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InvitéInvité
 |  Sujet: (bye bye macadam) Jeu 19 Nov - 19:57 | |
| JANNE ARRYNS
“And I’d choose you; in a hundred lifetimes, in a hundred worlds, in any version of reality” NOM : Arryns, un héritage familial qu'elle expose avec fierté et ombrage. Héritage qu'elle partage avec une soeur et deux frères, familles nombreuses aux allures de châtelain. Les Arryns, c'est le cliché typique des américains de bonne famille, jouissant d'un pavillon à l'herbe luxuriante, aux repas familiaux du dimanche plein de mélancolie. PRÉNOM : Janne, un prénom aux douces consonances françaises qui ont ravis ses parents, grands adeptes de nouveauté et d'originalité. Dans son enfance, elle n'a eu que haine et dégoût pour ce prénom qui lui a rappelé ce dessin animé de volley, avec Serge à ses côtés. Mais le temps passe et on s'y fait, on s'y oblige, car de toute évidence personne n'a le choix. AGE : Vingt-sept ans, déjà, le temps fait défiler les pages sans jamais y poser de pause. Elle chérit la moindre minute de sa vie, consciente qu'elle a eu droit à toutes les réjouissances que l'on puisse attendre. Puis elle reste persuadée que le meilleur est à venir. SURNOM : Laurel et Hardy, vous connaissez? Depuis que Janne subit la mauvaise (et ô combien délicieuse) influence de Sam, ces trois mots fusent et résonnent à l'étage obstétrique. Les deux jeunes femmes sont comme cul et chemise, à ne plus savoir quoi faire de toute cette folie, de toute cette imagination qui les pousse à commettre des bêtises. Les farces et attrapes? Sam et Janne. Laurel et Hardy. Hardy. Ou le plus empoté des deux, douce référence à sa maladresse légendaire. ORIGINES : Américaine, que ce soit dans le sang ou dans le nom. Du blond ensoleillé de ses cheveux au bas de un mètre soixante et des poussières, elle n'est que patriotisme. Elle n'a jamais réussi à se résoudre à quitter ce territoire. Elle n'a jamais eu le coeur à laisser tout ceci derrière elle. Sa famille, sa carrière, ses amis, ses amours, mais surtout ses emmerdes. STATUT : Célibataire, la demoiselle rentre dans la case universelle, comme bon nom de ses semblables. Néanmoins, son coeur subit des hauts, des bas, des virages et chutes libres. Son meilleur ami a toujours occupé ses pensées, inconsciemment, comme si elle se refusait à y croire. Mais il y a surtout cet homme, qui fait resurgir de son être ses pires aspects. Et pourtant c'est dans ses bras qu'elle s'abandonne, panse ses blessures. Avant d'en subir de nouvelles. MÉTIER : Infirmière dans le domaine obstétrique. Elle ignore si elle a hérité de la pathologie familiale pour la médecine, car tous ses frères et soeurs sont de la maison. Néanmoins, et comme toute enfant qui se respecte, jouer au docteur a été pendant longtemps l'un de ses jeux favoris. Jusqu'à ce qu'elle repeigne la maison au rouge de la bétadine et se voit interdire toute pratique. Qu'à cela ne tienne, elle en a fait son métier. Janne a toujours été fascinée par le processus qu'est la grossesse, sans qu'elle ne puisse l'expliquer. Cette faculté de créer, alimenter la vie l'a toujours émerveillée. TRAITS DE CARACTÈRE : Passionnée, caractérielle, tolérante, enfantine, mélancolique, impulsive, obstinée, possessive, lunatique, insupportable, impatiente, sensible, indifférente, (trop) impliquée, bavarde, extravertie, libre. GROUPE : Anesthesiant. AVATAR : Elizabeth Olsen. SCENARIO OU INVENTE ? : Inventé. ✃ It's as if I could not breathe without you.
