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 |  Sujet: j'ai demandé à la lune. (mik) Ven 20 Nov - 11:43 | |
| MIK VEGA
“je lui ai montré mes blessures mais la lune s'est moqué de moi. et toi et moi, on était tellement sûr et on se disait quelque fois, que c'était juste une aventure et que ça ne durerait pas.” NOM : vega PRÉNOM : mik - depuis le temps, tout le monde a oublié que tu t'appelais carmichael et te surnomme mik, c'est plus court, plus simple à retenir. AGE : tu as soufflé cette année tes trente-deux bougies SURNOM : à l'hôpital, on te surnomme assez souvent le crève-coeur. faut-il admettre que t'en fais craquer plus d'une dans le service et que tes patientes sont rarement insensibles à tes charmes. ORIGINES : ton père est sicilien d'origine, quant à ta mère, c'est une indigène. d'où le mix dans ton patronyme entre l'américain pure souche et l'italien plutôt rythmique. STATUT : en couple depuis plusieurs années avec un homme que tu caches aux yeux de tous. tu es un adepte de l'adage "vivons mieux, vivons cachés". tu n'as pas besoin de t'étaler sur ta vie privée même si tu es amoureux au possible de l'homme qui partage ton quotidien. MÉTIER : titulaire en chirurgie vasculaire TRAITS DE CARACTÈRE : t'es quelqu'un de bourru, de rustre et d'honnête. t'y vas jamais par quatre chemins pour te faire comprendre et tu ne gardes jamais rien pour toi. t'aimes que les choses soient claires, tant dans ta vie professionnelle que personnelle. parfois, on te trouve un peu rustre mais tu te justifies en usant de l'excuse facile qui prône ton manque considérable d'expérience en relations humaines. t'es assez fermé, discret et mystérieux, t'en divulgues très peu sur toi et sur tes intentions. t'aimes pas parler de toi, t'es une épaule solide sur laquelle on peut facilement se reposer mais jamais, ô grand jamais, tu n'en dis plus sur toi que le minimum. t'es quelqu'un pourtant d'ouvert à la discussion et de très sympathique. si tu peux paraître froid au premier abord, il faut admettre qu'en règle générale, tu te montres plutôt chaleureux et attentionné. t'es loyal et fidèle au poste, toujours là pour rendre service. tu as de l'ambition et de la volonté. t'es devenu titulaire à force d'efforts et d'abnégations. le goût du sacrifice ? c'est quelque chose que tu possèdes depuis longtemps. tu sais ce qu'il en coûte de vivre ta vie et tu es prêt à tout pour obtenir ce que tu souhaites. de nature assez calme, tu t'emportes rarement. mais lorsque tu montes sur tes grands chevaux, t'es capable d'anéantir l'estime d'une personne. tu sais trouver les mots juste pour blesser, provoquer et pour animer les colères les plus palpables. tu te moques du regard des autres, tout ce qui t'importe, c'est de rester fidèle à celui que tu es depuis toujours. GROUPE : anesthésiant AVATAR : rami malek SCENARIO OU INVENTE ? : pré-lien de june ✃ It's as if I could not breathe without you.
01 toujours le mot pour rire, toujours la blague qu'il faut pour désamorcer n'importe quelle situation. on peut compter sur toi pour mettre un peu d'ambiance dans une soirée raté. 02 les nerfs à vifs, à fleur de pot. t'es pas ici pour te faire des amis et ça ne sera jamais le cas. t'es ici pour sauver des vies, rendre justice à ton père. 03 tu ne t'éloignes jamais de tes objectifs et personne ne peut se mettre en travers de ton job. 04 tu aimes tes amis comme tu aimes ta famille. ils sont précieux, ils sont indispensables. tu les respectes même si tu leur caches les vérités qui sommeillent en toi. 05 t'es gay, mais tu l'assumes pas. 06 tu t'emportes rarement, tes sentiments n'interviennent jamais dans l'exercice de tes fonctions. tu fais la part des choses facilement. 07 ton père est mort d'un AVC. c'est ce qui t'a poussé à te spécialiser dans cette branche. 08 tu consommes trop de café. ça te tuera un jour, mais t'en as besoin pour tenir durant tes longues journées. 09 t'enchaînes les opérations sans peur. t'es un pro du bistouri et ta réputation n'est plus à faire. 10 tu aimes les animaux. t'en aimerais, mais c'est difficile de convaincre tes colocataires. 11 t'as jamais été en italie, c'est sur la liste des choses à faire avant d'y laisser ta peau. 12 tu manges sainement, tu fais beaucoup de sport. 13 tu es superstitieux. 14 tu fumes trop. tes poumons sont sales. 14 t'es hyperactif, c'est une tare, mais c'est aussi ce qui te permet d'enchaîner les rendez-vous. 15 t'aimais les filles, t'as toujours aimé les femmes. et puis, il est arrivé et il a tout changé. tu n'as connu aucun autre homme que lui.
