tu te souviens, tu penses, et tu ne veux pas ça. Pour ça que tu t'es barré en inde dès que t'as pu pour voir une amie, que tu teste tout et n'importe quoi côté sport. Parce que chaque minute où tu ne penses pas est une victoire. chaque femme est un moyen de te rappeler que tu n'es plus grand chose, même si c'est faux, même si tu as une vie. Chaque femme passe, repasse, sans que tu ne saches vraiment qui a fait quoi. T'es pas un pervers, t'es juste incapable de penser. Tu veux pas savoir son passé, son présent ou son futur, tu veux ce moment là, ou deux corps se rencontrent, rien d'autre. On te pense superficiel et pervers, tu es charmeur et fuyant, pas pareil. s'ils savaient, à quel point tu ressens, plus qu'ils ne le sauront jamais. Ya pourtant des personnes qui ne te voient pas ainsi, qui savent tout, de toi, qui t'aiment quand même. Ya ta puce qui à travers ses boutades te dit qu'elle t'aime, ta soeur qui es toujours là, ton meilleur pote, et d'autres. Mais tu ne vois rien, t'es aveugle, coincé dans un cauchemar dont tu ne te réveilles pas. Une illusion flippante ? Tu es si doué qu'on pourrait croire que t'es heureux tiens.
PSEUDO/PRÉNOM : still emma/junkiie AGE : Vieille. OU AS-TU CONNUS LE FORUM : Dans le fond du canapé de james, derrière les coussins. FRÉQUENCE DE CONNEXION : Too much. CRÉDITS PHOTO ET CITATION : écrire ici AUTRE : Vive la fête du slip. AUTRE(S) COMPTE(S) ? : Sebastian ronchon monroe. écrire ici
Dernière édition par Lucas O’Ryan le Jeu 3 Déc - 2:59, édité 8 fois |
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