01. La jeune femme est une amoureuse incontestable des romans à l'eau de rose, notamment des oiseaux se cachent pour mourir. Les pages en sont toutes écornées à force de les tourner, c'est à peine si elles tiennent encore debout. Mais elle pleure aux mêmes passages, et son cœur ne respire qu'à la lecture achevée. Malgré sa façade enjouée et détachée, Janne est une éternelle romantique dans l'âme. Dans ses rêves, l'homme idéal revêt une blouse au blanc immaculé, un stéthoscope autour du cou, jouant négligemment avant le stylo de la poche avant. Il s'avance vers elle, à grandes et lentes enjambées, lui laissant le loisir d'admirer cet homme sans visage. Il s'avance, encore, et toujours, laisse entrevoir une peau mate. Et son coeur s'emballe, son pouls accélère. Jusqu'à la sonnerie du réveil. 02. Janne a une sainte horreur des dimanches sans qu'elle ne puisse l'expliquer. C'est viscéral, incurable, et elle reste persuadée qu'elle finira par y laisser sa peau. Elle se sent morose, abattue, déprimée, comme si elle portait le poids du monde entier sur ses frêles épaules. Cruelle ironie, elle opterait pour tous les vagins du monde si en contre partie on lui enlève tous les dimanches de son existence. Le deal est honnête, non? Elle tourne en rond comme un animal en cage et s'interroge toujours face à son désarroi. Elle pense d'ailleurs avoir découvert un nouveau syndrome, celui de la déprime du dimanche. Un cancer fatal. 03. La famille, voilà le centre de l'univers pour la jolie blonde. Et faisant partie d'une famille nombreuse elle n'a, au final, pas vraiment le choix. Sa sœur aînée a toujours été source de folie et de bêtise, une addiction terrifiante pour ses parents qui ne savaient que faire du duo. Son frère aîné, bien que voix de la raison et ambassadeur de la paix, n'a jamais réussi à trouver le bouton off sur cette pile vivante. Et pourtant, les tentatives ont été nombreuses. Très, nombreuses. Quand à son cadet, Janne s'est fait un malin plaisir à le martyriser de toutes les formes possibles. Allant de la compote dans son tiroir à caleçon au jeu de cache cache dans ses placard pour lui prouver que les monstres existent, elle a épuisé un stock indécent de crapulerie. 04. Mais Janne, elle est surtout victime d'une maladresse de renom. Étrange paradoxe pour quelqu'un devant être d'une précision à toute épreuve. Néanmoins, elle a remarqué une chose étonnante. Si dans la vie courante elle ne peut saisir un verre sans le casser, passer à côté d'une assiette sans la faire tomber, à l'hôpital il n'en est rien. Elle est capable de faire une prise de sang à la veine près sans causer la moindre douleur, capable d'assister toute opération sans faillir au moindre tremblement. 05. Qui dit Janne, dit également Seth. Seth, il est tout ce que la jeune femme a connu. Il est son repère, son quotidien, ce petit plus qui font que chaque journée se fait rassurante. A chacune de ses absences, elle est déboussolée, comme abandonnée. Seth, il est son phare, tout azimut, lumière rivée sur les iris. Et si au fond, au fin fond, d'elle même elle sait qu'elle a des sentiments pour lui (depuis toujours) et se refuse à les admettre. Par principe. Par habitude. Par peur de ce que pourrait être demain si elle bousculait tout. 06. Sam et elle, c'est une sacré affaire. Et s'il lui arrive de la maudire (tous les jours à dire vrai) lorsqu'elle se fait pincer après une frappe, la seconde d'après tout est pardonné. Elle est ce petit rayon de soleil qui font que les journées, bien qu'identiques, gardent leur saveur, leur authenticité. Leur renommée n'est plus à faire, elles sont plus connues sous le nom de Laurel et Hardy. Un titre (presque) honorifique qu'elle porte néanmoins avec fierté. Une médaille pareille, ça se mérite, et c'est à la sueur de son front qu'elle a mérité le tout. Que la fête continue. 07. Elle sait au plus profond d'elle même que la maternité est ce qu'il y a de plus beau pour une femme. Et elle est la première à s'émerveiller devant une échographie, le cri d'un nourrisson. Et pourtant. Pourtant, elle frissonne d'horreur face aux ventres déformés et aux poitrines tombantes des patientes qu'elle reçoit. Elle tourne de l'oeil face au teint blafard, aux cernes noircies et à la cellulite qui s'incruste. Les enfants, ok, c'est beau, c'est la plus grande fierté, elle le conçoit. Mais passer par là pour y arriver, plutôt mourir. 