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 |  Sujet: (M) EVAN PETERS ✂ libre/négociable. Mar 1 Déc - 20:47 | |
| OSWALD "OZ" CALDWELL
“And I’d choose you; in a hundred lifetimes, in a hundred worlds, in any version of reality” NOM : caldwell PRÉNOM : oswald "oz" AGE : vingt-cinq ans STATUT : célibataire hétérosexuel, dépendant sexuel en sevrage MÉTIER/RANG : métier au choix, actuel patient de Karla Guerrero (sexologue) TRAITS DE CARACTÈRE : obsessionnel, imprévisible, entêté, séducteur, honnête, audacieux, grand enfant, intelligent, possessif, torturé, protecteur, instinctif, jaloux, impulsif, au choix. SURNOM : Oz/au choix GROUPE : j'hésitais entre ANESTHESIANT et MASQUE AVATAR SOUHAITE: evan peters (négociable) ✃ On a tous des trucs dont on évite de parler✃ concernant sa famille, je vous laisse le choix. Cela dit, je l'imaginais très bien enfant unique, le genre d'enfant qui est souvent resté seul chez lui petit et qui était en manque d'affection.
✃ c'est sûrement de là qu'est née sa dépendance sexuelle qui s'est exprimée lorsqu'il avait dix-huit/dix-neuf ans. Il n'était pas du genre à coucher avec toutes les filles, tous genres confondus, mais lorsqu'il en avait une en ligne de mire, impossible pour lui de penser à autre chose tant qu'il ne l'avait pas mise dans son lit. Autant dire que ça en venait à devenir totalement obsessionnel. Il est devenu un don juan avec le temps (vous pouvez très bien le construire sur le modèle "je saute sur tout ce qui bouge sans distinction aucune", peu importe tant qu'il a une relation conflictuelle et dépendante avec les relations sexuelles).
✃ j'imagine qu'il n'a pas eu véritablement de relation très sérieuse, peut-être une seule, sa première, quand il avait seize/dix-sept ans, il s'est peut-être attaché trop vite, c'était un genre de "relation impossible", ça c'est mal fini (j'imaginais que la fille n'était vraiment celle qu'Oswald pensait il a été très déçu, voire plus que ça) et c'est à partir de là que sa dépendance aurait pu se manifester.
✃ je l'imaginais atteint d'une maladie, invisible sûrement, mais quasiment incurable (voire grave : une malformation cardiaque, ou quelque chose qui mettrait sa vie en danger). Mais ce n'est pas obligatoire, juste une idée. Vous pouvez ne pas en tenir compte. Libre à vous. Je trouve juste que ça pourrait être un "élément déclencheur" quand Karla le découvrira : elle qui aime prendre ses distances, du genre "imperturbable", se retrouver confrontée au fait qu'elle risque de le perdre pourrait être difficile.
✃ Il est le patient de la sexologue Guerrero, qui l'aide à retrouver un équilibre sexuel normal. Sauf qu'avec le temps, s'est installée entre eux une tension sexuelle incroyable qu'Oz alimente à chaque séance. A voir dans la description du lien ci-dessous. ✃ I guess that you see right through my walls.KARLA GUERRERO  selena gomezIl en avait besoin, après tout. Il y prenait toujours autant de plaisir, mais plus le temps passait, plus il devenait esclave de cette addiction. Et il ne voulait être dépendant de rien, ni de personne. Il est comme ça, Oswald. Il admet volontiers être dépendant d'une chose, parce qu'il n'a pas peur d'être soumis à son instinct, il n'aime pas le contrôle. Jusqu'à ce que celle-ci le détruise. Il commençait à gérer son addiction au sexe, mais avait conscience qu'il ne parviendrait pas à y arriver tout seul. Alors, il a demandé de l'aide. C'est cette initiative qui l'amena jusqu'au bureau de mademoiselle Guerrero Karla, sexologue du centre médical privé de la ville.
Et elle a tenu ses promesses, elle l'a aidée.
Ils ont parlé, longtemps. Il s'est confié, souvent. Elle l'a apprivoisé, finalement.
Pourtant, rien n'était plus difficile que d'avouer ses faiblesses. Et celle-là, elle était de taille : il s'agissait d'exprimer le besoin de supprimer ce dont il était le plus fier jusque-là. Son manque de contrôle. Le libre cours à son instinct. Sa façon d'être impulsif sans s'inquiéter d'où pourrait l'amener son corps et son esprit. Le caractère et le professionnalisme de Karla l'apaisèrent sans restriction. Et puis il s'éloignait de son addiction, plus il s’intéressait à elle en tant que personne. A des petits détails, à sa manière de faire, à ses tics de langage. Ce qui n'était pas chose aisée, puisque Karla est une fille qui, contrairement à Oswald, mise tout sur le contrôle. Elle est calme, sereine, directe. Le regard franc, le caractère fort. Elle observe, elle agit quand elle sait quand devoir le faire. Et c'est cet ensemble de choses qui a fait qu'elle a plu de plus en plus à son patient qui a développé, entretenue, une obsession pour sa sexologue.