✃ You are my paradise, but maybe I'm your hell
tu l'as trouvé allongé sur le sol, en rentrant à la maison. t'as pas compris de suite qu'il s'était passé quelque chose de grave, il avait l'habitude de boire et de s'évanouir un peu n'importe où. mais t'as remarqué la bave le long de ses lèvres et t'as commencé à penser qu'il y avait peut-être une infime possibilité pour que ton père soit en train de s'éteindre. alors t'as pris ton courage à deux mains et t'as appelé les urgences "j'vous en supplie, venez vite." et ils ont fait vite. ça t'a paru une éternité mais c'est jamais trop long ce genre d'instants. la vie s'est arrêtée autour de toi et tu t'es surpris à l'aimer, ton vieux. malgré tout, malgré l'enfer. malgré les reproches, malgré les coups, malgré les larmes de ta mère. putain, tu t'es surpris à l'aimer et ça t'a fait mal. si mal ! et lorsqu'enfin ils l'ont embarqué, ils t'ont demandé si tu voulais les accompagner. t'es resté pantois, la bouche ouverte, sous le choc. "non... non, je vais aller chercher ma mère." que tu leur as répondu, évasif. ta mère, elle, a été anéantie lorsqu'elle a appris la nouvelle. t'as lu dans son regard qu'elle t'en voulait d'avoir attendu si longtemps avant de prévenir les urgences. t'as eu beau t'excuser, ça n'a jamais suffit. et puis, ton père s'est éteint, comme tu l'avais senti. sur son lit d'hôpital. t'as senti sa main qu'a pressé la tienne une dernière fois et puis, le bip incessant du moniteur qui annonçait l'arrêt de son coeur, l'arrêt du tien par la même occasion. "votre mari est mort suite à un AVC." en d'autres termes ? un arrêt cardio vasculaire. c'est fatal, la plupart du temps. t'avais à peine seize ans, tu cherchais ta voie, tu construisais ton avenir. et puis, c'est apparu comme une évidence en voyant la blouse blanche de l'urgentiste. tu dédierais ta vie à empêcher des familles comme la tienne de se détruire. ouais... parce que tes cadets, eux, ils ont pas très bien pris la nouvelle. et si ton père a été un monstre tout au long de son existence, il se trouve qu'il est mort en héros et que tout le monde l'a plaint. quatre ans plus tard, tu quittais le domicile familiale pour entamer des études en médecine.
{...}
tu l'as pas prémédité, pas une seule seconde. toi, t'alignais les conquêtes à l'université. on t'appelait assez souvent le crève-coeur parce que les filles, tu les laissais toujours en piteux état. donc forcément, quand ça t'es tombé dessus, t'as rien compris. il était pas plus attirant qu'un autre et puis, les hommes, ça a jamais été ton truc. pourtant, y avait quelque chose dans son regard, dans ses yeux. une étincelle qui, de suite, a rendu tout plus simple. il était charmant, il était gentil. il avait bien trois ans de moins que toi et il entrait tout juste à l'université. tu te souviens de l'avoir accompagné jusqu'à son dortoir, de lui avoir présenté le programme et de lui avoir fait faire le tour de l'université. tu te souviens avoir instinctivement été attiré par ce bellâtre mais de t'y être refusé. t'étais pas ici pour trouver l'amour ni même pour rencontrer la perle rare. toi, tu voulais finir tes études et réussir ta vie. rendre justice à ta famille et à ton père, parti trop tôt. toi, tu te spécialisais dans la chirurgie vasculaire, c'était pas grand chose, mais à petite échelle, ce serait déjà pas si mal. et puis, les jours se sont écoulés, les instants partagés se sont enchaînés et puis, les sentiments sont nés ainsi. sous un arbre, un jour d'été. le soleil qui tape, la pomme qui passe d'une main à une autre, les rires qui s'élèvent et puis, vos regards qui se croisent encore, sa main qui touche la tienne et le frisson qui parcours ton corps. t'avais rien prémédité, c'est arrivé par hasard, et tu l'as aimé. mais l'accepter et l'affirmer, c'était trop difficile pour toi. alors t'as avorté votre relation avant même qu'elle ne commence. t'as balayé tes sentiments, t'as ignoré l'évidence et tu ne l'as plus jamais revu. c'était mieux ainsi.