08. Mais Janne, c'est également cet homme dans son quotidien, dans son sein. C'est cette relation qui dure depuis près de six ans, s'incrustant en elle au fer rouge, la rongeant à petit feu. Car les sentiments qu'elle éprouve, ils sont bien présents. Honnêtes, brûlants, à fleur de peau. Mais leur histoire est tumultueuse, les circonstances atténuantes. A ce jeu du chat et de la souris, elle s'y brûle les ailes et y laisse des morceaux de coeur suintants. Mais elle ne peut lutter contre l'attraction qu'il exerce sur elle. La moindre parcelle de son corps réagit à son appel, ses muscles se tendent sous sa caresse. Elle est mal. 09. Bien qu'étant une très mauvaise chanteur, Janne est une fan incontestable des karaokés. Et quiconque la connait un tant soit peu, sait que l'emmener à une soirée chantante est la pire des décisions. Une amie a voulu lui offrir un karaoké pour son anniversaire, pensant par la même occasion faire plaisir à tout le monde. Résultat? Le bar a fermé trois heures après le couvre feu autorisé. Les voisins ont protesté pour tapage nocturne 'insoutenable'. Ils ont terminé la soirée à prendre le café et les croissants avec les pompiers. Plus jamais, qu'on lui a dit. 10. Janne, elle n'a jamais eu de réelles relations sentimentales. Non pas par manque d'envie, ou par dégoût pour la gente masculine. Mais probablement car son coeur a tendance à s'enfoncer dans les zones marécageuses plutôt que de marcher sur la terre ferme. Probablement car elle a des critères d’exigences indécents, quasiment impossibles à réunir dans un seul et même être. Mais surtout car son coeur est déjà rempli, et point trop n'en faut.
PSEUDO/PRÉNOM : aveners, cora. AGE : vingt-deux ans. OU AS-TU CONNUS LE FORUM : bazzart, pardi. FRÉQUENCE DE CONNEXION : tous les jours (normalement) CRÉDITS PHOTO ET CITATION : adoringelizabetholsen/tumblr AUTRE : 
Dernière édition par Janne Arryns le Jeu 19 Nov - 23:48, édité 11 fois |
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| | Sujet: Re: (bye bye macadam) Jeu 19 Nov - 19:58 | |
|  You know loving can hurt sometimes but it's the only thing that I know Come on Seth, candies are wainting for us! Ces instants là, Janne les attendait avec impatience. Ces rares moments de calme et de détente qui lui étaient offerts en compagnie de son meilleur ami étaient des trésors à ses yeux. Ils passaient la nuit enfermés dans une chambre de repos, armés de bonbons et autres douceurs en tout genre, à parler de leurs journées, de leurs patients. De leurs vies. Sorry, miss Langher was... A little bit painful. La blonde lève les yeux au ciel tout en s'installant dans le canapé en tailleur, la main prête à plonger dans le paquet de chocobons. L'avantage était que leurs domaines de compétences étaient complémentaires. Janne travaillait dans le service obstétrique, elle suivait donc l'évolution des femmes enceintes jusqu'au jour fatidique. Seth, lui, était au service pédiatrie. Ils avaient donc l'opportunité de suivre l'évolution de la mère à l'enfant. Et si pour certaines patientes elle prenait plaisir à demander des nouvelles, cette miss Langher n'en faisait pas partie. I warned you about this dragoon. Cette bonne femme avait été un véritable enfer à suivre, qui n'a eu de cesse de reprocher le manque d'incompétences du personnel de l'hôpital. C'est trop ci, c'est pas assez ça, ou alors était-ce l'inverse. En obstétrique, ils en venaient même à la jouer au chifumi, ou à se la donner lorsque quelqu'un perdait un pari. Un véritable calvaire. I told you to drown her child, now you have two monsters on your arms. Ils ricanent, bien que cette idée pouvait se révéler ô combien séduisante. Murder is punished by law. Certes, s'il avait décidé de jouer les rabats-joies, la maléfique Langher allait pouvoir se construire une véritable armée de garnements. But accident can happened. Who is the monster now? Elle lui donne un coup d'épaule, un léger sourire sur le visage. Tout ce qu'elle espérait était que les salles ne soient pas sur écoute. Elle serait mal. Très mal.