Il y a une tension entre eux, au-delà l'aspect professionnel, et difficile de le nier, bien que Karla s'en charge très bien. En effet, il n'est pas facile de prendre la mexicaine au dépourvue, de la déstabiliser. Non seulement parce qu'il n'y a certainement pas de médecin plus professionnel qu'elle, mais aussi et surtout parce qu'elle est imperturbable de caractère. Oz n'a jamais connu si grand adversaire. Et il fantasme à cette idée. Karla est attirée par Oswald, elle ne se le cache pas. Elle l'aime bien, qui plus est. Vraiment plus que bien. De plus en plus. Il y a tant de choses qu'elle admire chez lui, que l'éthique lui interdit de lui révéler. Malgré cela, elle n'est pas dupe, elle connait les hommes, la jeune femme. Primo, c'est une fille difficile. Deuxio, Oswald est son patient. Nymphomane, en plus de cela. Elle ne sort jamais avec ses patients, il n'est jamais question de relation sexuelle entre elle et eux. Elle a su se blinder dès le départ, ayant parfaitement intégré l'idée que le métier de sexologue pouvait faire d'elle un fantasme, d'autant plus que ses patients sont - naturellement - des hommes entretenant un intérêt tout particulier pour le sexe. Elle pose des distances, elle est intouchable, elle est imperturbable.
En revanche, perturbable, Oswald l'est énormément. Et aux yeux d'Oswald, ce fantasme-là, elle l'est. Et si elle était plus que cela ? INFORMATIONS SUPPLÉMENTAIRES : bonjour, toi.  je suis contente de te voir traîner par ici, sache que tu feras une heureuse si jamais tu venais à prendre mon petit ange  pour cela, voici les conditions qui, d'après moi, n'ont rien d'extravagant. 
Tout d'abord, pour l'avatar, j'ai choisi evan pour une foule de raisons : il correspond bien au personnage (se rapprochant assez de ses rôles dans american horror story), je l'adore, il est libre, etc. Mais si vous avez craqué sur le scénario, et que vous n'aimez pas Peters, n'hésitez pas à venir, je ne mords pas. Il est négociable. En revanche, je suis difficile en avatar, je préviens, donc on risque de mettre du temps à trouver un terrain d'entente, mais on y arrivera ne t'en fais pas. d'ailleurs, j'ai deux idées d'avatar à te proposer si Evan te rebute 
pour le personnage, tout est quasiment libre, le pseudo par exemple est entièrement négociable, j'ai vraiment essayé d'imposer le moins de choses possibles afin que tu puisses t'approprier ce garçon et le créer à ta sauce.
pour le lien et l'évolution, le lien n'est pas négociable, j'ai tout fait, en revanche, pour te laisser une grande marge de manoeuvre. J'ai décrit les scènes de manière très objective, en essayant de ne pas empiéter sur les pensées d'Oz. Tu peux donc tout choisir : si il drague Karla de manière crue, ou discrète, est ce qu'il cherche durant leurs séances à la déstabiliser pour qu'il se passe concrètement quelque chose sans se poser de barrières, est ce que le fait qu'il soit attiré sexuellement par elle fait qu'il retombe dans son addiction ou cela s'explique t-il uniquement par le fait qu'elle l’intéresse, est ce qu'il s’intéresse à Karla uniquement parce qu'elle représente inconsciemment un "défi de plus" dans sa "carrière" de nymphomane ou bien est ce que son caractère posé + le fait qu'elle l'ait aidé à surmonter son addiction fait qu'il a réellement des sentiments pour elle, etc. C'est à toi de voir tout ça.
Quant à l'évolution, j'adore voir ce qu'on peut en faire en rp.  Croyez moi, ça peut vraiment partir dans des histoires de folie  et même de jolies histoires
pour l'activité, je demande simplement un minimum de motivation : ne disparais pas au bout de quarante-huit heures, et un minimum d'intérêt pour l’orthographe également. Pour la longueur, je m'adapte relativement bien, mais si tu pouvais être capable de rédiger au moins trente lignes, tu serais parfait 
je crois que j'ai tout dit alors n'hésite pas à nous rejoindre, je t'attends de tout mon coeur  |
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