{...}
travailler dans cet hôpital, là où ton père s'est éteint, c'est une consécration pour toi. t'y es arrivé à grand renfort d'efforts et de nuits blanches à réviser, travailler. et puis, t'as signé ton contrat. t'as tout gagné, ta mère est fière de toi et toute la famille te soutien désormais dans tes projets. t'es médecin, tout juste, mais t'es bourré d'espoir, bourré d'ambition.
{...}
les années passent et tu grandis, tu évolues dans un milieu qui te plait, qui t'épanouit. tu gravis les échelons rapidement, tu écopes du même surnom qu'à la face et t'enchaînes les histoires sans lendemains. les filles succombent à ton sourire et tout le monde n'y voir que du feux. tu mets pas moins de trois ans à devenir titulaire et à te faire une réputation en or, au sein de l'hôpital. t'es le roi de la chirurgie vasculaire, personne ne te résiste.
{...}
et puis, tu tournes dans un couloir, t'empruntes les escaliers de service, tu ouvres la sortie de secours et sors ton paquet de cigarettes lorsqu'on te demande "vous avez du feu ?" tu lèves la tête et tu le reconnais. oui, tu le reconnais de suite. il est là, devant toi... tu bafouilles, tu rougis "qu'est-ce que tu fais là ?" t'es sur la défensive, presque agressif. alors il t'explique son parcours, ses études, son diplôme, ses contrats et puis, son affectation dans le même hôpital que toi. ça va faire deux ans qu'il travaillait ici et jamais, jamais tu ne l'avais encore croisé. vos regards se retrouvent et les habitudes reviennent, la sympathie, l'empathie, le lien. fort, inéluctable, inévitable. tu retombes sous son charme et c'est réciproque. vous vous redécouvrez sous un nouveau jour, sous un nouvel aspect. il te plaît, si bien que tu n'attends pas des semaines avant de l'inviter chez toi. et ce qui devait se passer, dix ans plus tôt, finira par enfin se produire. l'amour naît et l'amour s'installe. votre vie devient un jeu dans lequel vous vous plaisez à vous cacher, à vous voir en secret. deux ans durant, vous partagez des instants de parfaite harmonie, de parfaite intimité. tu l'aimes, il t'aime aussi. mais tu n'assumes pas, lui non plus. alors, d'un commun accord, vous restez dans l'ombre du tableau. l'un avec l'autre, l'un pour l'autre. et si dieu le veut, cette relation continuera d'évoluer dans le bon sens sans obstacles, sans dégâts. car lui, il te comprend mieux que personne. et toi, toi tu l'aimes mieux que n'importe qui. ses lèvres sur les tiennes, un pacte scellé. l'évidence, la foudre qui frappe deux fois au même endroit. ton coeur qui se soulève et brusquement, tu te surprends à apprécier ce sentiment, pour la première fois de ta vie.
PSEUDO/PRÉNOM : fancy/kenny AGE : vingt-cinq balais dans mon armoire OU AS-TU CONNUS LE FORUM : via bazzart FRÉQUENCE DE CONNEXION : 3j sur 7j CRÉDITS PHOTO ET CITATION : tumblr / indochine AUTRE : 
Dernière édition par Mik Vega le Ven 20 Nov - 14:36, édité 7 fois |
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Leela Robertson
MESSAGES : 1223 SINCE : 28/10/2015 NICKNAME : Mashed Woods - Justine FACE, @ : Priyanka Chopra
SCALPEL AND BISTOURI
Quote: « Je suture une banane dans l’espoir vain que ça réveillera mon cerveau. »
Surnom: Shiva
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