Shut up, it's not your business. Elle saisit d'une pulsion rageuse le dossier à son nom mais ne peut s'empêcher d'y jeter un coup d'oeil. Elle s'en voulait, pour tellement de choses. Elle s'en voulait d'avoir oublié qu'effectuer une prise de sang dans cet hôpital de fouineur lui serait fatal. Pas un instant, pas un seul, elle n'avait imaginé qu'on pourrait lui faire ce coup là. Elle avait pourtant bien spécifié la raison de sa prise de sang, raison qui n'avait aucun rapport avec le contenu du dossier. Slow down Hardy, I just wanted to help you. L'aider? L'aider en quoi? Comment avait-il pu penser l'aider en mettant sur papier une chose qu'elle taisait chaque jour depuis qu'elle l'avait appris? Ni sa famille, ni Seth étaient au courant. Ni même le véritable concerné. Elle sent le feu lui monter au visage, puis se propager dans son corps, incendie dévastateur. L'étau autour d'elle se resserre, surtout si l'information devait arriver jusqu'à des oreilles fouineuses et mal intentionnées. Car bien que l'idée d'abriter la vie dans son ventre soit, au fond, délicieuse, elle voulait que personne ne le sache. Car elle refusait que lui l'apprenne. Elle était d'une fierté exaspérante, insupportable, et elle-même le reconnaissait. Mais par quel sortilège devrait-elle l'annoncer? Qu'avait-il fait pour eux, pour elle? A part la reléguer au fond d'un tiroir lorsqu'il n'a plus eu besoin d'elle. Evidemment, qu'elle lui en voulait. Ses tripes n'avaient toujours pas digérés l'humiliation, la douleur d'être évincée. Mais elle ne pouvait ignorer que son cœur battait en sa présence. Que sa peau frémissait à son contact, que tout en elle s'électrisait. Kiss my ass, idiot. Puis elle s'éloigne à grandes enjambées, ignorant les appels de main ici et là, percutant quelques visiteurs dans sa fuite. Bordel. Ça sentait le roussi. Elle parvient à s'isoler dans un vestiaire désert, fermant la porte à clé derrière elle. Dos au mur, la respiration saccadée, elle ferme les yeux. Comment avait-elle pu se laisser embarquer dans un tel foutoir? Comment avait-elle pu être assez idiote de ne pas être plus attentive à sa contraception? Elle pose une main sur le bas de son ventre, lentement, presque par peur que l'être qui grandi dedans ne la morde. You're a little trouble. Elle laisse ses idées vagabonder, s'échapper, s'éloigner de l'odeur médicamenteuse. Avait-elle d'autres solutions? Probablement pas. Ou peut-être que si. Et le bout du tunnel n'impliquait qu'une chose: tout avouer. I'm sorry, but it will never happened.
Dernière édition par Janne Arryns le Ven 20 Nov - 11:27, édité 17 fois |
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| | | | | Leela Robertson
MESSAGES : 1223 SINCE : 28/10/2015 NICKNAME : Mashed Woods - Justine FACE, @ : Priyanka Chopra
SCALPEL AND BISTOURI
Quote: « Je suture une banane dans l’espoir vain que ça réveillera mon cerveau. »
Surnom: Shiva
Répertoire:
| | Sujet: Re: (bye bye macadam) Jeu 19 Nov - 20:00 | |
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| | Sujet: Re: (bye bye macadam) Ven 20 Nov - 0:07 | |
| je t'envoie des pets de licorne en forme de cœur.   (bonne chance pour ta fichette  ) |
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| | Sujet: Re: (bye bye macadam) Ven 20 Nov - 10:06 | |
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| | Sujet: Re: (bye bye macadam) Ven 20 Nov - 13:13 | |
| L'idée est somptueuse (enfin l'histoire surtout) mais j'ai adoré lire ta fiche et comprendre ton personnage. Elle ne ressemble pas vraiment à ma June mais j'ai quelques petites idées. Et puis le surnom :  Du coup je te valide sans problèmes. Pense bien à répertorier ton métier, ton surnom etc...  |
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| | Sujet: Re: (bye bye macadam) Ven 20 Nov - 13:18 | |
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| | Sujet: Re: (bye bye macadam) | |
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Merci pour la réservation et l'accueil les jolies. 
Je suis impatiente de les connaître ces idées, car pour Sophia, je ne peux rien refuser.